Barack Obama avait déjà favorisé Internet pour sa campagne de 2009. Une fois encore, à l’approche des prochaines élections présidentielles prévues pour 2012, le président des Etats-Unis choisit de privilégier le web.



Le 20 avril prochain, Obama devrait se rendre au QG de Facebook et organiser un débat en compagnie du co-fondateur du site Mark Zuckerberg et de sa directrice d’exploitation, Sheryl Sandberg. Lors de ce débat, il devrait répondre aux questions des internautes. Les discussions, retransmises intégralement sur le site du réseau social, auront principalement pour thème l’économie et l’innovation.

Obama, qui avait cité fin janvier Facebook comme l’une des grandes réussites américaines lors de son discours annuel sur l’état de l’Union, avait rencontré Mark Zuckerberg, 26 ans, et d’autres entrepreneurs de la Silicon Valley en février lors d’une visite en Californie.

Le premier colloque international sur les sondages et mesures d’audience en Algérie sera tenue du 11 au 13 avril courant à l’hôtel Riadh, de Sidi Fredj.



Cette rencontre organisée par l’université de formation continue, l’agence Media Sens et l’agence Med&Com vient  « en réponse au développement de la pratique des sondages dans un pays en développement et de la nécessité de se situer par rapport aux pratiques en vigueur dans les pays développés ».

Des professionnels versés dans des domaines tels que les statistiques, la démographie, l’économie ou la sociologie seront présents à cet événement. Ils rencontreront des représentants d’institutions et organismes publics ainsi que des experts internationaux. Les animateurs de cette rencontre devront débattre autour de l’intérêt que représente aujourd’hui le sondage en ligne et définir les actions à venir afin de tirer le meilleur parti de cet outil.

Les spécialistes étrangers attendus à ce colloque devront faire part des expériences respectives de leurs pays dans ce domaine. Il y a lieu de noter, par ailleurs, que des entreprises spécialisées dans le domaine du sondage en ligne ont été créées dernièrement, en Algérie. Pour l’instant ces entreprises offrent leurs services à une catégorie précise de clients dont des entreprises étrangères installées en Algérie.

Ahmed GASMIA



Le classement des 10 jeux les plus utilisés sur Facebook pour le mois d’avril est tombé. C’est sans surprise que l’on retrouve Cityville et Farmville au top du top (première et seconde place) avec pour le premier plus de 20 millions d’utilisateurs.



Des jeux tels que Texas HoldEm poker ou MafiaWars conservent aussi leur rang en haut de classement, en se plaçant respectivement à la troisième et septième position. Le poker compte 7 millions d’utilisateurs tandis que MafiaWars dépasse les 2 millions. L’éditeur de ces jeux, Zynga, doit se réjouir de voir 7 de ses créations présentes dans le top 10. Rappelons que le poids financier de cet éditeur de jeux en ligne, très présent sur Facebook, est évalué à 10 millards de dollars, plus que Twitter.

Voici le classement des 10 jeux les plus utilisés sur Facebook au mois d’Avril :

1. Cityville (Zynga) – 20 514 660 utilisateurs actifs par journée



2. Farmville (Zynga) – 13 366 870 utilisateurs actifs par journée



3. Texas holdEm poker (Zynga) – 7 158 785 utilisateurs actifs par journée



4. Frontierville (Zynga) – 4 983 604 utilisateurs actifs par journée



5. Bejeweled Blitz (PopCap Games) – 3 776 193 utilisateurs actifs par journée



6. Café World (Zynga) – 3 156 631 utilisateurs actifs par journée



7. Mafia Wars (Zynga) – 2 305 111 utilisateurs actifs par journée



8. Treasure Isle (Zynga) – 2 020 699 utilisateurs actifs par journée



9. Millionaire City (Digital Chocolate) – 1 987 351 utilisateurs actifs par journée



10. Games (GSN) – 1 673 674 utilisateurs actifs par journée




C'est un peu comme le disque et la musique : la presse a du plomb dans l'aile, mais l'information est convoitée comme jamais. Tant et si bien que les géants du Web social ne cessent de fourbir leurs armes pour profiter du boom de cette consommation.



