Une nouvelle étude menée par TÜV Rheinland et commissionnée par Epson nous apprend bien des choses concernant l'encre résiduelle des cartouches d'imprimantes. Cette étude prend en compte différentes marques d'imprimantes parmi lesquelles on peut citer : Epson (forcément), Lexmark, Canon, HP, Kodak et Brother.

D'après cette étude, les imprimantes Epson utiliseraient 80% de l'encre disponible avant de réclamer à l'utilisateur un changement de cartouche contre 64% pour la Kodak Easyshare 5300. Le problème avec les imprimantes vient du fait qu'elles indiquent un niveau d'encre faible même s'il en reste encore suffisamment pour produire des centaines de pages.

L'utilisation d'une cartouche unique pour les couleurs est aussi problématique. Bien souvent l'imprimante signale une cartouche de ce type comme vide alors qu'il n'y a qu'une seule couleur qui a été épuisée. C'est d'ailleurs pour mettre en avant ses imprimantes utilisant des cartouches de couleur séparées que Epson a commissionné cette étude.

Toutefois, avec 20% d'encre perdu en moyenne sur chaque cartouche utilisée, les imprimantes à couleurs séparées ne sont pas non plus la panacée. Ceci signifie que sur cinq cartouche utilisée une cartouche est perdue (20 * 5 = 100%). Etant donné le prix particulièrement élevé de ces cartouches, on ne peut que regretter une pareille chose. Par ailleurs, cette étude ne prend pas en compte l'encre qui est utilisée/perdue pendant les phases d'initialisation et de nettoyage. Un problème qui a été limité avec de nouvelles générations d'imprimantes, mais qui n'est pas totalement résolu...

Cette étude ne donne aucune indication quant au coût par page qui permet de mesurer réellement le coût d'utilisation d'une imprimante. Depuis quelques temps, beaucoup de fabricants sont pointés du doigt pour leurs méthodes qui consistent à encourager, voire à imposer l'achat de leurs cartouches propriétaires vendues à prix d'or qui se vident à vitesse grand V...


Le constructeur dit avoir conçu des capteurs deux à quatre fois plus sensibles à la lumière. Ils seront intégrés aux appareils photo numériques et aux téléphones portables l'an prochain.


Faire des photos la nuit, sans flash, c'est possible ? Pas encore ou en tout cas pas pour le commun des photographes. Mais Kodak y travaille. Le constructeur a annoncé jeudi 14 juin avoir conçu une nouvelle génération de cellules photosensibles, permettant de faire des clichés dans l'obscurité voire en pleine nuit, sans avoir besoin du flash.

Elles permettraient également de limiter les risques de flou lors de la prise de vue de sujets en mouvement. Il s'agira d'un composant pour appareil photo numérique ou téléphone mobile avec appareil photo.

Des pixels « panchromatiques »

Kodak estime que ces nouveaux capteurs pourront être deux à quatre fois plus sensibles que les modèles actuels. Dans son communiqué, le constructeur explique avoir conservé le principe de sa technique habituelle de captation de lumière inventée il y a trente ans. A savoir que sur une quantité de pixels donnée, la moitié est faite pour capter la lumière verte, l'autre moitié le bleu et le rouge.

Les nouveaux capteurs ajoutent à cela une nouvelle quantité de pixels capable de capter toutes les longueurs d'onde de la lumière. Ce sont des pixels dits « panchromatiques » ou « multicouleurs ». Il reste que le premier appareil muni de ces composants ne sera pas lancé sur le marché avant le premier trimestre 2008.

De plus en plus, la carte postale des vacances se perd au profit du courrier électronique chez les Britanniques, qui le jugent plus pratique et plus rapide pour donner de leurs nouvelles, selon une enquête publiée mardi.

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    La carte postale reste très appréciée, puisque 72% des personnes interrogées préfèrent recevoir une carte plutôt qu'un courriel (15%) de leurs amis et proches, selon cette enquête réalisée auprès de 2000 personnes pour le site ITV.com.
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    Mais les Britanniques ont désormais trois fois plus de chance de recevoir un courriel plutôt qu'une carte postale de leurs amis en vacances.
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    67% des Britanniques disent se connecter sur internet durant leurs vacances à l'étranger. À l'inverse, la moitié n'ont pas envoyé de carte postale durant les douze derniers mois. Et selon cette enquête, le nombre de cartes postées ces dix dernières années a chuté d'environ 75%.
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    Le déclin de la traditionnelle carte postale est dû à la facilité d'accès à internet, au développement de la photo numérique, qui peut être jointe à un courriel, et à la possibilité d'ajouter du son et de la vidéo à son message.
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    La carte postale n'a pas su séduire la nouvelle génération: si seulement 23% des plus de 50 ans pensent qu'elle est démodée, les jeunes sont 73% à le penser.
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    Des jeunes qui, entre 14 et 35 ans, disent envoyer au moins deux courriels lors de vacances de deux semaines.

