Pour les prochains Jeux Olympiques 2008 de Pékin, ce sera Windows XP pour les organisateurs et Vista pour la détente des athlètes.

Le système d'exploitation Windows Vista relégué au rang de simple faire-valoir de son prédécesseur XP, c'est un peu anachronique et pas véritablement dans l'ordre des choses mais c'est pourtant ce qui va se produire dans le cadre des prochains Jeux Olympiques en Chine.

Tous les ordinateurs qualifiés de vitaux autrement dits en charge du bon déroulement de cet évènement toujours très médiatique, fonctionneront sous Windows XP. Ainsi l'ont décidé les organisateurs qui ont fait appel au constructeur local Lenovo pour se fournir en matériel. Vista ne sera par pour autant totalement privé de JO mais se cantonnera au rôle " ingrat " diront certains, de divertir les athlètes en prenant place dans les salons Internet qui leurs seront réservés.

Manque de recul sur les qualités de Vista ?
Evidemment, le jeune âge de Vista est pour beaucoup dans cette décision, Yang Yuanqing, le président du conseil d'administration de Lenovo ayant déclaré que les JO avaient besoin de technologies matures et eu égard à leur importance, n'étaient pas le lieu approprié pour en tester de nouvelles, avant d'ajouter : " Si Vista n'est pas stable, cela pourrait poser de sérieux problèmes. "

A noter par ailleurs que toujours sous couvert de garantir la stabilité des infrastructures informatiques, les réseaux sans fil seront réduits à leur plus simple expression et c'est la robustesse des liaisons câblées qui sera privilégiée pour tous les systèmes sensibles.

Lenovo qui est le sponsor officiel des JO 2008 a déjà livré 12 000 ordinateurs de bureau et 2 000 imprimantes à ses organisateurs, en plus de 800 portables et 700 serveurs. 5 000 autres PC iront décorer les salons des athlètes (sous Vista donc).

source: generation-nt.com

Nous sommes à la veille d'un tournant majeur dans le panorama des médias, provoqué par les changements des technologies, des habitudes des usagers et des stratégies publicitaires des entreprises », affirme James Rutherfurd, directeur de Veronis Suhler Stevenson (VSS), et « ce changement va continuer dans les cinq prochaines années ». En conséquence, VSS prévoit que la publicité en ligne aura une croissance de plus de 20 % par an jusqu'en 2011. La firme estime que, d'ici à quatre ans, la plus grande part des dépenses publicitaires se fera sur Internet, où il se dépensera 62 milliards de dollars... Davantage que ce qui est prévu pour les journaux (60 milliards de dollars). La radio et la télévision resteront toutefois en tête des budgets publicitaires, avec une dépense globale estimée à 86 milliards de dollars dans quatre ans.

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    En 2007, les consommateurs consacrent encore 70 % de leur temps alloué aux médias à regarder la télévision ou écouter la radio, la musique comptant pour 5,3 %. Mais, pour la première fois cette année, le temps de lecture de la presse aux Etats-Unis sera inférieur à celui passé en ligne. En effet, les consommateurs affirment dorénavant consacrer à Internet 5,1 % de leur temps alloué aux médias, contre 4,9 % à lire les journaux ou à écouter de la musique... « Cette tendance correspond à ce qui est enregistré depuis plusieurs années mais nous atteignons le point où les courbes vont se croiser », estime James Rutherfurd. L'étude montre aussi que les Américains consacrent moins de temps à tous les médias confondus. Une tendance qui n'est toutefois pas observée au travail en raison de la présence d'Internet. « De plus en plus d'entreprises ont besoin d'informations à la seconde. La plupart des salariés ont accès à un ordinateur à leur bureau », fait aussi remarquer le directeur de Veronis Suhler Stevenson.
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    Le cabinet américain prévoit que les publicités sur les blogs, podcasts et autres flux RSS auront la plus grande croissance entre 2006 et 2011 (+ 70,9 %) pour atteindre 1,138 milliard de dollars en 2011. L'achat de mots clefs - qui génère l'essentiel des recettes de Google - devrait garder sa position de leader en termes de dépenses en publicité en ligne, avec plus de 43 % des investissements sur un total de 16,744 milliards de dollars. En France aussi, Internet est en passe de devenir un véritable média publicitaire de masse. Selon une étude de TNS Media intelligence, le marché de la publicité en ligne a ainsi enregistré en 2006 une croissance de 48 %, à 1,69 milliard d'euros, totalisant 8 % des investissements publicitaires bruts. Un léger ralentissement par rapport au boom de 75 % constaté en 2005 mais les dépenses d'achat d'espace en ligne restent très soutenues.
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    Si la publicité sur Internet n'est pas encore parvenue au niveau de celle dévolue à la presse (7 milliards d'euros, soit 33,2 % du marché), elle suscite en tout cas un engouement de plus en plus fort des annonceurs.
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    <b>source: lesechos.fr</b>

Une société new-yorkaise, Competitrack, a présenté un tout nouvel outil permettant de reconnaître «l’empreinte» d’une vidéo. Selon ses créateurs, chaque vidéo possède une luminosité et un son propres, qu’il est possible d’analyser par un algorithme complexe.

