Les ventes mondiales de téléphones portables se sont élevées à 257 millions d'unités au premier trimestre 2007. Les marchés de la zone Asie-Pacifique et du Japon contribuent largement au dynamisme de cette industrie.

Selon Gartner, il s'est vendu 257,4 millions de téléphones portables dans le monde lors du premier trimestre 2007. Ce qui traduit une progression de 14% du marché à période comparée de l'année précédente.

Avec des livraisons en hausse de 40% à 90,4 millions d'unités, la zone Asie-Pacifique tire la croissance du secteur. Malgré sa maturité, le marché japonais affiche aussi une bonne santé avec 14,7 millions de mobiles vendus, soit une hausse de 16,6%. En revanche, la situation est tout autre en Amérique du Nord et en Europe de l'Ouest où les taux de croissance ne se situent respectivement qu'à 2% (41 millions d'unités) et 4% (42,9 millions d'unités).

Sur les trois premiers mois de l'année, Nokia est resté le leader mondial incontesté du téléphone portable. Une domination qu'il a continué de renforcer sur cette période avec des parts de marché de 35,7%, en hausse de 1,8 point. Au détriment, semble-t-il, de Motorola, son dauphin, dont les parts de marché sont passées de 20,3% en 2006 à 18,5% au début de l'année.

Selon Gartner, Nokia a notamment profité des ventes de ses mobiles multimédia dont il a écoulé 8 millions d'unités. De son côté, Motorola a pâtit des stocks trop importants constitués chez ses distributeurs. D'où la faiblesse de sa croissance relevée par Gartner, puisque ce dernier ne prend en compte dans son étude que les ventes des fabricants aux distributeurs.

Troisième du classement, Samsung est on ne peut plus constant puisque, comme en 2006, ses parts de marché mondiale se situaient à 12,5% au premier trimestre 2007.

C'est finalement Sony Ericsson, en quatrième position, qui réalise la plus forte progression des trois premier mois de l'année avec une part de marché en hausse de 2,6 points à 8,4% du total des mobiles livrés.

Selon les prévisions de Gartner, les ventes de mobiles devraient croître de 16% à 1,15 milliard d'unités sur l'ensemble de l'année 2007

Le constructeur réalise des motifs cachés avec une imprimante standard. Le procédé permet de mieux authentifier ses documents.

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    Les chercheurs de Xerox ne manquent pas d'ingéniosité. Après avoir mis au point un procédé permettant d'introduire des hologrammes dans des documents imprimés avec une laser noir et blanc, les labos du groupe américain ont trouvé le moyen d'imprimer avec une laser couleur des mots ou des graphismes visibles uniquement avec une lampe à rayons ultraviolets.
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    « La force de notre procédé est qu'il ne nécessite pas d'encre fluorescente spécifique », explique Reiner Eschbach, chercheur au Xerox Innovation Group et co-inventeur du procédé, dans une vidéo (en anglais) publiée sur le site de Xerox.
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    La technologie utilise en fait la fluorescence des papiers standards. Cette propriété de certains matériaux leur fait, en général, émettre de la lumière visible à partir d'une source d'énergie invisible (les ultraviolets). Or les fabricants de papiers pour imprimante leur ajoutent aujourd'hui des agents fluorescents pour les rendre plus blancs. Et ceux-ci rougeoient lorsqu'ils sont exposés aux ultraviolets.
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    L'impression de minuscules motifs avec une imprimante laser couleur (toner à 4 couleurs) permet d'empêcher ce rougeoiement points par points. Ensemble, ces points peuvent alors constituer des graphismes ou des mots.
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    Grâce à ce procédé, les entreprises peuvent mieux authentifier des documents importants ne devant pas être copiés (tickets, coupons, badges, etc.) car les scanneurs et les photocopieurs sont incapables de reproduire le phénomène. Pour s'assurer qu'un billet n'est pas une copie, il suffit alors de le passer sous une lampe à ultraviolets.
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    Xerox annonce la disponibilité immédiate de ce nouveau procédé sur sa gamme d'imprimantes et de copieurs laser couleurs grâce à l'utilisation de FreeFlow Variable Information Suite, son logiciel professionnel dédié à la gestion des flux de documents dans l'entreprise. 

