L’engagement est là et il est de notre devoir d’accompagner le ministère de l’Education nationale avec cette valeur ajoutée.
L’intégrateur canadien de solutions dédiées à l’enseignement est présent pour la cinquième année consécutive à la Foire internationale d’Alger. Cette présence régulière renseigne sur l’importance qu’attache Smart Technologie à cette manifestation économique, a signalé M.Kolli Abd El Ghani, Directeur général de BBC, représentant exclusif de cet acteur canadien majeur du logiciel. Dans une rencontre improvisée avec les représentants de la presse nationale, au stand canadien, l’intervenant est longuement revenu sur les efforts inlassables que déploie cette société de renom en vue d’asseoir un vrai transfert de technologie en Algérie.
L’orateur a en outre rappelé les principaux domaines d’intervention de Smart Technologie, notamment l’intégration de solutions interactives au profit des PME-PMI et autres multinationales dans notre pays, ainsi que le soutien du gouvernement algérien et autres institutions d’Etat, particulièrement dans des chantiers actuels et clés que sont la e.algerie 2013. Une perspective dans laquelle BBC et Smart Technologie s’inscrivent de plain-pied. M.Kolli a néanmoins insisté sur la principale et naturelle vocation de Smart Technologie et qui est celle de généraliser le smart-board ou tableau intelligent dans les écoles et institutions de formation nationales. Il n’a pas manqué d’annoncer la désormais filialisation de cette activité: «Dès cette année nous filialiserons cette spécialité en une nouvelle société entièrement vouée aux produits Smart destinés à l’enseignement pour lequel un projet pilote existe!» et ce, afin de mieux doter l’école algérienne de cette formidable technologie qui permet à l’enseignant d’avoir une approche par compétence. Ce choix, par ailleurs, fait savoir le conférencier, fait suite au désir du ministre de l’Education nationale, Boubekeur Benbouzid de voir cette technologie introduite dans les 23 000 écoles algériennes du primaire. «L’engagement est là et il est de notre devoir d’accompagner le ministère avec cette valeur ajoutée», a-t-il ensuite expliqué, tout en affirmant que cette action vise à aider l’enseignant algérien à intégrer un nouvel outil dans son activité quotidienne d’enseignement.
L’objectif final étant d’apporter une valeur ajoutée des plus importantes à l’université algérienne. M.Kolli n’a pas manqué de rappeler que certaines universités algériennes se sont déjà dotées de cet instrument, à l’instar de l’université de Béjaïa, l’UFC qui est «un gros client» ou l’INI. Smart Technologie, selon son propre manager, lorgne également du côté des écoles privées comme le groupe scolaire Salim. M.Kolli, n’a enfin pas manqué de signaler que Smart Technologie est l’une des premières sociétés à s’être installée dans la Silicone Valley de l’Algérie qu’est le Cyberparc de Sidi Abdellah, ce qui traduit tout son engagement à s’inscrire durablement dans le pays.
Dans ce nid technologique spécialement aménagé par l’Anpt (l’Agence nationale de promotion et développement des parcs technologiques), Smart Technologie y dispensera alors des formations diplomantes qui seront mondialement reconnues, spécialement aux Etats-Unis, au Canada et en France. Il n’est pas exclu qu’un embryon d’unité d’assemblage soit envisagé à Alger pour servir certains pays voisins. Notons que le premier smart board a été lancé au Canada en 1991, depuis, ils sont 22 millions d’élèves et d’étudiants à l’utiliser régulièrement. Smart Technologie accapare les 57% de parts de marché sur le plan mondial du smart board. Fondée en 1987, Smart Technologie Canada est établi à Calgary dans l’Alberta au Canada et compte 1000 employés, avec des usines de montage installées à Ottawa et à Calgary.
La gamme complète de produits Smart, innovants et faciles à utiliser, comprend les tableaux blancs interactifs, les écrans à stylet interactifs, les signalisations numériques interactives, les armoires multimédias, les ardoises sans fil et les logiciels de la famille Smart Board. Smart a déposé et gère un large portefeuille de brevets, dont beaucoup font encore l’objet de demandes en cours aux Etats-Unis, au Canada et ailleurs dans le monde.
Source: L'Expression