Les geeks, déjà séduits par le lancement de l'iPhone, ont désormais une occasion supplémentaire de se réjouir : ils pourront utiliser Skype sur le téléphone estampillé Apple.
L'initiative est signée Tom Keating, un responsable de TMC Labs, et relève davantage de l'exploit que de la bidouille utilisable par le plus grand nombre. Elle consiste en la transformation de l'iPhone en télécommande, grâce à l'application SoonR, pour contrôler à distance Skype, qui doit être précédemment installé sur un PC.

SoonR Talk est un module Ajax fonctionnant avec le navigateur Opera (qui doit donc être présent sur l'iPhone). Le module se connecte au PC grâce au serveur SoonR. SoonR Talk établit ensuite l'appel via SkypeOut. Les communications ne sont donc ni gratuites, ni simples à mettre en place. Mais elles ont le mérite d'être moins chères que celles passées directement avec l'iPhone, via At&T, l'opérateur partenaire d'Apple aux Etats-Unis.

Selon des chercheurs en sécurité, il semblerait que l'utilisation conjointe sur un même système d'Internet Explorer et de Firefox v2.00 puisse donner lieu à une vulnérabilité à haut risque. Le problème soulevé se produirait en naviguant sur un site malintentionné depuis Internet Explorer, site qui utiliserait l'identifiant de ressource "firefoxurl://" enregistré par Firefox pour interagir avec certaines ressources du web et compromettre ainsi la machine.

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    Alors que les premiers rapports sur cette faille incriminaient la dernière mise à jour de sécurité d'Internet Explorer, il semblerait qu'au final Internet Explorer et Firefox soit tous les deux coupables. Selon le directeur de sécurité de Symantec, Oliver Friedrichs, les deux applications sont responsables : « Vous avez deux logiciels très complexes qui ne s'entendent pas très bien et peuvent être à l'origine d'un problème de sécurité. Les composants seuls sont sûrs mais pas lorsqu'ils sont ensemble. ». Selon le chercheur Thor Larholm, chercheur en sécurité : « Firefox est le vecteur actuel de l'attaque mais Internet Explorer est en cause pour ne pas supprimer certains caractères qu'il passe en ligne de commande. ».
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    Nous avons donc un Firefox coupable d'enregistrer dans Windows une nouvelle ressource d'exécution sans plus de précaution alors qu'Internet Explorer est coupable de ne pas filtrer convenablement le contenu qu'il exécute. En attendant un éventuel correctif, il est toujours possible de supprimer l'objet "Firefox URL" de son système d'exploitation pour se prémunir de tout problème.

Alger - Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche Scientifique a chargé l'université de la formation continue (UFC) de mettre en ligne sur Internet, 30 % des contenus pédagogiques des universités, a annoncé lundi à Alger, le recteur de l'UFC, Lemnouar Abdeldjabar Lamamra. Intervenant au centre de presse d'El Moudjahid, lors d'une conférence sous le thème "l'UFC, point focal des TIC dans l'enseignement Supérieur", M. Lamamra a indiqué que cette action prévue à l'horizon 2009, "constituera une banque de données au profit des étudiants ne pouvant pas assister au cours".

Le nombre de sites Web malicieux apparaissant chaque jour s'est envolé ces derniers mois passant de 5 000 en avril à 30 000 par jour actuellement.

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    C'est évidemment une énorme hausse. En juin nous avons vu ce chiffre passer de 9 500 par jour pour atteindre 29 000 ", a déclaré Carole Theriault, consultante sécurité senior chez Sophos, firme proposant des solutions de sécurité informatique. Selon ses dires relayés par InformationWeek et Techweb, il y a au moins deux raisons pour expliquer cette augmentation considérable.
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    La première est que les pirates informatiques se détournent de plus en plus de l'e-mail comme méthode favorite de diffusion de logiciels malveillants et s'orientent davantage dans les sites Web malicieux. Dans certains cas, il s'agit de sites Web uniques mais, la plupart du temps, ils imitent un autre site pour tromper l'internaute et lui faire télécharger, à son insu, des applications frauduleuses sur leur ordinateur - on parle alors de phishing.
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    Selon Sophos, on dénombre ainsi 29 700 nouveaux sites Web par jour et 80 % d'entre eux sont des copies de sites Internet de confiance.
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    La seconde raison pour laquelle ce chiffre a explosé vient du fait que les chercheurs en sécurité informatique deviennent de plus en plus aguerris pour les détecter. Le nombre de sites Web étant titanesque, trouver les sites frauduleux pourrait être une activité rebutante, mais plus les chercheurs sont nombreux, plus il devient facile de les trouver, conclut TechWeb.

