Le Triple Play est un ensemble de trois services qui est proposé dans le cadre d’un contrat unique, soit une seule offre vous permettant de bénéficier à la fois de la télévision numérique, d’un accès Internet haut débit et du téléphone fixe, le tout à un prix sans concurrence.

Toujours à la recherche des meilleures formules pour satisfaire ses clients et leur permettre d’appeler plus et à moindre coût, Nedjma lance une nouvelle promotion : Jusqu’à 40 minutes pour 50 DA seulement.


En effet, pour 50 DA seulement les clients Nedjma Plus, nouveaux ou anciens, bénéficieront selon leur choix soit de 40 minutes de communications vers le réseau Nedjma ou bien de 20 minutes de communications vers tous les réseaux en Algérie.  Le client peut renouveler cette commande autant de fois qu’il le souhaite en composant gratuitement le code *210# sur son mobile.  Les minutes peuvent être utilisées en plusieurs appels jusqu’à épuisement et sont valables le jour de l’achat uniquement.  La promotion « 40 minutes pour 50 DA seulement » est valable jusqu’au 30 Novembre  2010.

Nedjma reste à l’écoute de ses clients et veille à satisfaire leurs besoins en communications.


Fidèle à sa vocation d’entreprise citoyenne impliquée dans le développement et la promotion des nouvelles technologies de l’information et de la communication, Djezzy, leader de la téléphonie mobile en Algérie sera l’un des sponsors du 2e Congrès international des Ntic.


Ces journées auront pour thème : “La promotion de la coopération interafricaine pour le développement des TIC” ainsi que “La stratégie et gouvernance des TIC”. Notre directeur général-adjoint chargé du technique, M. Tamer Morsy présentera le 3 novembre à partir de 16h une communication d’actualité sous le thème : “Les potentialités des télécommunications en Algérie.” Tamer Morsy mettra l’accent sur les immenses ressources du secteur des Ntic en Algérie et ses potentialités de croissance. Ce grand rassemblement qui fera le point sur les dernières avancées technologiques en Afrique permettra à Djezzy, présent en force avec ses commerciaux et ses ingénieurs, de présenter toute une panoplie de solutions business adaptées aux entreprises algériennes.

Source: Liberté

Ahmed Ouyahia a tenté d’apporter, hier, des clarifications et des confirmations quant au dossier qui a fait couler beaucoup d’encre : Djezzy.


Très catégorique, le chef de l’Exécutif annonce que l’Etat acquerra définitivement la société Djezzy, filiale algérienne d’Orascom Telecom  Holding (OTH) en cession au géant russo-norvégien Vimpelcom et ne traite qu’avec la partie cosignataire du contrat. «L’Algérie ne reconnaît qu’un seul interlocuteur, à savoir Orascom Telecom Holding (OTH), cosignataire du contrat, et nulle autre partie», a précisé Ouyahia qui estime que les chiffres balancés concernant la valeur de cette dernière ne nous intéressent point. «L’Etat algérien rachètera Djezzy, quels que soient les obstacles. On spécule beaucoup sur la valeur de cet opérateur téléphonique», déplore l’orateur en référence au prix «équitable» fixé récemment à 7,8 milliards de dollars par le patron de Vimpelcom, Alexander Izosimov. «Si les deux parties ne parviennent à aucun accord, nous allons faire appel à des experts internationaux pour procéder à l’évaluation financière de Djezzy», a-t-il indiqué, en rappelant toutefois que Djezzy avait encore beaucoup de factures impayées.

«Les propriétaires d’OTH doivent apurer leur situation fiscale, a-t-il dit. Ils doivent régler encore 17 milliards de dinars (225 millions de dollars environ), s’acquitter de leurs dettes envers l’ARPT (Autorité de régulation de  la poste et des télécoms) et de celles engendrées par la dissolution de leur opérateur du fixeLacom» en novembre 2008. OTH est également accusée par la Banque d’Algérie de fraude dans les transferts de 190 millions de dollars, a précisé M. Ouyahia. Conformément à la législation algérienne, la société  Djezzy doit payer 20% de la plus-value à l’Algérie au moment de la vente. Dans l’attente de l’acquisition par l’Algérie de la société Djezzy, «les intérêts économiques du pays demeurent préservés car le propriétaire de la société est interdit depuis deux ans d’effectuer des transferts car n’ayant pas assaini sa situation vis-à-vis des impôts et en raison des accusations portées contre lui pour violation de la législation des changes».

