Réduire sensiblement notre consommation d'énergie ? Ce petit disque dur externe de 2,5'' (160 ou 200 Go) s'y emploie de manière intelligente. Lancé dans les prochaines semaines par Packard Bell, le Silver fait la différence en gérant son alimentation de façon autonome. Pas la peine de le laisser sous tension toute la journée, l'appareil se met automatiquement en veille au bout de quelques minutes si on ne l'utilise pas, et se rallume dès qu'on le sollicite. Son secret ? Une technologie maison baptisée « PowerSave », qui, couplée à un logiciel de sauvegarde des données, fait du Silver, proposé à partir de 80 euros environ, un périphérique un brin écolo.

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    « D'après nos calculs, sa consommation d'énergie serait deux fois moins importante que celle d'un disque dur externe classique », indique-t-on chez le constructeur. Plutôt pas mal. D'autant que Packard Bell compte bien démocratiser sa technologie sur d'autres disques, comme le Sprint (3,5'', de 360 à 750 Go, également à partir de 80 euros) qui verra sa consommation d'énergie réduite de 80 % dès cet automne. Cerise sur la mémoire, Silver et Sprint auraient ainsi une durée de vie multipliée par deux. 
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    <b>source: 20minutes.fr</b>

Bruxelles- La Cour de justice européenne a rendu lundi un arrêt confirmant la condamnation du groupe américain Microsoft à renoncer à sa position dominante sur le marché des logiciels, et payer une amende record de 497 millions d’euros. La Commission européenne, qui avait condamné Microsoft à cette amende inégalée en mars 2004, estime que l’éditeur de logiciels n’a plus d’autres choix que d’exécuter l’arrêt de la Cour. Celui-ci fait obligation au géant américain de fournir des informations techniques, moyennant rémunération raisonnable et sans discrimination, sur l’utilisation de son système d’exploitation, et renoncer à fournir des logiciels "tout en un" (inclusion du lecteur audio-vidéo Media Player, dans Windows).

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    <b>source: aps.dz</b>

Le 15 septembre 1997, Larry Page et Sergey Brin déposaient le nom de domaine Google.com…

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    Deux jeunes étudiants de l'Université de Stanford, Larry Page et Sergey Brin, ont marqué l'histoire de l'Internet avec une aventure des temps modernes : Google.
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    Officiellement, le moteur de recherche a vu le jour le 7 septembre 1998, lorsque ses deux concepteurs ont quitté l'université pour occuper leurs premiers locaux, un garage de Californie. De quoi alimenter la légende des start-ups qui débutent dans un garage, une image récurrente déjà alimentée par l'histoire d'Apple.
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    Mais s'il y a une date à retenir pour l'histoire, c'est ce 15 septembre 1997, un an plus tôt, lorsque les deux compères alors âgés de 24 ans ont déposé un nom de domaine que l'on ne présente plus : Google.com !
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    Ce nom n'est pas un cri, comme Yahoo!. Il s'inspire au contraire des très sérieux travaux du mathématicien américain Adward Kasner. Celui-ci proposait en effet l'expression 'Googol' pour qualifier un chiffre extrême, à l'époque, 10 à la puissance 100.

Le polémique accord conclu entre Microsoft et Novell en novembre dernier prévoyait l'ouverture d'un laboratoire commun devant se consacrer aux solutions d'interopérabilité. Cette clause vient de se concrétiser, avec l'ouverture d'un laboratoire à Cambridge, dans le Massachusetts.

Le premier projet traité sera la virtualisation ; il s'agit de faire en sorte que Windows Server 2008 fonctionne sans souci sur Suse Linux Enterprise Server et réciproquement (à noter que la sortie de Windows Server 2008 est prévue l'année prochaine, et que ses fonctions de virtualisation sortiront dans un délai de 180 jours après son lancement).

La direction du labo est assurée par un binôme, Suzanne Forsberg, de Novell, et Tom Hanrahan, de Microsoft. Cinq ingénieurs de test complètent l'équipe, et trois autres devraient les rejoindre d'ici à la fin de l'année. L'infrastructure devrait compter 80 serveurs, de façon à pouvoir simuler un environnement d'entreprise.

Parmi les autres travaux d'interopérabilité envisagés, les responsables du labo citent des outils de traduction de format pour échanger des documents a priori basés sur XML, des systèmes de fédération d'identité et des outils de supervision.

source: lemondeinformatique.fr

Microsoft s’attire décidément bien des foudres de tous côtés à cause de ses mises à jour. Cette fois-ci, c’est Windows Live Messenger qui est en cause. Microsoft s’est en effet vu obligé de forcer les utilisateurs à mettre leur client de messagerie à jour vers la dernière version, la 8.1.
Mise à jour forcée

Cette obligation auprès des utilisateurs n’est pas due au hasard. Microsoft publiait cette semaine son rapport mensuel de sécurité. Celui-ci indiquait qu’une faille critique a été découverte dans les précédentes versions de Windows Live Messenger. Cette faille concerne la fonction vidéo et touche toutes les versions. C’est pourquoi, plutôt que tenter de patcher les nombreuses versions du logiciel utilisées, Microsoft impose la mise à jour vers la nouvelle version du logiciel, la seule invulnérable à cette faille.