C'est en 1995 que Michael Kovatch avait acheté le nom de domaine iphone.com et il comptait créer une activité sur internet autour de ce nom de domaine. Parallèlement, vous savez ce qu'Apple et vient de sortir aux Etats-Unis et forcément, le rachat d'un tel nom de domaine était quasi obligatoire. Aussi, Apple vient de racheter le nom de domaine pour la modique somme d'un million de dollars !

Microsoft vient de rendre public son centre de protection en ligne contre les malwares. Disponible en suivant ce lien: http://www.microsoft.com/security/portal/ , ce nouveau site donne accès à diverses informations relatives aux dernières menaces qui ont le vent en poupe. C'est ainsi que Microsoft propose une encyclopédie des logiciels malveillants avec fonction de recherche, en plus d'un service de téléchargement des signatures antivirus et antispyware pour ses logiciels de sécurité (Windows Defender et Forefront). Le nouveau site liste qui plus est les menaces les plus répandues et ce par catégorie. Enfin, il est possible de soumettre des souches virales en ligne par le biais du centre de protection Microsoft.

La situation vient brutalement de s’améliorer entre les deux sociétés Samsung et Ericsson. Le sud-Coréen et le Suédois avaient en effet jusqu’à présent plusieurs procès en cours portant sur les technologies de téléphonie mobile 2G et 3G. Mais tout ceci est désormais terminé.

Il apparaît en effet dans un document remis à l’organisme de régulation financière de la Corée du Sud que Samsung et Ericsson sont parvenus à un accord. Le but premier de cet accord est de permettre à chacune des deux entreprises de piocher chez l’autre les brevets dont elle pourrait avoir besoin.

Compacte, rapide, silencieuse et faible consommatrice d'énergie, la mémoire flash est en passe de devenir l'auxiliaire indispensable de vos ordinateurs.

La mémoire flash est constituée de semi-conducteurs, au même titre que la mémoire vive (Ram) qui se trouve dans les PC. Une différence de taille, toutefois : elle est non volatile, c'est-à-dire qu'elle conserve les données même sans alimentation électrique. C'est cette caractéristique qui en fait une alternative intéressante aux supports de stockage traditionnels que sont les DVD-R et les disques durs : cartes mémoire des appareils photo numériques, téléphones portables, clés USB, baladeurs MP3... en résumé, tous les appareils nomades en sont équipés.

Les raisons de cette omniprésence ? D'abord la taille : une puce prend bien moins de place qu'un disque mécanique - à l'heure où l'on miniaturise à tout va, cet aspect est important. Ensuite, la moindre consommation en énergie, puisque, contrairement à un disque dur, une puce de mémoire n'a pas de parties mécaniques à faire travailler. Et, qui dit moindre consommation, dit autonomie améliorée. Après s'être imposée dans les appareils et les accessoires numériques, la mémoire flash commence à s'installer dans les PC, aux côtés du processeur et de la carte graphique. Elle dispose en effet d'un autre atout qui permet d'envisager de l'utiliser pour remplacer aussi les disques durs des micros : son temps d'accès est bien moins élevé.

Une vitesse de transfert en retrait

Ainsi, là où il faut 10 millisecondes à un disque dur pour localiser une information précise, la mémoire flash met moins de 0,1 ms, soit cent fois moins. En revanche, une fois les données trouvées, leur transfert vers le micro-processeur du PC est, lui, plus lent, que sur les disques durs actuels : une mémoire flash transfère en moyenne 30 Mo de données par seconde, contre 50 à 70 Mo pour les disques durs.

De plus, la mémoire flash reste aujourd'hui encore assez chère - autour de 15 euros le gigaoctet, quand il revient à 60 centimes pour un disque dur classique. Mais ce prix devrait sensiblement baisser dans les années à venir. Ainsi, selon Intel, qui fabrique aussi des mémoires flash, leur prix serait divisé par quatre d'ici à 2009. Un avenir très proche, que les fabricants préparent déjà.

A chacun sa fonction

La généralisation de la mémoire flash dans les PC va commencer avec les premiers disques durs hybrides, annoncés par Samsung et Seagate pour la fin de l'année.

Pourquoi hybrides ? Car, dans leur boîtier, cohabiteront deux technologies : un disque dur classique, à base de plateaux magnétiques et une tête de lecture motorisée, et de la mémoire flash.