Source: El Watan

Poursuivant son engagement dans la promotion et la vulgarisation des technologies de l’information et de la communication (TIC), Wataniya Telecom Algérie-Nedjma participe à la 2e édition du Congrès international sur le développement des stratégies des TIC, qui s’ouvrira à Oran aujourd’hui et qui durera jusqu’à jeudi.



Cette rencontre traitera des thèmes principaux de “La promotion de la coopération interafricaine pour le développement des TIC” et “Stratégie et gouvernance des TIC”. La participation de Nedjma se fera à travers une communication qui sera donnée au deuxième jour du congrès par Jean-Carl Mazigi, directeur stratégie au sein de l’entreprise sous l’intitulé : “Les  tendances mondiales du contenu mobile”. Un sujet d’actualité au regard de l’évolution constante du marché des solutions, services et autres technologies mobiles et leur place de plus en plus prépondérante dans la vie pratique et professionnelle des utilisateurs.  Le contenu mobile est en effet au cœur des stratégies de développement des opérateurs de téléphonie mobile et éditeurs de contenus de par le monde. Nedjma présentera à l’exposition, qui sera organisée en marge de ce 2e Congrès international sur le développement des stratégies des TIC, son portail multimédias au niveau de son espace services Nedjma qui sera mis en place à cet effet.

Source: Liberté

L’affaire Djezzy est en passe de connaître une nouvelle tournure à la faveur de l’intervention publique du copropriétaire norvégien dans le groupe russe Vimpelcom, qui a considéré qu’il faut encore attendre avant de parler «d’accord conclu» avec Sawiris.


L’affaire Djezzy a réveillé les vieilles rancœurs entre les deux  principaux actionnaires du groupe Vimpelcom. Le patron de l’opérateur norvégien Telenor, propriétaire à hauteur de 36% du groupe Vimpelcom, a exprimé des doutes sur le projet d’acquisition d’Orascom, soulignant qu’un accord n’est pas gagné d’avance. A ses yeux, le principal obstacle reste la prise de contrôle de la filiale algérienne d’Orascom, Djezzy, que Vimpelcom souhaite conserver car il s’agit, selon lui, de l’actif le plus lucratif de l’opérateur égyptien. Dans une interview au quotidien russe Vedomosti, reprise par l’agence Reuters,  le directeur général de Telenor, Jon Fredrik Baksaas, a considéré l’accord conclu entre Vimpelcom et Naguib Sawiris comme «une somme de différentes conditions». «Un grand nombre de questions doit être résolu avant de pouvoir parler d’accord conclu», a-t-il souligné. Prié de dire si l’opération irait à son terme même si Vimpelcom n’obtenait pas Djezzy, il a répondu : «Il n’y a pas encore de réponse.» Les querelles entre les actionnaires de l’opérateur russe sont récurrentes dès qu’il s’agit de la stratégie de l’expansion du groupe à l’étranger.


Un conflit juridique, ayant pris ses racines dans l’achat de l’opérateur ukrainien Kievstar, a déchiré l’entreprise Vimpelcom pendant plus de six ans. L’actionnaire norvégien a fait, par ailleurs, l’objet de poursuites judiciaires de la part d’un actionnaire minoritaire Farimex (soupçonné d’œuvrer au profit du russe Alfa Group). Le dernier épisode de ce feuilleton qui a ébranlé le groupe a été la saisie, en février 2009, par les tribunaux russes, des droits de vote et des actions (d’une valeur de 11,8 milliards de couronnes) de Telenor dans Vimpelcom. Après un bras de fer de plusieurs années, Telenor et Alfa ont convenu de regrouper leurs parts dans ces deux sociétés au sein d’une nouvelle filiale commune qui ciblera les pays émergents. «Nous avons transformé un conflit de cinq ans en un projet enthousiasmant pour l’avenir», a déclaré Jon Fredrik Baksaas dans un communiqué. L’entente aura été de courte durée puisque l’opérateur norvégien commence déjà à émettre des critiques au sujet de   l’acquisition d’Orascom. Pour l’heure, les marchés financiers, d’ordinaire sensibles au moindre frétillement, n’ont pas réagi négativement aux propos du patron  norvégien.


