Procédures administratives : les acteurs de la 3G inquiets

Avec la prochaine ouverture du marché algérien sur la 3G, un sujet est revenu vite au devant de la scène, celui de la loi relative à la lettre de crédit pour les importateurs.



Beaucoup craignent que cette disposition légale décidée dans le cadre de la loi de finances 2009 retarde la généralisation de la 3G en Algérie qui implique l’importation d’équipements en tous genres. Outre les retards susceptibles d’être générés par cette procédure, c’est aussi, selon certains opérateurs, une procédure qui  implique des coûts supplémentaires.

Des professionnels du secteur des nouvelles technologies se sont d’ailleurs réunis dernièrement pour débattre de cette loi  considérant qu’elle pourrait représenter un obstacle majeur au développement de la technologie de troisième génération en Algérie.

« Les lenteurs administratives générées par cette loi est ce que nous craignons le plus en ce qui concerne le développement de la 3G en Algérie », précise M. Malek Ould-Brahim, directeur adjoint de la société Microtel. Ce responsable exprime, il faut le dire, l’inquiétude de bon nombre de professionnels.

Ahmed Gasmia