Lundi, le site de micro-blogging Twitter a annoncé le lancement de la fonction "Who to follow" ("Qui suivre ?"). Elle vise à faciliter la découverte de comptes Twitter liés à un sujet qui intéresse l'utilisateur quand il fallait, auparavant, rechercher une personne ou un compte donnés. "Cette nouvelle approche vous aide à trouver les utilisateurs Twitter qui vous aideront à suivre vos centres d'intérêts au mieux", écrit le service sur son blog.

Plusieurs avantages : Twitter devient ainsi plus "abordable" et augmente ses chances de devenir mainstream. Il densifie aussi les relations entre utilisateurs, ce qui pourrait augmenter le volume de tweets, retweets et renforcer l'engagement des membres avec la plateforme. Enfin - et surtout - Twitter facilite et conforte sa position de canal d'accès à de l'information.

Cette annonce coïncide avec la création par Facebook d'une page dédiée aux journalistes et à leurs bonnes pratiques. Le réseau social l'envisage "comme une ressource continue pour le nombre croissant de journalistes qui utilisent Facebook de trouver des sources, d'interagir avec leurs lecteurs et d'avancer leurs articles".

C'est l'occasion aussi pour Facebook de pousser l'usage de son service, en exposant des exemples d'intégration d'outils Facebook dans des articles ou enquêtes. Le site se positionne ainsi comme un acteur de l'information sociale. Une hypothèse évoquée ici il y a près de de deux ans... Une orientation qui semble évidente : "depuis l'origine, les gens ont partagé des informations avec leurs amis", rappelle Facebook.

Et Twitter et Facebook aimeraient autant que ça se passe à travers leurs services...

Le Web bruisse de rumeurs sur le prochain système d'exploitation de Microsoft qui ne devrait être lancé que l’année prochaine. Mais des versions ont déjà été livrées à des partenaires triés sur le volet.

La machine, 10,7 kilos à l'époque, est considérée comme le premier vrai PC portable. Tournant avec CP/M, l'Osborne 1 était vendu 1 795 dollars avec plusieurs logiciels. Une petite révolution.



C'est une figure historique, considéré comme l'un des tout premiers ordinateurs portables, si ce n'est le premier : l'Osborne 1, lancé en avril 1981 par Osborne Computer Corporation (1). La machine, qui fête ses 30 ans, avait été conçue pour être déplacée facilement, malgré ses 10,7 kilos. Son propriétaire pouvait la refermer comme une valise et la tenir en main grâce à une poignée. Selon une publicité, elle avait été pensée pour pouvoir être mise sous le siège d'un avion, d'après cet article de 1982 d'Atlantic Magazine. On peut y lire aussi que, « déplié, l'Osborne 1 ressemble à une radio militaire désuète ».

« La meilleure affaire du moment »

Conçu par Lee Felsenstein, l'Osborne 1 était vendu 1 795 dollars. A ce prix, jugé bas à l'époque, « la meilleure affaire du moment dans le monde du business », selon Atlantic Magazine, l'acquéreur disposait d'un PC avec un écran monochrome minuscule de 5 pouces de diagonale (52 caractères par ligne), un processeur Zilog Z80 de 4 MHz, une RAM de 64 kilo-octets.

Il était doté de deux lecteurs de disquettes simple densité 5 pouces 1/4 (une capacité jugée insuffisante alors), d'un port parallèle IEEE-488 et d'un port RS 232, pour y connecter en série imprimantes ou modems. L'Osborne 1 était jugé d'autant plus intéressant en terme de prix qu'il était fourni avec plusieurs logiciels : système d'exploitation CP/M 2.2, tableur SuperCalc, traitement de texte WordStar, langage de programmation MBASIC de Microsoft et CBASIC de Digital… Le coût des logiciels équivalait à celui de la machine elle-même !