Vimpelcom est détenu à hauteur de 45% par le 23e homme le plus riche au monde, selon le classement de Forbes, Mikhail Fridman. L’oligarque est impliqué dans des scandales secouant la scène politique russe. De son côté, Telenor est le 7e opérateur mobile mondial : avec 172 millions de clients, il devance largement Orange ! Telenor a payé 800 millions d’euros pour 60% du nouvel opérateur mobile indien Unitech Wireless. L’affaire Djezzy prend ainsi une nouvelle tournure. Dalibor Vavruska, analyste à ING, spécialisée dans les télécoms sur les marchés émergents, estime que la décision de l’Etat algérien de recruter un cabinet international pour l’évaluation de la valeur d’OTA va bouleverser la donne. «Recruter des conseils potentiels rend un compromis (avec Vimpelcom) moins probable», a-t-elle expliqué à l’agence Reuters. «Si les Russes (n’obtiennent pas Djezzy), ils devront vraiment reconsidérer leur position concernant l’ensemble de l’accord.» Des sources du secteur et au sein du gouvernement algérien, citées par la même agence, estiment qu’un prix compris entre deux et trois milliards de dollars serait équitable. Le directeur général de Vimpelcom, Alexandre Izossimov, a déclaré de son côté que Djezzy valait sept fois son résultat avant charges financières, impôts, dépréciations et amortissements, ce qui valoriserait la société à hauteur d’environ sept milliards
de dollars.

Source: El Watan

L’accord trouvé entre les Russes et les Egyptiens ne semble pas infléchir la décision du gouvernement algérien dans l’acquisition d’OTA.


«L’affaire Djezzy» ne connaîtra pas son épilogue de sitôt. L’Algérie se rapproche de plus en plus de l’acquisition de cet opérateur téléphonique. Le ministère des Finances fait un pas dans ce sens. Le département de Karim Djoudi a lancé hier un appel d’offres international restreint pour le choix d’un partenaire devant l’accompagner dans l’opération d’acquisition de l’entreprise Orascom Télécom Algérie.

Cet avis d’appel d’offres, publié sous forme de placard publicitaire dans le quotidien El-Moudjahid, s’adresse aux banques d’affaires et cabinets d’expertise internationaux spécialisés, seuls ou constitués en groupement, afin d’accompagner l’Etat algérien dans son opération du rachat d’OTA. La date butoir des soumissions est le 24 novembre de l’année en cours. A ce titre, le ministère des Finances demande aux groupements intéressés de se rapprocher de la direction des budgets avant cette date afin de retirer le cahiers des charges. Cette démarche confirme la volonté affichée, maintes fois, par le gouvernement de racheter Djezzy.

Le choix d’un partenaire étranger signifie que l’Algérie souhaite impliquer un opérateur étranger dans le cadre des dernières dispositions prises en matière d’investissements étrangers à savoir, la formule 51% pour l’Algérie et 49% pour l’opérateur étranger. Cette nouvelle démarche du gouvernement algérien vient d’ajouter plus d’ambiguïté dans l’accord trouvé entre l’opérateur russe de téléphonie mobile Vimpelcom et la maison mère d’Orascom Télécom Holding. Autrement dit, l’accord conclu entre Weather Investments du milliardaire Naguib Sawiris et Vimpelcom, ne remet pas en cause la position de l’Algérie qui insiste sur la reprise de Djezzy. Rappelons que ledit accord stipule que l’opérateur russe détient 51,7% d’OTH. Les Russes espéraient acquérir Djezzy dans le cadre d’un accord de 6,6 milliards de dollars (4,7 milliards d’euros) pour prendre le contrôle des actifs d’Orascom.

