Les places sont chères pour entrer - ou rester - dans le classement des cinq premières marques mondiales de la téléphonie mobile. Alors que Sony Ericsson s'était déjà imposé il y a quelques mois en tant que quatrième acteur de ce marché en passant devant LG Electronics, cette fois, c'est le top 3 du classement qui est bouleversé.

En effet, si Nokia continue inexorablement d'augmenter ses parts de marché et conforter sa position de leader, la seconde place du classement vient d'être occupée par Samsung, au détriment de Motorola qui passe désormais en troisième position. La faute aux mauvaises performances au second trimestre 2007 de l'américain qui n'a pas su renouveler à temps sa gamme et s'imposer dans les pays émergents.

Avec 37,4 millions de terminaux écoulés au second trimestre, contre 35 à 36 millions pour Motorola, c'est donc la première fois que Samsung passe devant Motorola qui n'a de cesse depuis trois trimestres maintenant de perdre des parts de marché. A titre de comparaison, Samsung a à l'inverse augmenté de près de 40% ses livraisons de terminaux par rapport à la même période l'année passée.

Reste à savoir si le top 5 des marques les plus répandues sera bouleversé dans les années à venir avec l'arrivée d'Apple et son iPhone dans le marché de la téléphonie mobile.

source: clubic.com

Les premiers blogs ont vu le jour aux Etats-Unis il y a 10 ans, indique le Wall Street Journal dans son édition du 14 juillet 2007. Pour les passionnés, Jorn Barger fait figure d'initiateur avec Robot Wisdom, un blog toujours actif aujourd'hui. En décembre 1997, Barger indiquait : « J'ai décidé d'ouvrir ma page web personnelle et de noter le meilleur de ce que je trouve lors de mon surf quotidien ». L'Oxford English Dictionary, référence des dictionnaires de langue anglaise, considère cette annonce comme l'acte de naissance du weblog ou blog.

Le blog peut être défini comme un site Internet individuel ou collectif, dont les contenus, liens, textes, images, sons, vidéos, sont affichés chronologiquement et sont susceptibles d'être commentés par les internautes. La mise à disposition en ligne d'outils payants ou gratuits de publication tels que Movable Type (Six Apart) et Drupal en 2001, Skyblog en 2002, Blogger (ex-Pyra), WordPress et DotClear en 2003, va démocratiser le phénomène. Chaque internaute, avec ou sans connaissance technique, ayant la possibilité d'ouvrir un blog. En mai 2007, Technorati, le moteur des blogs, recensait plus de 71 millions de blogs.

Si les « geeks sans vie privée » (nerds without a life ou NWAL) font toujours partie de la blogosphère, le gros des troupes se compose d'adolescents, de jeunes adultes fans ou non de gadgets électronumériques, et d'amateurs de recettes de cuisine. L'impact des blogs et, plus largement, des contenus web générés par les utilisateurs, sur la société de l'information et de la communication est indéniable. Quelle multinationale ne drague pas le blogueur « influent » aujourd'hui ? Par ailleurs, la frontière entre blog et journalisme s'estompe, et bloguer peut rapporter de l'argent.

Interrogé par le Wall Street Journal, le journaliste et romancier Tom Wolfe, 76 ans, décrit la blogosphère comme « un univers de rumeurs, de cris narcissiques et d'informations sans fondement ». L'entreprenaute Elizabeth Spiers, 31 ans, refuse d'être aussi catégorique et souligne qu'elle a généré une partie substantielle de ses revenus par le biais du blogging professionel avec Dead Horse Media qu'elle a co-fondé.

source: clubic.com

La nouvelle version du Panda est plus utilisée que le dernier bébé de Microsoft sur le Vieux Continent, selon Xiti

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    Les européens plébiscitent de plus en plus Firefox au détriment d'Internet Explorer dont l'avance encore conséquente commence à fondre comme neige au soleil. Désormais, l'utilisation du navigateur de la Fondation Mozilla atteint 27,8% sur la semaine du 2 au 8 juillet 2007, contre 24,1% du 5 au 11 mars 2007 et 21,1% du 3 au 9 juillet 2006, selon la dernière étude de XiTi qui se base sur la part de visites de 95.827 sites Web.
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    En un an, la part du Panda rouge a progressé de 7 points de pourcentage et de 3,7 points sur les quatre derniers mois.
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    <b>source: silicon.fr</b>

Alger le 17 juillet 2007- la caravane « Nedjma chez vous, anime votre été » sera en tournée à partir du 18 juillet dans les plages de plusieurs wilayas côtières pour créer de l’animation et accompagner les estivants durant leurs vacances.

Trois convois de camions parade habillés aux couleurs de Nedjma sillonneront simultanément et ce jusqu’au 24 août les stations balnéaires de 12 wilayas de l’Ouest, du Centre et de l’Est du pays, de Telmcen à El kala dans une vaste opération de sensibilisation pour des plages propres. Cette opération est lancée avec le parrainage du ministère de l’Aménagement du territoire, de l’environnement et du tourisme.

