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Si vous avez investi pas mal de temps dans cette expérience de jeu, il est alors difficile de résister à l'appel de l'abonnement ! Cette somme acquittée chaque mois pour une période plus ou moins longue, trois, six mois, voire un an, permet de rémunérer les concepteurs du jeu. Mais alors, nous direz-vous, comment font les « free to play » pour être rentables ?
Première précision, un modèle économique ne chasse pas forcément l'autre. En d'autres termes, des abonnements gratuits peuvent coexister en parallèle de comptes de type « premium ». Pour rentabiliser le modèle une première piste est la publicité « in game », c'est-à-dire à l'intérieur même du jeu, comme par exemple des affiches placardées sur les décors en 3D.
Un piège, le plaisir de jeu
Toutefois, le vrai ressort de ces expériences ludiques et sociales reste bien l'addiction qu'elles créent. Pour en tirer profit certains studios ont mis au point un système de vente d'objets en ligne par le biais de micro-transactions. Cet « item selling », comme on dit, permet d'acquérir une nouvelle arme, un nouveau pouvoir, un accessoire, pour votre alter-ego virtuel. Mais pour cela il faudra verser votre petite obole, de 0,50 jusqu'à 3 euros, en général.
La partie est gagnée, vous êtes de toute façon déjà accro ! D'autant que ces jeux, innombrables et très diversifiés, recouvrent tous les goûts et toutes les couleurs. Devant l'impossibilité d'être exhaustif, nous avons choisi de vous présenter une sélection organisée par univers, chacun correspondant à une ambiance bien particulière, indépendamment du type de jeu concerné : action, stratégie et bien entendu jeu de rôle.
Source: 01net