Voici une solution simple et bon marché pour protéger son ordinateur sans avoir à la verrouiller manuellement.



La promesse

Assurer la protection du PC et des données qu’il contient, de manière automatique, c'est le rôle confié par l’accessoiriste Amarina au Wireless Dongle PC Security. L'appareil remplit-il sa fonction aussi simplement et efficacement qu’annoncé par le constructeur ? C'est ce que nous avons voulu savoir en en équipant une de nos machines.

La réalité

Question ergonomie, rien à redire : le Wireless Dongle PC Security est petit et réellement simple à installer puisqu’il suffit d’enficher la clé USB réceptrice dans un des ports de l’ordinateur à protéger (qu'il s'agisse d'un PC de bureau, d’un notebook ou d'un netbook) et d’installer le logiciel fourni. Ce dernier facilite la gestion du mot de passe permettant de déverrouiller la machine à l'aide du clavier en cas de problème avec l’émetteur ou le récepteur (vol, perte ou panne).

Une protection efficace et automatique

Le principe de fonctionnement est le suivant : le Wireless Dongle PC Security est constitué de deux éléments qui communiquent entre eux par une liaison RF sécurisée. Tant que les deux éléments sont dans un rayon d'environ 2 mètres l'un de l'autre, le PC fonctionne normalement. En revanche, si le minuscule émetteur (alimenté par une pile bouton) que vous aurez fixé à votre ceinture ou placé dans votre poche se trouve à plus de 2 mètres du récepteur, ce dernier verrouille automatiquement le PC afin de le protéger des interventions indélicates. Il suffit ensuite que le vous reveniez à votre poste pour que l’ordinateur se déverrouille automatiquement, sans aucune manipulation de votre part.

Outre cette protection par « présence », le Wireless Dongle Security PC peut verrouiller le PC hôte au bout d'une durée que vous aurez définie (de 30 minutes à 8 heures).

Le verdict

Un peu sceptiques au départ quant à l’efficacité d’un tel accessoire, nous avons revu notre opinion. Il est réellement simple, fonctionnel et efficace. Et tout cela pour seulement 20 euros : vraiment pas de quoi se ruiner pour avoir l’esprit tranquille.


Windows 7 détient désormais 31.7% de parts de marché à travers le monde! Il a tout simplement dépassé Windows XP dans plusieurs pays. Bref, un grand succès pour le géant mondial qui a su rattraper le coup après l'échec de Vista.




Microsoft a affirmé avoir écoulé près de 350 millions de licences Windows 7 dans le monde. D'après les chiffres publiés par StatCounter, le système d'exploitation de Microsoft détiendrait 31.7% de parts de marché. Selon Microsoft, les entreprises ont vite adopté Windows 7. Ce dernier leur permet en effet d'économiser jusqu'à 140 dollars par an par ordinateur.

Le successeur de 7, Windows 8, devrait débarquer en 2012.


Tout le monde sera d'accord pour dire que le mois d'avril aura été riche en évènements TIC dans notre pays. Entre le TEDx qui a eu lieu le 9 avril dernier, le SICOM ou encore la Semaine du Web qui s'est déroulée au Cyberparc de Sidi Abdellah, l'Algérie a vibré au rythme du Web. Mais rassurez-vous, le mois de mai s'annonce aussi très prometteur. Premier rendez-vous à noter sur vos agendas, la première édition "Tech Days Algérie" les 8, 9 et 10 mai 2011 au Cyberparc de Sidi Abdellah, un évènement qui nous dira tout sur les produits Microsoft...

« Une nouvelle vision pour le marché algérien »




Quelles seront les priorités de Nokia pour le marché algérien ?

Notre première priorité est de trouver les compétences locales qui devraient nous aider à atteindre nos objectifs, qu’ils s’agissent d’employés ou de distributeurs et de proposer les offres qui conviennent le plus au consommateur local. Nous nous intéressons également aux magasins de détails afin de nous rapprocher davantage du client. Mettre au point un contenu adapté à l’utilisateur algérien fait également partie de nos priorités.