L'ordinateur permettait, en option, d'ajouter un modem maison de 300 bauds, encastrable sous le lecteur de disquettes de gauche, un connecteur lui étant réservé en façade. L'utilisateur pouvait aussi brancher un écran externe plus grand, rajouter une carte électronique pour permettre la lecture de disquettes double densité… L'Osborne 1 devait être branché sur une prise électrique (120 V ou 240 V), une batterie d'une autonomie de 1 heure fut commercialisée par la suite.

L'effet Osborne

Osborne Computer a connu le succès avec cette machine : 11 000 exemplaires écoulés les huit premiers mois ; chiffre d'affaires de 1 million atteint en septembre 1981. Les ventes furent impactées négativement par l'annonce de nouvelles machines à venir, mais non prêtes, l'Osborne Executive et le Vixen. Cette erreur stratégique est restée célèbre sous le nom « d'effet Osborne ».

L'Osborne 1 (et sa deuxième version, de bleu vêtue) fut aussi sévèrement concurrencé par des machines plus attractives, comme le KayPro II (1982), puis surtout par le Compaq Portable, le premier portable qui soit aussi un clone de l'IBM PC, tournant avec MS-DOS, système devenu incontournable en 1983. Puis, à court d'argent, Osborne Computer fit faillite en 1983.

En retraçant l'histoire de cette machine, dont le musée de l'Informatique détient un exemplaire, on se rend compte à quel point les terminaux nomades ont évolué, à l'heure des tablettes tactiles et autres ordiphones.

A lire, sur ce passionnant morceau d'histoire, le long article consacré à l'Osborne 1 et à Adam Osborne (décédé en 2003), publié par Technologizer. Les plus motivés peuvent aussi naviguer sur l'excellent Odlcomputers.net, dont la « timeline » permet de revivre l'épopée des premiers ordinateurs personnels.


(1) Osborne Computer Corporation a été cofondée, avec Lee Felsenstein, par Adam Osborne, auteur de livres informatiques et de documentations pour Intel.

L'entreprise à la pomme croquée ne fête pas ses anniversaires. Elle n'a donc pas soufflé ses 35 bougies le 1er avril dernier. Passons en revue quelques chiffres clés.



35

Le 1er avril 1976, Steve Jobs (21  ans) et Steve Wozniak (26 ans) créent Apple Computer. C’était il y a 35 ans. Les deux compères se sont rencontrés quelques années plus tôt, en 1970, avant de se retrouver pour un projet commun : commercialiser l’Apple I. Trente-cinq ans plus tard, Apple emploie près de 50 000 personnes à travers le monde et enregistre un chiffre d’affaires annuel de plus de 16 milliards de dollars. Depuis 1977, le siège de la société est installé à Cupertino, en Californie.

10

Comme le  nombre d’années d’existence de Mac OS X, le système d’exploitation à base d’Unix qui équipe aujourd’hui tous les Mac (iMac de bureau et les Mac Book). L’OS, issu de Next, l’entreprise fondée par Steve Jobs après son éviction d’Apple en 1985 (et rachetée par Apple),  a été commercialisé en version grand public en mars 2001. A l’époque, Mac OS X marque une rupture technologique avec Mac OS 9, dernier héritier du système d’exploitation originel d’Apple. A cette première version, Cheetah, ont succédé plusieurs mises à jour : Puma, Jaguar, Panther, Tiger, Leopard, Snow Leopard (l’actuelle, la 10.6). La prochaine mouture, Lion, est attendue pour cet été.  Mac OS X a donné naissance à iOS (sur l’iPhone et l’iPad)… et s’en inspirera pour partie, avec l’arrivée de Lion.

