Le ministre a réitéré que son département est en passe de mettre en place un nouveau dispositif.
«A l’avenir, nous exploiterons nos satellites dans l’agriculture et l’irrigation», a annoncé, hier, Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des Technologies de l´information et de la communication, lors de sa visite d’inspection au centre de développement des techniques spatiales d’Oran. Sur les lieux, le ministre a affirmé que le centre représente une réalisation majeure pour l’Algérie. «Nous rentrons dans l’ère de la maîtrise des satellites d’autant que la wilaya d’Oran constitue un pôle important dans ce domaine», a-t-il ajouté. Revenant sur le projet «Ousratic», le ministre a réitéré que son département est en passe de mettre en place un nouveau dispositif devant booster le projet en question. Selon le représentant du gouvernement, le projet, lancé il y a plusieurs années, aurait pu répondre aux aspirations de la population.
Dans ce cadre, les documents relatifs à la redynamisation du programme sont en phase d’étude. «Quand tout sera fini, nous lancerons l’opération», a affirmé M.Bessalah. Dans le même sillage, le ministre a annoncé un autre projet inscrit à l’horizon 2013 au profit des écoles. «En plus des lycées qui sont connectés, vingt- deux mille établissements scolaires seront raccordés, graduellement, au réseau Internet d’ici l’horizon 2013.» Ces établissements seront équipés des laboratoires Internet.
Le projet, à l’étude au niveau du ministère, vise à dispenser des cours de filières scientifiques, au sein même des écoles, via Internet. La problématique des paraboles, dénaturant les façades des batisses, est aussi inscrite, comme priorité, par le département de M.Bessalah. Le recours aux paraboles collectives constitue une alternative incontournable. «Il faut régler rapidement le problème» a insisté le ministre. Interpellé sur le déficit en bureaux de poste, le ministre a affirmé que la question est prise en charge avec l’objectif d’un bureau de poste pour 6000 habitants. Une stratégie est mise en oeuvre pour diminuer la tension dans ce cadre. Actuellement, la couverture moyenne est d’un bureau pour 9000 habitants. Pour faire face, il est question d’ouvrir des bureaux de poste au niveau de chaque agglomération. Endiguer l’accès des jeunes internautes aux sites subversifs, constitue l’autre problématique soulevée par le ministre qui a admis qu’«un long travail nous attend à ce sujet». Seulement, a-t-il souligné, l’aide des parents est de mise. «On ne peut pas accélérer l’usage de l’Internet sans parler de contrôle parental». Lors de l’installation du nouveau directeur de l’Institut des télécommunications d’Oran, le ministre a, dans son intervention, mis l’accent sur le développement de la recherche technologique estimant que le nombre des employés dans le secteur est dérisoire. «Seuls 100.000 personnes, soit un taux ne dépassant pas 1% de la masse active, exercent dans le domaine», a-t-il déploré.
Dans ce cadre, les documents relatifs à la redynamisation du programme sont en phase d’étude. «Quand tout sera fini, nous lancerons l’opération», a affirmé M.Bessalah. Dans le même sillage, le ministre a annoncé un autre projet inscrit à l’horizon 2013 au profit des écoles. «En plus des lycées qui sont connectés, vingt- deux mille établissements scolaires seront raccordés, graduellement, au réseau Internet d’ici l’horizon 2013.» Ces établissements seront équipés des laboratoires Internet.
Le projet, à l’étude au niveau du ministère, vise à dispenser des cours de filières scientifiques, au sein même des écoles, via Internet. La problématique des paraboles, dénaturant les façades des batisses, est aussi inscrite, comme priorité, par le département de M.Bessalah. Le recours aux paraboles collectives constitue une alternative incontournable. «Il faut régler rapidement le problème» a insisté le ministre. Interpellé sur le déficit en bureaux de poste, le ministre a affirmé que la question est prise en charge avec l’objectif d’un bureau de poste pour 6000 habitants. Une stratégie est mise en oeuvre pour diminuer la tension dans ce cadre. Actuellement, la couverture moyenne est d’un bureau pour 9000 habitants. Pour faire face, il est question d’ouvrir des bureaux de poste au niveau de chaque agglomération. Endiguer l’accès des jeunes internautes aux sites subversifs, constitue l’autre problématique soulevée par le ministre qui a admis qu’«un long travail nous attend à ce sujet». Seulement, a-t-il souligné, l’aide des parents est de mise. «On ne peut pas accélérer l’usage de l’Internet sans parler de contrôle parental». Lors de l’installation du nouveau directeur de l’Institut des télécommunications d’Oran, le ministre a, dans son intervention, mis l’accent sur le développement de la recherche technologique estimant que le nombre des employés dans le secteur est dérisoire. «Seuls 100.000 personnes, soit un taux ne dépassant pas 1% de la masse active, exercent dans le domaine», a-t-il déploré.
Source: L'Expression