Djezzy vient une fois de plus briller sur la scène des entreprises citoyennes avec le lancement sur le marché d’un nouveau service au profit des personnes souffrant de déficiences physiques, plus précisément les sourds, muets et non voyants. Un geste à la hauteur de la générosité et de la solidarité que prône Djezzy depuis son implantation en Algérie. En effet, cette frange de la société bénéficie de lignes gratuites spécialement dédiées à dépasser son handicap en lui permettant l’envoi de SMS gratuits tous les jours aux clients mal entendants et des SMS-parlants aux personnes non-voyantes. Une première en Algérie.

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    « Tout est possible » est le nom attribué à ce nouveau service qui dit bien son nom, car il permet à une partie importante de notre société de bénéficier des bienfaits des moyens de communication modernes et c’est en présence de M.Guiroub, secrétaire général de la fédération Nationale des sourds d’Algérie que M.Hassan Kebbani, directeur général d’Orascom Télécom Algérie, a présenté ce nouveau service au siège de Djezzy à Alger. M.Kebbani annoncera qu’il sera disponible dans l’ensemble des 62 centres de service de Djezzy dès dimanche prochain. Il est à signaler que cette initiative est une première en soi ; elle permet aux malentendants l’envoi gratuit de SMS quotidiennement, et des SMS parlants aux non-voyants, ceci en plus des appels ordinaires que l’on peut effectuer.
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    Le procédé est simple, il suffit d’appuyer sur la touche étoile (*) suivi du numéro du destinataire, puis de lancer l’appel, après quelque secondes vous pouvez dicter oralement votre SMS, qui est limité à 20 secondes qui sera retranscrit en SMS grâce à se nouveau service. M.Kabbani affirme qu’un montant mensuel de 3000 dinars est consacré par l’opérateur à cette nouveauté, au grand bonheur des nouveaux utilisateurs.
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    Pour le premier responsable de l’opérateur leader de la téléphonie mobile Algérie, 3000 dinars est un montant largement suffisant pour accomplir toutes ‘’les communications’’ quotidiennes de cette frange de la population. Selon une étude interne réalisée par Djezzy, les utilisateurs consomment en moyenne 1500 dinars de SMS mensuellement, dira M.Kebbani. Contrairement à ce que penseront certains, le nombre de lignes « La carte Djezzy Tout est possible » est illimité.
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    Constamment à l’écoute des besoins de la société, M.Kabbani a réitérer avec force la nature citoyenne de son entreprise qui vient à juste titre de démocratiser une deuxième fois l’accès à la téléphonie mobile en Algérie en permettant à une population qui ne croyait pas avoir accès un jour à ce service.
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    De son coté, M. Guiroub a saisi l’occasion pour remercier Djezzy pour son initiative, qui l’a qualifié ‘’d’unique dans son genre. Grâce à Djezzy, ces personnes ne seront plus marginalisées, ils pourront communiquer entre eux sans aucune difficulté » poursuivra le secrétaire général de la fédération des non voyants.
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    Sur un plan plus pratique, M.Kebbani explique que la puce « Tout est Possible » est délivrée sur simple présentation de la carte de handicapé et d’une pièce d’identité. Quand aux handicapés disposant déjà d’une puce Djezzy, il suffit de se présenter à l’un des centres Djezzy muni de sa carte de handicapé pour demander une reconversion de sa puce à ce nouveau service.
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    Il est à signaler aussi que la direction de Djezzy est en plein consultation pour asseoir une politique de recrutement qui prendra en considération les handicapés. Pour ce faire, M.Kabbani annonce que les centres de service Djezzy seront équipés au fur et à mesure de moyens adéquats pour accueillir cette frange de la société dans les structures de Djezzy.