Même si Corsair a tardé a présenté une gamme de mémoire vive DDR3, la compagnie a frappé un grand coup en dévoilant sa ligne DOMINATOR de mémoire vive la plus rapide au monde. Elle a en effet annoncé des fréquences jamais évoquées encore par ses concurrents. Prévue pour les processeurs Intel actuels et à venir, Corsair a démontré que sa mémoire vive DDR3-1600 DOMINATOR était prêt et a même prévu une prochaine génération plus rapide la DDR3-2000.

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    Corsair, le leader mondial dans les ordinateurs à haute performance et les produits de mémoire vive, a dévoilé aujourd’hui la ligne de mémoire vive DDR3 la plus rapide du monde d’une fréquence de 1600 MHz, et sa future mémoire Corsair DOMINATORTM de 2000 MHz, fréquence jamais encore à ce jour évoquée par les concurrents de Corsair.
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    La démonstration en direct de la nouvelle mémoire DOMINATOR sera faite dans la suite VIP de Corsair au Grand Hyatt Hotel. La TWIN3X2048-1600C10D DOMINATOR est le dernier modèle de barrette de mémoire de haute performance. La nouvelle génération de DDR3 DOMINATOR sera aussi en démonstration, allant de barrettes de 1GB jusqu’à 2000MHz et des barrettes de 2GB ayant des performances pour les applications de 64-bit.
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    Toutes les barrettes de mémoire DDR3 de Corsair ont été développés pour être compatibles avec les nouveaux processeurs Express P35 et X38 d’Intel, garantissant ainsi aux consommateurs une fiabilité pour les jeux ou les applications nécessitant beaucoup de ressources.
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    La TWIN3X2048-1600C10D DOMINATOR sera disponible peu après le Computex. Les deux produits (XMS3 DHX et XMS3 Classic products) fonctionnent déjà sur le stand du fabricant au Computex, mais on ne connaît pas encore leurs réglages timings : Toutes les barrettes de mémoire DDR3 opèrent à des voltages de mémoire bas pour parvenir à de meilleurs performances tout en consommant autant que la DDR2.
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    D’après Jack Peterson, vice président du marketing chez Corsair, “Corsair encourage la transition de l’industrie vers la DDR3 avec une ligne complète de mémoires de très haute performance. Nos partenariats avec les compagnies de haute technologie et les offreurs nous permettent d’être les premiers sur le marché de la production de la mémoire DDR3 la plus rapide, et nous permet de faire la démonstration de notre nouvelle génération de DOMINATOR de 2GHz. La mémoire DDR3 apporte une flexibilité et des fonctionnalités que la DDR2 ne peut pas fournir. Le fait d'être capable d'obtenir une fréquence mémoire deux fois plus élevée que le standard DDR3-1066 dès son lancement est simplement ahurissant ».