Cible majoritaire, les sites communautaires tels que Youtube ou Dailymotion qui permettent à certains de partager illégalement des vidéos sans respecter les droits d’auteurs. Grâce à cet outil, totalement automatisé, il sera possible d’identifier rapidement des scènes provenant de films ou de séries par exemple dans la base de données accessible aux internautes.

Selon Competitrack, la reconnaissance se fait parfaitement même sur des vidéos de mauvaise qualité et sans son, du moment que l’outil dispose d’un échantillon d’au moins cinq secondes.

source: 20minutes.fr

Les parents de la jeune britannique Madeleine McCann, disparue au Portugal en mai dernier, ont lancé une chaîne consacrée aux enfants disparus sur la célèbre plate-forme d’échange de vidéos.

Le lancement de la chaîne "Ne m'oubliez pas", par les parents de Madeleine McCann, intervient à la veille des 100 jours de la disparition de leur fille au Portugal. Cette chaîne de vidéos est gérée par le Centre international pour les enfants disparus et exploités (ICMEC), également partenaire de l’opération avec Google, propriétaire de YouTube.

La chaîne propose des vidéos d'enfants et de jeunes portés disparus, et ce quelque soit leur origine, afin de maintenir la mobilisation pour leur recherche. Les vidéos, postées sur le site par des parents ou des proches de disparus, sont soumises à l’approbation de l’ICMEC avant leur mise en ligne. La chaîne propose aussi les messages de soutien de personnalités comme Laura Bush, la femme du président américain, ou la vedette du football, David Beckham.

"Avec l'enlèvement de Madeleine nous avons été confrontés au fait qu'elle avait pu être emmenée au-delà des frontières, or internet atteint le monde entier", précise Kate McCann.

Campagne médiatique

Il s’agit là d’un nouvel épisode de la mobilisation internationale pour retrouver la jeune britannique. Cent jours après sa disparition au Portugal, la petite Madeleine McCann suscite encore en Grande-Bretagne une couverture médiatique exceptionnelle rappellant celle qui avait suivi la mort de la princesse Diana. Les époux McCann ont aussi su attirer le regard des médias, étant reçus au Vatican par le pape Benoît XVI, se rendant à Madrid, Berlin, Amsterdam et au Maroc pour alerter les opinions publiques, créant un site internet, ou obtenant le soutien de personnalités comme l'écrivain J.K. Rowlings, l’auteur d’Harry Potter.

Madeleine McCann, 4 ans, a disparu le 3 mai dernier tandis que ses parents dînaient dans un restaurant à une cinquantaine de mètres de l'endroit où l'enfant dormait en compagnie de son frère et de sa sœur, dans le complexe hôtelier de Praia da Luz, au sud du Portugal.

"Ridicule d’imaginer que nous avons tué Maddie"

Sur le front de l’enquête, le mystère reste entier après la publication dans la presse portugaise d'informations sur la découverte de traces de sang dans la chambre de la fillette. Des informations qui n’ont été ni confirmées, ni démenties. Les parents de la fillette refusent d'envisager la possibilité de la mort de Maddie "tant que des preuves concrètes" n'auront pas été apportées.

D'après les médias, les enquêteurs envisagent désormais la thèse d'un meurtre ou d'un accident, sans pour autant écarter la thèse jusqu’ici privilégiée de l'enlèvement. Une partie de la presse portugaise semble même suggérer ces derniers jours que les McCann seraient impliqués. "Imaginer que nous ayons tué notre fille? C'est ridicule", a réagit vendredi Gerry McCann dans un entretien à l'hebdomadaire portugais Expresso.

Jusqu'à présent, le Britannique Robert Murat, qui ne cesse de clamer son innocence, est la seule personne mise en examen dans cette affaire. Le week-end dernier, le jardin de sa villa a été fouillé par les policiers. Selon le quotidien britannique The Times de vendredi, il devrait même être blanchi dans les prochains jours.

lefigaro.fr

Après avoir créé le buzz depuis octobre, le site américain, qui vise à mettre la population en fiches, a ouvert hier. Et été pris d’assaut.