Dans le cadre d'une vaste opération contre les pirates exploitant des « botnets », le FBI a arrêté trois personnes. L'agence estime que plus d'un million d'ordinateurs zombies sont infectés.

Ils les ont comptés un par un ou presque : le FBI a identifié plus d'un million d'ordinateurs zombies aux Etats-Unis. Ces machines, infectées par un cheval de Troie, sont contrôlées à distance, à l'insu de leurs propriétaires, par des pirates. Ces derniers se servent de ces machines zombies en réseau (botnet) pour lancer des attaques de grande envergure contre des serveurs et des sites Web ou encore pour lancer des campagnes massives de spam.

Opération grillage de robots

Dans le cadre d'une opération baptisée « operation bot roast » (opération grillage de robots), le FBI a procédé à l'arrestation de trois personnes, des « bot-herders », ce que l'on pourrait traduire par « bergers de robots ».

Le premier pirate, Robert Alan Soloway, est accusé d'avoir envoyé des dizaines de millions de spams renvoyant vers son site Web. Il a déjà été condamné à deux reprises en 2005. Le deuxième, James C. Brewer, est soupçonné d'avoir piraté plus de 10 000 ordinateurs, y compris ceux de l'hôpital de Chicago, le Cook County... Enfin le dernier de ces cybercriminels, Jason Michael Downey, s'en est servi comme base d'attaques.

Le FBI poursuit ses investigations et pourrait procéder à d'autres arrestations dans les mois qui viennent. Car il reste du pain sur la planche. En février, Vinton Cerf, co-fondateur d'Internet, avançait le chiffre de 100 à 150 millions de PC zombies dans le monde


Un milliard d'ordinateurs en 2008, le double en 2015. Les dernières projections du cabinet d'études Forrester sur l'augmentation du parc informatique mondial sont éloquentes. Cette croissance effrénée n'est pas sans impact sur l'environnement. Chaque année, ce sont plusieurs dizaines de millions de tonnes de déchets électroniques qui s'amoncellent. Mais ce n'est pas tout. Selon les experts, les PC n'exploitent que 50 % de l'énergie électrique qui leur est fournie pour fonctionner. Un gaspillage qui contribue indirectement à augmenter significativement les rejets de dioxyde de carbone, en grande partie responsables de l'effet de serre.

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    L'Union européenne s'apprête à prendre ce problème à bras-le-corps. La semaine prochaine, les représentants des Etats membres doivent tenir une première réunion afin d'établir des critères stricts en matière de consommation énergétique pour tous les appareils électriques, y compris pour les ordinateurs et les écrans. Ces travaux s'inscrivent dans le cadre de la directive 2005/32/EC dite Ecodesign, adoptée en juillet 2005.
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    <b>Des étiquettes pour repérer les machines énergivores</b>
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    L'un des objectifs de l'Union européenne est de donner aux consommateurs le moyen de repérer les ordinateurs les moins gourmands. Cela pourrait prendre la forme d'étiquettes d'information, comme celles que l'on trouve sur les produits blancs (machine à laver, réfrigérateurs, etc.) et qui indiquent la consommation d'énergie par une lettre de A à G. De cette manière, les pouvoirs publics veulent inciter les fabricants d'équipements à concevoir des produits moins gourmands.
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    Apparemment, les constructeurs informatiques sont prêts à jouer le jeu. Plusieurs entreprises, parmi les plus importantes du secteur, participent déjà à l'initiative « Climate Savers Computing », aux côtés de l'association World Wildlife Fund. Le 12 juin dernier, Intel et Google se sont ralliés à Dell, HP, IBM, Lenovo ou encore à Microsoft, déjà membres de cette alliance dont l'objectif est de réduire la consommation électrique des ordinateurs.
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    Pour prendre en compte ce critère, les fabricants vont revoir totalement la conception de leurs produits. « Nous voulons pousser tous les acteurs du secteur, comme les fabricants de composants et de cartes mères, à améliorer le rendement électrique [de leurs produits] », explique un porte-parole d'Intel. De leur côté, Google et les autres entreprises participantes s'engagent à utiliser les ordinateurs et les serveurs les plus économiques en énergie.
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    <b>Trois paliers d'exigence pour un label</b>
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    Les membres du « Climate Savers » se fixent pour objectif de respecter les critères définis par le label « Energy Star », de l'organisme américain EPA (Environmental Protection Agency). Celui-là recommande notamment que les PC parviennent à une efficacité énergétique de 80 % en 2007 et de 90 % en 2010. Dans le cas des serveurs, le rendement devra atteindre 92 % en 2010.
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    « La nouvelle version du label Energy Star [attendue pour le 4 juillet, NDLR] est particulièrement drastique », affirme le porte-parole d'Intel. Cette nouvelle mouture prévoit trois paliers d'exigence, dont le plus sévère impose une consommation inférieure à 50 watts. « L'objectif fixé est quasiment impossible à atteindre à cause de la consommation des cartes graphiques, affirme le porte-parole d'Intel, il faudra sûrement utiliser des composants pour ordinateurs portables dans les unités de bureau pour l'atteindre. »
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    A travers cette initiative, les constructeurs espèrent réduire de 54 millions de tonnes par an les émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2010. Cette économie équivaudra à la suppression de 11 millions d'automobiles ou à la fermeture de vingt centrales électriques à charbon de 500 mégawatts. Les citoyens du monde entier sont eux aussi invités à participer à cet effort. En achetant en priorité des appareils arborant le logo Energy Star, bien sûr. Mais aussi en modifiant leur comportement : ne pas laisser allumés des appareils non utilisés, penser à paramétrer les modes veille et hibernation des ordinateurs…
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    Sans oublier que ces petits gestes peuvent conduire à réaliser quelques économies. Pour les évaluer, les consommateurs peuvent estimer leur facture électrique sur le site du programme Energy Star.