10 milliards

Le 22 janvier 2011, le nombre d’applications téléchargées sur l’App store dépassait les 10 milliards. Un chiffre colossal qui symbolise à lui seul le succès de ce service de téléchargement créé en 2008 alors que l’iPhone 3G arrive sur le marché. « Il y a une application pour ça » : le slogan d’Apple, résumera très habillement l’intérêt de cette plate-forme qui va largement contribuer à faire décoller les ventes de l’iPhone. La concurrence ne s’y trompe pas : sur le même principe, Google crée Android Market, Nokia, Ovi Store et Microsoft Windows, Marketplace. Dernier rejeton en date : le Mac App store, une déclinaison de l’App store pour les ordinateurs d’Apple.

666,66

C’est le prix du tout premier ordinateur commercialisé par Apple en 1976. L’Apple I, dont un exemplaire s’est vendu récemment plus de 150 000 euros était vendu en kit : c’était au client d’ajouter un boîtier, un clavier et un écran à cet assemblage de composants. D’où cette photo de cet exemplaire « rustique », en expo au Smithsonian Museum. Ce premier ordinateur ne sera fabriqué qu’à 200 exemplaires. Son prix de 666,66 dollars n’a, contrairement à une légende urbaine répandue, strictement rien à voir avec le « chiffre de la bête » de la Bible, mais vient d’un simple calcul de Steve Jobs qui souhaitait augmenter ses profits d'un tiers (chaque Apple I étant revendu 500 dollars à une boutique chargée de les écouler).



5

C’est le nombre de couleurs qu’Apple proposait en 1999 pour la deuxième version de son iMac G3, apparu, lui,  en 1998 en une seule couleur (le bleu « bondi »). Cette gamme comprenait le vert, le rouge, le pourpre, le bleu (groseille) et l’orange. A l’époque, pouvoir choisir la couleur (acidulée) de son ordinateur est chose inédite, et rajoute à la petite révolution esthétique apportée par l’iMac (forme ronde,  plastiques brillants, machine tout-en-un, etc.). Par la suite, Apple fera évoluer techniquement son G3, mais élargira aussi la palette des couleurs, en proposant des modèles surprenants, comme le Flower Power d’inspiration hippie ou le Blue Dalmatian (ronds blancs sur fond bleu). Pour les successeurs du G3, finie la fantaisie, le blanc habille le G4 (baptisé le Tournesol), le 5, puis les premiers iMac Intel. La génération actuelle des iMac revêt, elle, une robe aluminium.

1984

C’est une année clé pour Apple. En 1983, la société lance une publicité réalisée par Ridley Scott, qui marque encore les esprits aujourd’hui. Devant une foule de passionnés, elle est dévoilée par un Steve Jobs conquérant qui déclare la guerre à IBM et à ses PC. « Apple lancera le Macintosh le 24 janvier 1984. Et vous comprendrez pourquoi 1984 ne ressemblera pas à 1984 », indiquait la publicité, référence au cauchemar imaginé par George Orwell. Apple s’érige ainsi en défenseur de la liberté face à un Big Blue qui, comme Big Brother, menace selon son patron de contrôler toute l’industrie de la micro. L’année suivante, Steve Jobs présentera, toujours avec un sens aigu de la mise en scène, le tout premier Mac. Ce sera le premier ordinateur doté d’une interface graphique et d’une souris à connaître le succès.

700

C’était le prix de la première version du Newton en 1993, l’un des premiers PDA au monde et accessoirement un produit qui a représenté un échec pour la marque à la pomme. Cet appareil, porté par John Sculley, le patron de l’entreprise à l’époque – Steve Jobs avait été débarqué en 1985 suite aux méventes du Mac - vivra tant bien que mal jusqu’au retour de Steve Jobs, qui le condamne en 1998. Cet appareil est assez symbolique d’Apple dans les années 90, dépassée par le succès des PC et dont les nouveaux produits ne parviennent pas à séduire un large public.