Selon la Business Software Alliance

Une réduction de 20% sur le coût de la connexion Internet a été décidée par l'opérateur historique Algérie Télécom (AT) pour les patrons des cybercafés. Une mesure qui a pris effet le 1er juin 2007. C'est ce qu'a annoncé Ahmed Kehili, directeur du marketing et de la qualité auprès de AT au cours de la conférence de presse qu'il a donnée hier au siège de la wilaya, sur la présentation du premier carrefour international des télécommunications, de l'information et de la communication, qui va se tenir du 3 au 5 juin 2007 dans la ville d'El Oued, et qui est organisé par AT. Une décision bien accueillie par cette corporation, qui compte 48 000 cybercafés, après la tension qui a mis aux prises les patrons de cybercafés à AT suite à la mauvaise qualité de la connexion qui a trop duré selon eux. Les patrons des cybercafés ont du reste laissé entrevoir leur mécontentement à diverses occasions.
La dernière fois à El Oued où les patrons de cette ville ont interpellé physiquement le représentant de AT au niveau de cette wilaya pour pousser l’opérateur à prendre ses responsabilités, ont déclaré les deux représentants des patrons de cybercafés d’El Oued, lors de la conférence de presse. Ce à quoi Kehili a répondu que tout allait rentrer dans l’ordre et de leur annoncer que AT avait décidé de réduire de 20 % le coût de la connexion et aussi d’autres mesures en leur faveur.
Pour revenir à la raison de cette conférence, le directeur marketing a fait savoir aux journalistes que ce 1er carrefour va réunir pas moins de 500 participants. Quant à la participation étrangère, il indiquera que «tous les équipementiers et opérateurs travaillant en Algérie sont présents à ce carrefour». Durant les trois jours du séminaire, des communications seront données par des experts et des professeurs d’université lors desquelles ils aborderont divers sujets d’actualité, notamment les évaluations des réseaux, les opportunités de partenariat dans le domaine des TIC, etc. A la question de savoir pourquoi le choix de la ville d’El Oued pour abriter ce premier carrefour, le directeur répondra : «Nous avons pensé qu’il était plus utile d’organiser un tel événement à l’intérieur du pays, car nous avons constaté sur le terrain que la fracture numérique est plus importante dans certaines wilayas du Sud. C’est pourquoi notre choix s’est porté sur la ville des mille coupoles.» Et d’annoncer dans la foulée que le second carrefour se tiendra l’année prochaine à Oran. Au sujet des activités de AT, Kehili a tenu à faire savoir que 1 380 écoles recevaient Internet, soit 55% du total des établissements scolaires du premier palier, et d’ici la fin de l’année le raccordement sera de 100%. Par contre, pour les second et troisième paliers, le taux de raccordement est de 100%. Quant aux universités, elles ont leur propre réseau. Soulignons enfin qu’aujourd’hui le P-DG de AT, accompagné des cadres du ministère de tutelle, va ouvrir officiellement le premier carrefour.

International Business Machine (IBM) ouvre ses bureaux en Algérie. La conjoncture économique y est favorable et le marché est de plus en plus convoité. L’arrivée du géant Américain sur le marché local dénote de sa volonté à être le plus près de ses clients et de ses partenaires, à travers une présence soutenue et un engagement sans faille. (Par Hamid A)

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    Le bureau de liaison d’IBM en Algérie a donc été inauguré. Une présentation à été faite lors d’un point de presse animé aujourd’hui à l’hôtel Aurassi, conjointement par M Daniel Chaffraix Général Manager IBM France, Afrique du Nord et de l’Ouest, et M Dziri Abdelatif, Country Manager IBM Algérie. Par cette présence, IBM souhaite ainsi multiplier ses liens avec ses partenaires commerciaux et élargir significativement son réseau. En plus de la commercialisation des serveurs et sous système associés, IBM mettra en avant ses services et conseils autour des solutions métiers et des infrastructures informatiques ainsi que la commercialisation de logiciels…
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    Pour M Chaffraix, l’ouverture de ce bureau de liaison est une réponse à la demande des clients et des partenaires d’IBM, « elle apporte une proximité qui nous permettra d’avoir une meilleure écoute de leurs besoins et de réagir beaucoup plus vite à leurs attentes », est de poursuivre, « nous avons de grandes ambitions dans ce pays, nous espérons bien les atteindre, nous avons bien étudié le marché, est nous misons sur nos compétences et notre expérience». De son côté, M Dziri, estime que les entreprises algériennes ont besoin de se moderniser et de se transformer en innovant dans leur produit et leur processus. Notre ambition est d’être leur partenaire de choix dans cet élan de développement en apportant nos technologies et notre expertise technique et métier », poursuit-il. 
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    IBM opère sur 165 marchés (pays) dans le monde, elle a atteint un chiffre d’affaires de 91,4 milliards de dollars fin 2006, pour un revenu net de 9,4 milliards de dollars sur la même période. Pour la région du Maghreb et de l’Afrique de l’Ouest, IBM enregistre 700 à 800 millions de dollars sur le total du chiffre d’affaires de la société. 
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    Notons que les locaux d’IBM en Algérie, sont situés à Alger, au sein l’Algeria Business Center, sise aux Pins Maritimes.
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Le PDG du groupe Algérie Télécom vient d’annoncer l’organisation du 1er carrefour international des technologies de l'information et de la communication (TIC), du 3 au 5 juin dans la wilaya d'El Oued.

