Présent dans plus de 70 pays dans le monde, Sage édite des logiciels de gestion professionnelles, pour les entreprises provées et publiques, les artisans, commerçants, professions libérales et experts comptables. Son premier salon s'est tenu la semaine dernière à Alger.
Présent en compagnie de ses quatre partenaires algériens (BSC, SIG, Star Engineering, Discovery) lors du salon, Sage a présenté son activité, et les solutions qu'elles proposent aux sociétés algériennes. Nous avons rencontré Céline Glandor, responsable consulting & formation export Sage, pour évoquer la situation de Sage en Algérie.
Quel est le but de ce salon ?
C'est la première édition d'un salon Sage en Algérie, et c'est une réussite. Le but était de rencontrer les clients de Sage, de répondre à leurs attentes, et de leur présenter nos nouveautés. Nous sommes ravis qu'ils aient été aussi nombreux à répondre à notre invitation.
Quels sont les chiffres de Sage en Algérie ?
Sage est présent depuis de nombreuses années en Algérie sur le marché des logiciels de Gestion. Nous avons 4 partenaires agréés, qui suivent des formations et des examens pour pouvoir vendre nos produits, mais aussi assister et former leurs clients pour maîtriser ces logiciels. Nous avons 20 000 clients sur le Maghreb, et 16 partenaires. En Algérie, ce sont 6 000 entreprises qui utilisent les produits Sage.
Est-ce que vos produits sont touchés par la contrefaçon ?
La contrefaçon est un véritable problème. Sur certains pays, près de 80% des logiciels Sage sont contrefaits. Nous sommes très actifs sur le sujet, en organisant notamment des séminaires de sensibilisation depuis de nombreuses années. Il est très important que les clients algériens achètent des logiciels référencés par Sage chez les revendeurs agréés. Ils bénéficieront en plus d'un véritable suivi, de formations, etc. Si d'autres personnes non agréés vendent des produits sage, ce sont forcément des produits piratés.
Est-ce que vous comptez avoir une présentation officielle en Algérie, comme c'est le cas au Maroc ?
Notre politique aujourd'hui en Algérie, c'est l'indirect. Autrement dit passer par des partenaires qui gèrent la proximité avec le client. Nous avons une équipe à l'export d'une cinquantaine de personnes, qui sont en contacts permanents avec nos différents partenaires.
DM