Le but de ce mariage est de bénéficier du meilleur des deux technologies : on stocke dans la mémoire flash les informations les plus utilisées, de sorte que le recours aux disques magnétiques soit le moins fréquent possible, et on bénéficie en plus d'une capacité de stockage conséquente, sans pour autant se ruiner.

Sur le papier, les avantages sont multiples. Ainsi, on nous promet une accélération du transfert d'informations, puisqu'il n'est plus nécessaire d'aller systématiquement les rechercher sur le disque mécanique. D'autre part, Samsung affirme qu'un disque hybride consommerait entre 70 % et 90 % d'énergie de moins qu'un disque classique, s'échaufferait moins et ferait donc moins appel au ventilateur. De plus, sachant que les pannes de disque dur sont le plus souvent des pannes mécaniques dues à un usage intensif, leur durée de vie en serait nettement prolongée.

Compacte, rapide, silencieuse et faible consommatrice d'énergie, la mémoire flash est en passe de devenir l'auxiliaire indispensable de vos ordinateurs.

La mémoire flash est constituée de semi-conducteurs, au même titre que la mémoire vive (Ram) qui se trouve dans les PC. Une différence de taille, toutefois : elle est non volatile, c'est-à-dire qu'elle conserve les données même sans alimentation électrique. C'est cette caractéristique qui en fait une alternative intéressante aux supports de stockage traditionnels que sont les DVD-R et les disques durs : cartes mémoire des appareils photo numériques, téléphones portables, clés USB, baladeurs MP3... en résumé, tous les appareils nomades en sont équipés.

Les raisons de cette omniprésence ? D'abord la taille : une puce prend bien moins de place qu'un disque mécanique - à l'heure où l'on miniaturise à tout va, cet aspect est important. Ensuite, la moindre consommation en énergie, puisque, contrairement à un disque dur, une puce de mémoire n'a pas de parties mécaniques à faire travailler. Et, qui dit moindre consommation, dit autonomie améliorée. Après s'être imposée dans les appareils et les accessoires numériques, la mémoire flash commence à s'installer dans les PC, aux côtés du processeur et de la carte graphique. Elle dispose en effet d'un autre atout qui permet d'envisager de l'utiliser pour remplacer aussi les disques durs des micros : son temps d'accès est bien moins élevé.

Une vitesse de transfert en retrait

Ainsi, là où il faut 10 millisecondes à un disque dur pour localiser une information précise, la mémoire flash met moins de 0,1 ms, soit cent fois moins. En revanche, une fois les données trouvées, leur transfert vers le micro-processeur du PC est, lui, plus lent, que sur les disques durs actuels : une mémoire flash transfère en moyenne 30 Mo de données par seconde, contre 50 à 70 Mo pour les disques durs.

De plus, la mémoire flash reste aujourd'hui encore assez chère - autour de 15 euros le gigaoctet, quand il revient à 60 centimes pour un disque dur classique. Mais ce prix devrait sensiblement baisser dans les années à venir. Ainsi, selon Intel, qui fabrique aussi des mémoires flash, leur prix serait divisé par quatre d'ici à 2009. Un avenir très proche, que les fabricants préparent déjà.

A chacun sa fonction

La généralisation de la mémoire flash dans les PC va commencer avec les premiers disques durs hybrides, annoncés par Samsung et Seagate pour la fin de l'année.

Pourquoi hybrides ? Car, dans leur boîtier, cohabiteront deux technologies : un disque dur classique, à base de plateaux magnétiques et une tête de lecture motorisée, et de la mémoire flash.

Le but de ce mariage est de bénéficier du meilleur des deux technologies : on stocke dans la mémoire flash les informations les plus utilisées, de sorte que le recours aux disques magnétiques soit le moins fréquent possible, et on bénéficie en plus d'une capacité de stockage conséquente, sans pour autant se ruiner.

Sur le papier, les avantages sont multiples. Ainsi, on nous promet une accélération du transfert d'informations, puisqu'il n'est plus nécessaire d'aller systématiquement les rechercher sur le disque mécanique. D'autre part, Samsung affirme qu'un disque hybride consommerait entre 70 % et 90 % d'énergie de moins qu'un disque classique, s'échaufferait moins et ferait donc moins appel au ventilateur. De plus, sachant que les pannes de disque dur sont le plus souvent des pannes mécaniques dues à un usage intensif, leur durée de vie en serait nettement prolongée.