L’absence de Nokia de l’Algérie s’explique-t-elle par des circonstances locales ou est-ce dû à la situation de Nokia au niveau international ?

Nous n’avons jamais quitté le marché algérien. Nous avons été présents à travers nos experts qui faisaient le suivi du marché algérien. Nous n’avons pas été présents sur ce marché à 100% en raison de la présence d’appareils Nokia à travers le marché parallèle, ce qui a porté préjudice à la fois à l’utilisateur, à l’économie du pays et à notre marque.

Est-ce que le marché parallèle a été bénéfique pour vous dans le sens où votre marque a été présente localement en l’absence d’une représentation officielle de Nokia ?

Cela peut être perçu comme quelque chose de positif en effet, mais nous ne souhaitons certainement pas encourager ce phénomène. Le but étant de réduire la présence du marché parallèle.

Pouvez-vous nous expliquer exactement ce qui a poussé Nokia à s’éloigner du marché algérien?

Je parlerais plutôt des leçons tirées de notre expérience en Algérie. Nous sommes persuadés que Nokia doit être plus présent sur le marché algérien mais beaucoup plus sur le plan de la gestion. Nous devons être plus proches des employés, des distributeurs et des agences de publicité. Il est important pour nous de trouver des distributeurs qui ont la même vision que nous en ce qui concerne le marché algérien. Nous avons, dans ce sens, porté notre choix sur Novaphone qui connaît parfaitement le marché algérien et qui a un engagement à long terme.

Nokia a toujours mis l’accent sur ses appareils d’entrée de gamme en ce qui concerne le marché algérien. Est-ce que vous comptez maintenir cette stratégie ou allez-vous vous axer sur des téléphones haut de gamme ?

Ce qui nous caractérise, c’est le fait que nous ayons la plus large gamme sur le marché. Nous n’avons jamais privilégié une catégorie de produits, mais c’est la réalité d’un marché donné qui nous dicte les priorités à prendre. Nous constatons que la nouvelle génération souhaite avoir des téléphones sophistiqués. Cela nous impose de proposer ce genre de produits. D’un autre côté, nous avons ajouté de nouvelles applications aux téléphones d’entrée de gamme. Actuellement, nous proposons dans les appareils d’entrée de gamme et de moyenne gamme l’accès à Internet.

Nokia a toujours été leader sur le marché algérien. L’on constate cependant la montée en puissance de Samsung. Pensez-vous pouvoir faire face à ce concurrent avec seulement un seul distributeur pour l’année 2011 ?

Le plus important, c’est la qualité du distributeur. Notre objectif aujourd’hui est de couvrir le marché algérien de manière générale. Nous pensons que nous aurons besoin de plus d’un distributeur mais nous ne préférons pas aller trop vite pour en trouver un deuxième. Nous avons des critères bien précis pour les distributeurs qui sont supposés nous représenter.

Comment comptez-vous rattraper le retard que vous avez sur le segment des smartphones ?

Le marché des smartphones est un marché qui se développe rapidement. Si nous sommes entrés en partenariat avec Microsoft, c’est pour gagner cette course. Nous sommes confiants en notre capacité à être leader sur ce segment. L’investissement dans les nouvelles technologies va nous assurer un avantage certain.

N'TIC 54 / AVRIL 2011

Le salon international de l’informatique de la bureautique et de la communication (SICOM) vient de livrer le bilan de son édition 2011. Un grand succès...



Ce sont près de 122 500 visiteurs qui ont accouru à la 20ème édition du SICOM qui s’est tenu, rappelons-le, du 17 au 23 avril 2011 au palais des expositions de la SAFEX.  Parmi ces 122 500 visiteurs, l'organisateur du salon a compté près de 18 600 professionnels et plus de 9 000 étudiants. D’autre part, 350 entreprises étrangères opérant dans le secteur des nouvelles technologies ont participé à cet évènement.