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    Placé sous le thème "le monde arabe à l'aube des TIC", le 1er carrefour des TIC se veut "une opportunité historique pour l'ensemble des opérateurs arabes en vue de dégager une perception commune sur la société de l'information et de la communication", a souligné M. Khireddine lors d'un point de presse animé au siège du groupe.
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Le moteur de recherche le plus connu de la planète propose un nouveau service : un traducteur multilingues

Publicité: Google franchit la barrière des langues. Le 23 mai, les responsables de Google exprimaient leur "joie d’annoncer l’arrivée d’un traducteur multilingues (www.translate.google.com) donnant la capacité aux utilisateurs de traduire les résultats de leurs recherches en langue étrangères dans leur langue maternelle" et de traduire des textes.

Le géant de Mountain View indique que son outil est disponible en Anglais, évidemment, en Arabe, en Français, en Allemand, en Japonais, en Coréen, en Italien, en Portugais, en Russe ou encore Chinois simplifié. Les principales langues du monde industrialisé en somme. Les responsables de la firme ne disent pas si le nombre de langues augmentera ou pas.

Concrètement, l'internaute entre un mot clé, comme pour une recherche classique et définit sa langue maternelle. La page de résultats listera alors tous les sites correspondant mais avec des descriptifs traduits dans la langue choisie. Les descriptifs dans la langue originale sont également présentés.

L'outil permet également de traduire des mots, des phrases ou des pages Web en saisissant un texte ou par un simple copier-coller.

Dans les deux cas, on s'aperçoit que les traductions sont assez approximatives. On est ici dans le mot à mot plus que dans la traduction digne de ce nom. Pour autant, l'outil en beta est appelé à s'améliorer.

D'ailleurs, les responsables de la firme ont avoué que le moteur n’était pas encore "parfait".

Après avoir « universaliser » son moteur, et fournit la possibilité aux internautes d’accéder à différents contenus à partir d’une recherche, la firme souhaite en faciliter la lecture en s’attaquant cette fois aux langues. Manière pour Google de confirmer, s’il en était encore besoin, son statut de moteur de recherche dominant et incontournable.

Fujitsu vient d'annoncer la mise au point d'une nouvelle technologie de stockage magnétique permettant de multiplier par trois la densité des disques durs classiques.

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    Reposant sur une réduction de la taille des têtes de lecture / écriture, cette technologie permettrait d'atteindre des densités de stockage de l'ordre de 800 Gb par pouce carré là où les disques actuels à stockage perpendiculaire plafonnent à des densités de l'ordre de 230 Gb par pouce carré.
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    Deux problèmes apparaissent lorsque l'on veux diminuer la taille des têtes de lecture : la présence de fluctuations magnétiques pouvant perturber une tête trop petite et la difficulté à lire un bit codé sur peu de particules. La solution de Fujitsu, développée en partenariat avec le National Institute of Advanced Industrial Science and Technology, est d'utiliser de nouveaux matériaux, en particulier de l'oxyde de magnésium cristallin dans la tête magnétique.
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    La commercialisation est prévue pour 2009.
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