Les actionnaires se disent préoccupés. Ils ont reconduit le conseil d'administration sortant. Au cours des derniers mois, l’inquiétude des actionnaires d'Apple sur la santé et la position de Steve Jobs n'a fait que s'accentuer. Lors de la dernière assemblée générale, le sujet était sur toutes les lèvres.
Les questions posées ne concernent plus seulement l'état de santé du très médiatique co-fondateur, mais son rôle possible, à distance, dans la direction de la firme qu'il a su redresser plusieurs fois déjà.
"[Steve Jobs] est profondément impliqué dans toute la stratégie du groupe et a délégué son autorité à Tim Cook [directeur général adjoint] et à son équipe" explique Arthur Levinson, co-président d’Apple (et, par ailleurs, p-dg de GenenTech), cité par le New York Times. Ce responsable a également affirmé que la direction abordait régulièrement la question de la succession de Steve Jobs. Les actionnaires n’ont, en revanche, pas obtenu de réponse sur l’enquête lancée par la SEC (le régulateur de la Bourse aux Etats-Unis) concernant la manière dont Apple a communiqué sur la santé du p-dg.
"J’ai été déçu par le manque de transparence du conseil d’administration sur la santé de monsieur Jobs", dira plus tard l’un des actionnaires.
Il y a quelques mois, les spéculations ont commencé à surgir autour de l’état de santé de Steve Jobs. Un site d’information américain avait même annoncé sa mort. Il est vrai que l’absence d’informations de la part de la firme de Cupertino avait nouri les plus folles rumeurs et avait contribué à soulever un vent de panique chez certains actionnaires et à la baisse du titre. En janvier dernier, c'est Steve Jobs lui-même qui a donné plus de détails, en annonçant son souhait de faire une pause de 6 mois pour raison de santé.
Outre d'échanger sur le cas de Steve Jobs, les actionnaires devaient également réélire le conseil d’administration. L’ensemble des membres, dont Eric Schmidt, p-dg de Google et Al Gore, ex-vice président des Etats-Unis, ont été reconduits dans leurs fonctions.
Source: Silicon.fr
"[Steve Jobs] est profondément impliqué dans toute la stratégie du groupe et a délégué son autorité à Tim Cook [directeur général adjoint] et à son équipe" explique Arthur Levinson, co-président d’Apple (et, par ailleurs, p-dg de GenenTech), cité par le New York Times. Ce responsable a également affirmé que la direction abordait régulièrement la question de la succession de Steve Jobs. Les actionnaires n’ont, en revanche, pas obtenu de réponse sur l’enquête lancée par la SEC (le régulateur de la Bourse aux Etats-Unis) concernant la manière dont Apple a communiqué sur la santé du p-dg.
"J’ai été déçu par le manque de transparence du conseil d’administration sur la santé de monsieur Jobs", dira plus tard l’un des actionnaires.
Il y a quelques mois, les spéculations ont commencé à surgir autour de l’état de santé de Steve Jobs. Un site d’information américain avait même annoncé sa mort. Il est vrai que l’absence d’informations de la part de la firme de Cupertino avait nouri les plus folles rumeurs et avait contribué à soulever un vent de panique chez certains actionnaires et à la baisse du titre. En janvier dernier, c'est Steve Jobs lui-même qui a donné plus de détails, en annonçant son souhait de faire une pause de 6 mois pour raison de santé.
Outre d'échanger sur le cas de Steve Jobs, les actionnaires devaient également réélire le conseil d’administration. L’ensemble des membres, dont Eric Schmidt, p-dg de Google et Al Gore, ex-vice président des Etats-Unis, ont été reconduits dans leurs fonctions.
Source: Silicon.fr