Le SICOM sert aussi à nouer des relations entre entreprises nationales et étrangères et ce sont près de cinquante accords de partenariats qui ont été signés entre entreprises algériennes et étrangères. Il y a lieu de signaler aussi que le salon a représenté pour certains jeunes diplômés une occasion en or pour y déposer leur demande d’emploi. Ainsi, un  pôle Emploi a été prévu à l'entrée des pavillons de la SAFEX afin que ces derniers puissent y déposer leur CV et espérer ainsi intégrer au plus vite une entreprise oeuvrant dans le domaine des TIC.

Ahmed GASMIA


" L’envie de rassembler tous les acteurs de la Toile algérienne "



Comment vous est venue l’idée d’organiser ce genre d’évènement?

Il y a, en Algérie, un manque en termes d’événements web majeurs et nous avons toujours voulu essayer de rassembler tous les acteurs de la Toile algérienne mais aussi sensibiliser les entreprises à l’usage d’Internet et susciter chez les jeunes une vocation quant aux métiers du web. J’ai su que c’était le bon moment quand Mr Lyes Lamri m’a présenté Mr Farid Arab, le co-organisateur de la Semaine du Web, qui a su donner une envergure internationale à l’événement, et que Karim Embarek, qui a à son actif l’organisation de plusieurs salons internationaux, nous a
rejoint pour organiser ensemble l’événement.

Qu’attendez-vous de la Semaine du Web et surtout à quoi doivent s’attendre tous les participants ?

Qu’elle soit une plate-forme d’échange de connaissance mais aussi d’apprentissage; qu’elle lance un processus, une dynamique d’événements mais aussi un élan d’innovation dans le domaine du Web ; qu’elle soit l’opportunité de positionner l’Algérie comme leader africain de l’innovation des services internet. Les participants devront s’attendre avant tout à de l’inédit, mais aussi à recevoir un flow d’informations jamais vu en Algérie et en Afrique.

Quel bilan souhaiteriez-vous tirer à la fin de cette semaine?

De la création d’emploi et de richesse pour le pays. Que le néophyte puisse découvrir et que le professionnel puisse s’approfondir ; que les rencontres, les débats et les tables rondes puissent porter des fruits à court, moyen, et long terme ; et surtout qu’il y ait un partage. Le Web,
c’est avant tout du transfert d’informations.

Un mot sur la situation du Web en Algérie ? Auriez-vous des chiffres à nous communiquer ?

Le Web en Algérie est en plein boom, que ce soit sur le plan startup ou sur le plan réseau sociaux. Nous vivons en ce moment en Algérie ce qu’ont vécu les autres pays au moment de la démocratisation de l’ADSL dans les années 2000. Dans 5 ans à peine, le Web sera un facteur incontournable pour la quasi totalité des algériens. Voici quelques chiffres d’Algérie Télécom 2010 avec DJAWEB : 7 000 accès RTC ; 3 000 accès liaisons specialisées ce qui permet d’offrir des services à 100 000 clients, à 4 046 cybercafés, à 35 ISP Internet Provider Services, à 3 000 000 d’utilisateurs d’Internet en Algérie.

N'TIC 54 / AVRIL 2011

Tout le monde connait Steve Jobs, le patron emblématique d'Apple, l'homme adulé par des millions de consommateurs accros à ses produits "révolutionnaires", bref l'homme qui présente ses produits en débutant ses phrases constamment par "Ceci est une révolution" chez nos amis Les Guignols ! Les appareils Apple deviennent de plus en plus incontournables à travers le monde, tout cartonne chez le constructeur. Il n'y a qu'à voir les derniers chiffres enregistrés par la firme pour en faire le constat. Mais ne vous en déplaise, Steve Jobs n'est pas parfait. D'ailleurs personne ne l'est. Il a réussi sa vie certes mais l'homme a, d'après iPhoneaddict, commis plusieurs erreurs dans sa vie. En voici dix.