La deuxième exposition nationale sur les Technologies de l'information et de la communication (TIC) a été ouverte, mardi au palais des arts et de la culture "Mohamed Boudiaf" d'Annaba, en présence d'opérateurs économiques, d'enseignants universitaires exerçant dans ce secteur et des autorités de wilaya. Cette manifestation qui se poursuivra, selon le directeur de la culture, Driss Boudhiba, jusqu'au 17 juin, permettra au public de prendre connaissance des nouveautés dans les TIC à travers les équipements et autres supports exposés par Algérie Télécoms et la radio régionale d'Annaba ainsi que par d'autres entreprises ayant investi ce domaine.


Goggle projette de lancer une version française de son site de partage vidéo YouTube avant de s'étendre sur le reste de l'Europe, selon son P-Dg Eric Schmidt, et cela afin d'emporter des parts de marché sur le Français DailyMotion et l'Américain MySpace.
Suivant une information diffusée par le quotidien "Les Echos", la France serait utilisée comme banc d'essai pour tester les réactions du public européen. Si l'expérience réussit, elle se poursuivra vraisemblablement en Allemagne, puis s'étendra au reste de l'Europe.
Mais ce n'est pas tout, et le roi de la recherche sur internet tente actuellement de séduire les directeurs de chaînes de télévision afin qu'ils consentent de diffuser leurs programmes via Google. Déjà, la BBC avait répondu à l'appel en signant un tel accord en mars dernier. France Televisions s'est aussi déclarée intéressée, mais aurait jusqu'ici limité son accord à certains programmes de France 4. La société américaine aurait aussi approché Canal+, TF1 et M6 entre autres, proposant un partage de revenus publicitaires, une pratique désormais courante aux Etats-Unis, et qui semble destinée à s'imposer en Europe.
Google espère ainsi rattraper son retard sur DailyMotion, qui représente 26% en parts de marché dans l'hexagone, alors que YouTube ne réalise "que" 23%. Et cela sans lésiner sur les moyens, qui semblent déjà à la hauteur de l'investissement d'origine puisque YouTube avait été racheté par le géant américain en octobre dernier pour 1,6 milliard de dollars.
Questionné sur ses projets, Eric Schmidt n'a pas souhaité répondre immédiatement. Il est cependant probable qu'une annonce officielle sera faite lors de sa prochaine venue en France, le 19 juin prochain. Mais il devra aussi rassurer ses interlocuteurs, c'est-à-dire les responsables des chaînes sur la légalité du contenu qu'il proposera, car la réputation de YouTube est actuellement ternie par plusieurs actions en justice en raison de violations présumées aux droits d'auteurs.
Suivrez-vous les rencontres de la prochaine coupe du monde de foot sur YouTube ? Les sociétés de télédistribution qui proposent déjà un bouquet numérique par ADSL ont peut-être du souci à se faire…