Les animateurs de la caravane « Nedjma chez vous, anime votre été » inviteront les estivants à s’impliquer dans le nettoiement des plages en lançant des opérations de volontariat et en mettant à la disposition des bénévoles, le matériel et les équipements nécessaires.

Un programme d’animation musicale de 10h00 à 19h00 est prévu dans les plages visitées
et des tombolas quotidiennes seront organisées avec des téléphones mobiles NOKIA à gagner. Les clients pourront également gagner des caméscopes numériques lors de la tombola hebdomadaire.

A la fin de la caravane, 3 superbe RENAULT MEGANE seront remise à 3 heureux gagnants de la MEGA TOMBOLA, dont la participation est ouverte à toute personne ayant effectué un achat durant l’opération « Nedjma chez vous, anime votre été ».

Cette opération se veut une action citoyenne pour sensibiliser les estivants sur la nécessité de préserver leur environnement, à une période où toutes les plages du pays sont prises d’assaut par des millions d’estivants en quête de tranquillité et de cadre agréable pour leurs vacances.


source: communiqué de presse Wataniya Telecom Algérie

L'essor des mobiles et autres ordinateurs de poche permettant de stocker des informations personnelles aurait créé une génération incapable de mémoriser des informations simples, si l'on en croit un sondage britannique publié vendredi.

Une équipe de chercheurs dirigée par Ian Robertson, professeur de psychologie au Trinity College de Dublin, a interrogé 3.000 personnes au cours des quinze derniers jours. Un quart des personnes interrogées ont déclaré ne pas pouvoir se rappeler de leur numéro de téléphone fixe, les deux tiers des sondés n'ont pas pu citer la date d'anniversaire de plus de trois de leurs proches et la même proportion a reconnu se reposer sur son téléphone ou son agenda électronique pour mémoriser des dates importantes.

Les moins de 30 ans, davantage férus de nouvelles technologies, sont apparus plus susceptibles encore de ne pas se souvenir de ce type d'informations que les plus de 50 ans.

[Une ]article:encyclopédie en ligne écrite par les internautes eux-mêmes: c’est le principe de Wikipédia, un des 10 sites Internet les plus consultés au monde. Toutefois, dans une enquête, des étudiants en journalisme à Sciences-po Paris mettent en cause le sérieux des informations que l’on y trouve. Comment se construit jour après jour cette encyclopédie en ligne? Et quel avenir pour les dictionnaires et encyclopédies sur papier?

L'enquête de Sciences-po sur Wikipédia

Jimmy Wales, le fondateur de Wikipedia (Photo Reuters)C’était l’un de leurs derniers devoirs de classe avant le diplôme : 5 étudiants du master de journalisme de l'Institut d'études politiques de Paris (Sciences-po) ont enquêté pendant 2 mois sur Wikipédia. Une étude de 125 pages, encadrée par leur professeur Pierre Assouline, écrivain et journaliste pas très fan de Wikipédia (voir les 'Sources').

Les failles du site
Dans leur étude, les étudiants listent les raisons qui peuvent faire douter de la fiabilité de Wikipédia. Les principaux arguments :

Beaucoup d’articles sont écrits ou corrigés avec un objectif d’autopromotion.
Les experts, les vrais spécialistes ne souhaitent plus écrire dans Wikipédia quand ils se rendent compte que leurs articles sont tronqués ou modifiés.
L’information n’est pas hiérarchisée selon l’importance historique ou scientifique d’un sujet, mais davantage selon sa popularité. Par exemple, l’article sur l’émission « Nouvelle Star » est 50% plus long que celui sur l’ancien président de la Commission européenne Jacques Delors (constatation faire par les étudiants au 1er mai).
Les corrections ne sont pas systématiques – elles sont plus rares sur les sujets les moins consultés et les erreurs peuvent rester en ligne longtemps. Pour le prouver, les étudiants ont introduits eux-mêmes des erreurs dans certains articles. Ils ont par exemple écrit dans la page de Pierre Assouline qu’il était champion de jeu de paume.

Contre Nature
L’enquête des étudiants de Sciences-Po remet aussi en cause les conclusions d’une enquête publiée en décembre 2005 par la revue scientifique britannique Nature. Une comparaison entre la fiabilité des informations trouvées sur Wikipédia et sur la prestigieuse encyclopédie Britannica.

La revue avait demandé à des experts de relever, sur 42 articles scientifiques, les erreurs et omissions des 2 encyclopédies. Leur score : 162 pour Wikipédia, 123 pour Britannica. Beaucoup en ont déduit que Wikipédia était presque aussi fiable que Britannica.

Mais cette enquête de Nature ne traite que des sujets scientifiques, contestent les étudiants de Sciences-po. Or, c’est justement dans ce domaine que Wikipédia est très bonne, ajoutent-ils. Car les premiers contributeurs sont des informaticiens et des scientifiques.