Le nouveau patron de Vimpelcom, Alexander Izo-simov, annonce la couleur quant à un éventuel rachat de Djezzy par l’Algérie. Il a fixé à 7,8 milliards de dollars son prix d’acquisition. Réellement les choses ne sont pas finies. Pour le gouvernement algérien, «l’affaire Djezzy» est perçue comme une question de souveraineté. Des sources proches du dossier, ont confirmé à L’Expression, il y quelques jours que «le dossier de cette société de droit algérien sera traité en toute sérénité. L’Algérie ne subira aucune pression médiatique ou autre chantage politique», a-t-on appris auprès de la même source.


Source: L'Expression

«Les cartes sont entre nos mains, nous négocierons avec Djezzy», a affirmé M.Djoudi devant la commission parlementaire des finances, jeudi dernier.


L’affaire Djezzy n’en finit pas de surprendre l’opinion publique par ses rebondissements inattendus. De source sûre, L’Expression a appris hier, qu’une voix officielle algérienne réagira dans les toutes prochaines heures sur ce qu’il convient d’appeler désormais l’affaire Djezzy. «Le dossier de cette société de droit algérien sera traité en toute sérénité car c’est une question de souveraineté. L’Algérie ne subira aucune pression médiatique ou autre chantage politique», souligne notre source précisant que «le dossier Djezzy sera clos dès que les problèmes qu’a cette entreprise avec le fic seront totalement apurés». Depuis la visite du président russe Dmitri Medvedev, mercredi dernier à Alger, la donne a changé. Ce n’est plus l’opérateur égyptien Sawiris qui est à l’avant-garde, mais plutôt les Russes qui montent au front. Alexander Izosimov, le nouveau propriétaire d’Orascom Telecom, s’impose comme le seul négociateur. Dans une interview au Financial Times, le patron de VimpelCom a haussé le ton envers l’Algérie.

Pour lui, même si le gouvernement algérien insistait sur la reprise de Djezzy, l’accord conclu avec Weather Investments du milliardaire Naguib Sawiris ne serait pas remis en cause. Plus grave encore, il a adopté un langage menaçant envers le gouvernement algérien. L’homme d’affaires russe n’exclut pas d’ester en justice le gouvernement algérien au cas où il décide de nationaliser l’entreprise Djezzy. «Si le gouvernement algérien effectue des mouvements ou extrait des actifs - nationaliser et autres -, nous essayerons de défendre nos intérêts», a précisé M.Izosimov. Il s’est dit optimiste quant à voir le gouvernement algérien payer un juste prix pour acquérir Djezzy ou permettre au groupe russe de gérer la filiale algérienne. Il a également évoqué une solution de compromis, permettant au gouvernement algérien de prendre une participation dans Djezzy. L’homme d’affaires russe a révélé, dans le même journal, qu’il avait rencontré le ministre algérien des Finances avec qui il aurait évoqué le sujet de Djezzy.

«Mon sentiment est qu’il y a une volonté de trouver une solution amiable à tout cela», a affirmé M.Izosimov. Pour sa part, Karim Djoudi donne une autre version. Questionné sur ce sujet au lendemain de la visite du président russe, le ministre des Finances a été catégorique: «Les cartes sont entre nos mains, nous négocierons avec Djezzy.» Voilà qui confirme même qu’une véritable bataille se mène dans les coulisses entre l’Algérie et la Russie. Ce dossier a fait l’objet de larges discussions lors du tête-à-tête Bouteflika-Medvedev. Pourquoi ce chantage? Le marché des télécoms semble être plus juteux et porteur pour les Russes que celui des Migs. La somme de 7,8 milliards de dollars fixée par Alexander Izosimov va peser lourd sur les négociations. Le nouveau patron du groupe Orascom Telecom a non seulement placé la barre très haut mais il fait pression sur le gouvernement algérien pour renoncer à une reprise totale de Djezzy. Il faut reconnaître que ce dossier fait l’objet de tirs croisés des deux parties. La Banque d’Algérie a exigé récemment de l’opérateur de téléphonie mobile «Djezzy», le paiement d’une amende de 193 millions de dollars.

