Rédactrice du mois : Sarah Djema

Bonjour, je m’appelle Sarah Djema. J’aime lire les magazines de temps en temps mais c’est généralement les magazines de mode ou de stars, comme la majeure partie des filles d’ailleurs. Une fois, en surfant sur Internet, je suis tombée sur le vôtre. Heureusement dois-je dire, car je l’ai trouvé très intéressant et instructif. En le lisant, j’ai découvert que je peux aussi partager mes pensées et prendre une fois par mois la fameuse place de rédactrice. J’ai donc voulu tenter ma chance.

Je vais vous parler de photographie, et comme c’est devenue la passion de la majorité des étudiants algériens, je me suis donc dis que ça devrait intéresser plus d’une personne. De nos jours, ce ne sont pas les photographes qui manquent. Avoir la photographie comme hobby est devenu tendance, et j’admets que, moi aussi, je suis tombée amoureuse de ce monde merveilleux qu’est la photographie. Il faut dire qu’avant, la photographie était juste utilisée pour prendre un simple portait (carte d’identité, passeport ou autre), mais maintenant c’est devenu tout un art.

Plusieurs étudiants algériens ont acquis cet art et le voient « sous une forme d'expression qui peut être à la fois poétique, romantique, dénonciatrice, choquante ou encore intrigante, attirante, énigmatique … ». Ce loisir a commencé à prendre de l’ampleur en Algérie, car aujourd’hui on a des groupes photographiques que tout le monde peut rejoindre. On peut aussi participer à des compétitions. Récemment, nous avons eu la chance de partager nos plus belles prises autour du thème " Algérie : 50 ans d’indépendance " à l’occasion des 50 ans de l’indépendance de l’Algérie. Un appel que le club de photographie « Images sans frontière » a lancé à tous les photographes amateurs et professionnels. Les meilleures prises ont été rassemblées dans un album mémoire. Une très bonne initiative à mon avis !

Mais cette passion a un prix, le prix du matériel photographique. Pour un simple étudiant, avoir à acheter tout le matériel adéquat pour la photographie coûte cher, et ce n’est pas tout le monde qui peut se permettre de s’offrir un appareil qui coûte plus de dix millions. C’est un dilemme qui peut empêcher de mettre en exergue un talent peut être inné.


PS : je suis devenue accro à votre magazine


Vous aussi, faites comme Sarah et envoyez vos écrits à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.