Concrètement, les utilisateurs tentant de se connecter au réseau depuis leur version de Windows Live Messenger, s’ils n’ont pas mis à jour, se verront proposer de passer à la nouvelle version. S’ils refusent, il leur sera alors impossible de se connecter au réseau de Windows Live Messenger à partir du logiciel de Microsoft. Devant le mécontentement de beaucoup des utilisateurs, Microsoft explique que cette mesure a été prise « dans le but de [vous] protéger et de protéger le réseau ».

source: infos-du-net.com

Microsoft vient d’annoncer une souris laser très particulière, car elle réunit plusieurs composants intéressants et peu coutumiers du monde des souris pour certains.

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    Tout d’abord, Mobile Memory Mouse 8000 est munie d’une mémoire flash de 1 Go. Quand la souris est connectée, elle peut donc servir de clé USB et stocker des données. Et puis l’on parle de connexion, cette nouvelle souris peut se connecter soit en Bluetooth, soit sur un mode sans-fil classique à 2,4 GHz.
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    Concernant la recharge, Microsoft assure que chaque charge donne environ trois semaines d’autonomie à sa souris. Un câble USB vient se connecter magnétiquement au mulot pour que l’utilisateur puisse continuer à s’en servir pendant qu’elle se recharge. La molette permet un défilement quadri-directionnel et un bouton permet d’accéder directement au Flip 3D de Vista.

Aujoud'hui pour le très grand public, il est quasiment impossible de savoir facilement quelle carte mémoire doit être insérée dans quel terminal mobile. Entre les Compact Flash, SD et derivées, Memory Stick et dérivées, XDCard et dérivées, MMC et dérivées ou encore MicroDrive, le choix est souvent difficile, que ce soit à l'achat ou à l'utilisation dans différents périphériques.

Pour pallier ce problème, Nokia, Samsung et Sony Ericsson du côté des mobiles, Spansion, STMicroelectronics, Micro et Texas Instruments du côté des fondeurs ont annoncé être en cours de création d'un nouveau format de solutions mémoires amovibles et intégrées en cours de standardisation auprès de la JEDEC. Cette dernière est un organisme qui a approuvé entre autre différentes technologies de mémoire comme les DDR d'ordinateurs personnels.

Et cette nouvelle spécification, au nom de Universal Flash Storage (UFS), est chargée de répondre à l'un des besoins de l'industrie, à savoir une solution universelle permettant d'éviter d'utiliser différents adaptateurs pour un même format de mémoire. Côté capacité, l'UFS est prévue pour gérer des fichiers multimédia de grande taille tout en optimisant la consommation électrique nécessaire à leur utilisation. Si il fallait par exemple 3 minutes pour accéder à un film HD de 90 minutes (4 Go), l'UFS est censée en faire de même en quelques secondes.

Mais il faudra attendre deux ans pour que la finalisation de ce standard soit au rendez-vous. Elle sera cependant applicable aux téléphones mobiles, appareils photo numériques ou autre produits compacts. Ce standard devrait donc être finalisé dans le courant de l'année 2009. Reste à savoir si il sera validé également par d'autres acteurs forts du marché des produits électroniques comme LG, Sony, Canon ou Panasonic.

source: clubic.com

Google est un des invités de marque de la conférence sur « l'éthique et les droits de l'Homme dans la société de l'information » organisée les 13 et 14 septembre 2007, à Strasbourg, par l'Unesco. Peter Fleischer, responsable des questions de confidentialité chez Google, devrait se prononcer ce vendredi pour la création d'un standard international de protection des données sur Internet, souligne le Financial Times.

Critiqué sur sa propre politique de traitement des données, en Europe comme aux Etats-Unis, la société Internet américaine a révisé sa copie cet été, en limitant à 18 mois, au lieu de 18 à 24, le délai de conservation de données (mots clés, adresses IP et détails des cookies). Aujourd'hui, le moteur de recherche et spécialiste des liens sponsorisés veut aller plus loin, apparaître comme l'ardent défenseur de la protection des données et de la « transparence » web.

En mai dernier, Fleischer déclarait à la BBC : « Le but de Google est d'être aussi transparent que possible avec ses utilisateurs concernant la confidentialité. Cette transparence crée la confiance. Nous réussirons ou nous échouerons en fonction de la confiance que nous accordent les internautes ». Google estime que les textes encadrant la protection des données sont aujourd'hui dépassés. Jusqu'ici, ses principaux concurrents, Yahoo et Microsoft, sont restés réservés sur le sujet.

source: clubic.com

En gravant 200 couches dans l’épaisseur d’un disque type DVD, les ingénieurs de la société Mempile enregistrent jusqu’à 1 To sur un seul disque mais pensent atteindre 5 To.