La semaine dernière, les chercheurs australiens nous apprenaient que les imprimantes laser, présentes dans de nombreux bureaux à travers le monde, posaient un risque sanitaire. L'étude menée par les scientifiques de l'université de technologie de Brisbane pointait du doigt les émissions de polluant en provenance des imprimantes lasers et plus particulièrement des modèles HP, un segment du marché largement dominé par la firme américaine depuis les années 90. Pour Hewlett-Packard, qui ne conteste d'ailleurs pas directement les données des chercheurs, il n'existe cependant aucun lien entre les émissions des imprimantes et un risque éventuelle pour la santé publique.

Dans un communiqué, le fabricant déclare : « HP ne voit pas d'association entre les imprimantes utilisées par les clients et des effets négatifs sur la santé liés à des composants organiques volatiles, de l'ozone ou de la poussière. Bien que nous reconnaissions que les imprimantes émettent des particules utra-fines, ces niveaux sont en dessous de ceux reconnus pour une exposition limite. »

De leur côté, des scientifiques américains indiquent qu'il est trop tôt pour tirer un lien entre les émissions des imprimantes et leur impact sanitaire : « Nous ne savons pas ce que les résultats de cette étude indiquent. Certainement, l'exposition à des particules ultra-fines n'est pas une très bonne chose mais nous n'avons pas d'idée à quoi cela correspond dans le monde réel ». Si l'étude australienne est la première à pointer du doigt ce problème, elle mérite vraisemblablement d'être complétée par d'autres études non pas tant sur les émissions de particules que sur leur impact réel sur la santé.b[

Le nippon Sony vient d'annoncer pour le marche Asie-Pacifique, la sortie d'un autoradio répondant au doux nom de MEXBT2500. La particularité de ce modèle ? Il accepte aussi bien les disques CD que les DVD contenant des morceaux audios utilisant les formats WMA, MP3 ou AAC (sans oublier bien sûr le très anecdotique format maison, l'ATRAC3plus). Mais l'autre particularité de cet autoradio vient bien sûr de son contrôleur Bluetooth intégré. Cela lui permet de recevoir de la musique depuis n'importe quel appareil portable comme un téléphone portable ou un lecteur MP3 doté d'un transmetteur Bluetooth. Ainsi pas besoin de câbler l'autoradio à son lecteur MP3 pour profiter de ses morceaux préférés lors des longs trajets.

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    Mieux, le Bluetooth embarqué permet d'appairer son téléphone sans fil et de profiter des enceintes du véhicule comme système mains libres alors que l'autoradio peut reconnaitre jusqu'à cinq téléphones Bluetooth. Reste un petit détail, les iPod n'ont pas de transmetteur Bluetooth intégré. A cet effet, Sony propose un adaptateur permettant de relier par câble son iPod à l'autoradio, adaptateur comprenant un chargeur et une base pour l'iPod... Dommage toutefois pour le sans-fil !
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    Par ailleurs, le MEXBT2500 dispose d'un connecteur USB en façade qui permet de reconnaître les clés USB et de lire les morceaux MP3, WMA et autres qu'elles contiennent. Sony n'oublie pas le connecteur mini-jack en façade qui permettra de relier tout type de baladeur, avec fil toutefois... Aucune date de disponibilité n'est pour l'heure communiqué pour cet autoradio mais le prix est fixé outre-atlantique à 449 dollars.
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Alors que Verbatim annonce la disponibilité prochaine de médias Blu-ray de taille réduite, Hitachi lève le voile sur le tout premier caméscope Blu-ray. Baptisé DZ-BD70A, le petit dernier d'Hitachi peut enregistrer des vidéos haute définition en 1920x1080 sur les tous nouveaux disques Mini Blu-ray, des disques qui offrent rappelons-le une capacité de stockage équivalente à une heure de vidéo en pleine résolution. Utilisant un capteur CMOS de 5,3 Mégapixels, le DZ-BD70A adopte une optique composée d'une douzaine d'éléments et se pare d'un écran de 2,7 pouces. Doté d'un mode photo, le caméscope peut enregistrer des clichés avec une résolution de 4,32 Mégapixels et dispose pour ce faire d'un lecteur de cartes mémoires SD.

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    Non content de proposer le DZ-BD70A, Hitachi annonce le DZ-BD7HA, un caméscope hybride qui enregistre vos vidéos sur disque Mini Blu-ray et dispose en prime d'un disque dur de 30 Go. Celui-ci peut contenir jusqu'à quatre heures de vidéo haute définition en 1920x1080 ou 8 heures en 1440x1080. Hitachi a même prévu sur ce modèle une fonction de transfert des vidéos avec la possibilité d'enregistrer les vidéos contenues sur le disque dur vers un disque Blu-ray.
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    Déjà disponibles au Japon, les nouveaux caméscopes Blu-ray annoncés par Hitachi devraient voir le jour aux Etats-Unis dans le courant du mois de novembre. Il est question d'un prix public de 1299 dollars pour le modèle DZ-BD70A et de 1499 dollars pour le caméscope hybride avec disque dur intégré.