De son côté, Britannica regrette que certains de ses articles aient été présentés tronqués aux experts chargés de comparer. Autre problème : Nature n’aurait pas vérifié les erreurs supposées, et Britannica en conteste 64 sur 163.

Sciences-Po privé de Wiki
«Nous n’avons rien contre Wikipédia», explique Pierre Gourdain, l’un des étudiants. «L’intérêt de notre enquête est d’expliquer comment c’est fait, parce que beaucoup de collégiens par exemple s’en servent sans savoir.»

Ce qui n’a pas empêché une riposte du côté de Wikipédia, ou plutôt d’un des administrateurs, David Monniaux. Il a pris l’initiative de bloquer l’accès à Wikipédia depuis les ordinateurs de Sciences-po Paris, au prétexte que l’école piratait le site en introduisant sciemment des erreurs.

A la suite d’un débat avec les autres administrateurs, la connexion a été rétablie, a indiqué la chaîne d'info LCI.
[]article:

Alger – La 9e édition de l'Université d'été de l'Université de la formation continue (UFC) de la formation des formateurs, a débuté samedi à l'Ecole nationale des postes et des technologies de l'information et de la communication, sous le thème "la formation ouverte à distance". Programmée du 14 au 19 juillet, cette session de formation au profit de quelque 320 enseignants de différents établissements universitaires du pays, sera axée sur l'intégration des technologies de l'information et de la communication dans le domaine de l'apprentissage et l'adaptation aux systèmes numériques dont l'utilisation tend à se généraliser.

Pour les responsables sécurité en entreprise, les outils Google exposent leur système d'information à des menaces d'envergure.

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    Dans les entreprises, il n'y aura pas d'état de grâce pour Google. Quels qu'ils soient, les outils que leur propose le moteur de recherche seront scrutés avec la plus grande attention au niveau de la sécurité.
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    Lundi prochain, paraîtra une étude réalisée aux Etats-Unis par l'institut Ponemon auprès de 600 responsables de la sécurité des systèmes d'information. 71% d'entre eux ont la conviction que Google Desktop, le moteur de recherche en local, renferme des failles de sécurité. Et 81% désapprouvent l'idée qu'un outil Google installé sur une machine puisse obéir à des requêtes transmises depuis l'extérieur.
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    Pour l'institut Ponemon, ces deux données montrent que les informaticiens en entreprise sont sur leur garde vis-à-vis des menaces que font courir les applicatifs de Google à leur système d'information.
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    Toujours selon Ponemon, Google aura beau y faire, les responsables informatiques craignent une offensive généralisée des pirates et autres hackers contre les outils Google dès qu'ils seront déployés en entreprise.
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    Pour les hors-la-loi, le modèle Google présente l'avantage de leur procurer un excellent retour sur investissement. Dès qu'une brèche est ouverte, elle donnera accès à une énorme quantité de données sensibles.
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    Chez Google, tout en soulignant la dimension à charge de l'enquête de Ponemon, on souligne que plus de 1000 ingénieurs se consacrent au test de la sécurité des services maison. Et si l'on reconnaît qu'une faille donnerait accès à beaucoup d'informations, on fait remarquer, a contrario, qu'il suffit de poser une seule rustine pour que tous les utilisateurs soient à nouveau protégés.

Le pantagruélique Google reste en tête du classement des sites Web les plus consultés, établi mensuellement par Comscore. Le cabinet d'étude a dénombré 722 millions d'internautes au mois de mai 2007, un chiffre en progression de 0,8% sur un mois, et qui représente 16% de la population mondiale de plus de 15 ans.

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    La galaxie des sites Google a regroupé, en mai 2007, 536,4 millions de visiteurs uniques, soit 1,7% de plus qu'au cours du mois précédent. Sans surprise, Google devance Microsoft (528 millions de visiteurs, +1,5%) et Yahoo (469,8 millions, +0,5%). Il n'est guère plus étonnant de retrouver dans le top 10 du classement les grands acteurs du Web comme eBay (5e), Wikipedia (6e) ou Amazon (8e). Notons la 10e place obtenue par Apple : les sites du groupe de Cupertino ont rassemblé 120,9 millions de visiteurs uniques et signent, avec 5%, la plus forte progression des dix premiers acteurs répertoriés.
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    En parallèle du classement des sites répertoriés en fonction du nombre de visiteurs uniques, Comscore établit le palmarès des plus fortes progressions. La plus haute marche est occupée par les sites de la marque Ciao.com, qui gagnent 31% d'audience en un mois (à 29,5 millions) et devancent sur ce terrain Facebook.com et Mozilla. Signalons pour terminer la présence du Français Dailymotion dans ce classement : le site de partage de vidéos obtient la 9e place grâce à sa progression de 10,1% lui permettant de recenser 27,8 millions de visiteurs uniques.