Cette affaire qui a éclaté au lendemain de la rencontre sportive opposant l’Equipe nationale à celle d’Egypte, a pris une tournure très grave. Suite à un redressement fiscal, l’opérateur égyptien a tenté de vendre ses actions à l’opérateur sud-africain. Une décision qui a soulevé l’ire du gouvernement algérien, lequel a réagi en force pour arrêter ce marché. Depuis, le gouvernement est entré dans une bataille médiatique et politique qui se complique et le scénario n’est pas encore parvenu à son terme...


Source: L'Expression

Le patron de VimpelCom, en bon homme d’affaires, se dit disposé à céder Djezzy, mais il place la barre très haut en exigeant 8 milliards de dollars.


Très diplomatique dans sa manière de procéder, le Russe Alexander Izosimov ne tient visiblement pas à entrer en conflit avec les autorités algériennes avant même d’avoir foulé le sol algérien. “VimpelCom pourrait céder Djezzy au gouvernement algérien si nécessaire”, commence par déclarer Alexander Izosimov, patron du géant russo-norvégien VimpelCom, qui fait partie de la délégation accompagnant le président russe Medvedev en visite hier à Alger.

à travers ses propos rapportés par l’AFP, il semblerait que le patron de VimpelCom serait disposé à “céder l’opérateur mobile d’Algérie Djezzy au gouvernement algérien après avoir acquis la majorité des parts de son propriétaire égyptien Orascom Télécom Holding”. Une déclaration lourde de sens qui ouvre plusieurs pistes de travail. à commencer par celle qui dirait que Sawiris n’a pas scellé définitivement le sort de Djezzy. Ceci expliquerait d’ailleurs les 51,7%, désormais détenus par VimpelCom, mais pas plus. Or, aujourd’hui même, M. Izosimov demande environ 8 milliards de dollars pour céder Djezzy, tout en qualifiant ce montant de “prix équitable”. Une offre vraisemblablement trop élevée par rapport à ce que les Algériens seraient prêts à dépenser pour récupérer cet opérateur de téléphonie mobile au nom du droit de préemption. Serait-ce là une manière pour le patron de VimpelCom de placer la barre haut pour dissuader les Algériens qui ne sont pas prêts de mettre plus de 3,7 milliards de dollars ? “Nous voudrions conserver avec plaisir cette compagnie (Djezzy) comme l’un de nos actifs et gérerons ces actifs parce que ce marché a sans aucun doute du potentiel”, a souhaité Alexandre Izosimov tout en concédant, dans une attitude très prudente, qu’“il est difficile de faire des prévisions”. Convaincu que cela nécessite des préalables, le nouveau propriétaire sait pertinemment qu’il ne pourra jamais travailler sans l’aval du pays hôte, surtout que la partie algérienne campe sur sa position pour ce qui est de Djezzy. Mardi, le ministre algérien de l’énergie rappelait, à ce propos, que le gouvernement algérien entendait faire valoir son droit de préemption, dans le cadre de la vente conclue entre Naguib Sawiris et le groupe russo-norvégien VimpelCom.

Ceci l’amène inéluctablement à dire : “Pour nous, il est important que les relations entre la compagnie et le gouvernement (algérien) se normalisent”. Il n’est, d’ailleurs, pas fortuit que l’annonce du rachat de VimpelCom (annoncé lundi dernier), 100% de l’italien Wind et 51% de l’égyptien Orascom, intervienne juste avant la visite du président russe. Mais, selon des indiscrétions, les Algériens ne sont pas prêts à changer d’avis sur la question et semblent maintenir le statu quo jusqu’à nouvel ordre. Sawiris est loin d’être sorti d’affaire même si un pas est franchi dans le règlement de ce conflit. Il ne faut surtout pas perdre de vue que l’entreprise a eu deux rappels d’impayés au fisc, avec 600 millions de dollars qui ont été versés fin avril et, maintenant, les impôts réclament, à nouveau, 230 millions de dollars. De plus, le DG de Djezzy a été convoqué la semaine dernière par la police dans le cadre d’une enquête sur des allégations d’infraction à la législation sur les changes.

Source: Liberté