297 millions

Le nombre d’iPod vendus par Apple à ce jour. Le lecteur MP3 d’Apple, dont la première version a été lancée en 2001, symbolise le grand retour de Steve Jobs et de son entreprise aux affaires. En 2003, Apple posera par ailleurs la première brique de ce qui deviendra l’un des plus importants magasins en ligne, l’iTunes Music Store.

1

Un dollar. C’est le salaire annuel symbolique que perçoit  à sa demande Steve Jobs depuis son retour à la tête d’Apple, en 1997. Il possède 5,5 millions de titres de l’entreprise – d’une valeur potentielle de 1,8 milliard de dollars –, mais n’en a vendu aucun depuis son retour, et Apple ne verse pas de dividendes. Steve Jobs n’en a pas vraiment besoin : il est un des gros actionnaires de Disney avec 138 millions de titres, depuis le rachat de Pixar. Il en touche les dividendes. Sa fortune est estimée à 5,5 milliards de dollars, ce qui le classe au 136e rang mondial des milliardaires, selon Forbes.  Steve Jobs avait été évincé d’Apple en 1985 par John Sculley, qu’il avait lui-même recruté chez Pepsi-Cola. Il reviendra douze ans plus tard, et sera à l’origine de la renaissance de la marque mal en point (iMac, iPhone, iPad, iTunes, etc.) Il en est désormais la figure emblématique. Au point que certains craignent pour le devenir de l’entreprise le jour où il ne la dirigera plus…


Le collectif de hackers a annoncé qu'il allait cibler la firme japonaise suite aux poursuites qu'elle a engagées contre les pirates de sa PS3. Une attaque DoS a déjà frappé le site playstation.com.



« Vous allez connaître la colère des Anonymous. » Ainsi s'expriment les cyber-activistes Anonymous dans un message publié le weekend dernier dans lequel ils annoncent le lancement d'une opération de riposte contre Sony.

Leur motif : les poursuites que l'entreprise a engagées contre les hackers de la PlayStation 3 au premier rang desquels figure George Hotz alias "GeoHot". « Votre récente action en justice contre nos confrères hackers, GeoHot et Graf_Chokoko, ne nous a pas seulement alarmés, elle a également été jugée complètement impardonnable », écrivent les Anonymous.

Le site playstation.com attaqué par déni de service

Ils ont commencé à mettre leur menace à exécution en lançant hier une attaque par déni de service contre le site playstation.com. Et le 16 avril, les protestataires sont invités à se rendre dans des magasins Sony pour dire leur opposition.

Ces derniers mois, les Anonymous ont beaucoup fait parler d'eux en prenant fait et cause pour WikiLeaks avec des attaques DDos menées contre Amazon, Mastercard, PayPal et Visa.

Quatre-vingt quatre pour cent des logiciels Microsoft disponibles sur le marché algérien sont copiés. Cette information nous a été révélée dernièrement par des responsables  du bureau de Microsoft à Alger.



« Les plus grands concurrents de Microsoft en Algérie sont des logiciels Microsoft piratés », nous affirme presque ironiquement l’un de ces responsables. La sensibilisation semble être la solution principale pour laquelle Microsoft a opté afin de faire face au phénomène de la contrefaçon. Des actions de sensibilisation en direction des entreprises et des utilisateurs de logiciels professionnels ont été menées par les représentants de la firme en Algérie.

Notons d’autre part, que l’office national des droits d’auteurs travaille, depuis quelques années, en coopération avec la Business Software Alliance, organisme international défendant les intérêts des développeurs de logiciels.

En vertu du partenariat liant la BSA à l’Onda, les agents de ce dernier bénéficient de formations leur permettant de faire la différence entre les logiciels orignaux et les copies. L’Algérie reste, aujourd’hui encore, l’un des pays les plus touchés par le phénomène de la contrefaçon dans le domaine des logiciels.

A.G