YouTube passe à la 3D. Grande nouvelle pour le site qui s'associe avec le constructeur Nvidia pour mettre en place cette nouvelle technologie.



Imaginez pouvoir regarder vos vidéos sur YouTube en 3D ! La classe, non ? Alors que les salles de cinéma adoptent petit à petit la technologie 3D, Google passe à la vitesse supérieure en équipant sa plateforme vidéo d'un lecteur 3D et HTML5. Pour tester ce nouveau service, il faudra vous équiper de la dernière version de Firefox, du kit 3D Vision de Nvidia et d'un ordinateur embarquant une carte graphique compatible. Attention à désactiver le SLI (Scalable Link Interface) du navigateur pour pouvoir en profiter.

Google donne en quelque sorte la chance au constructeur Nvidia de se lancer dans le marché de la 3D avec son service 3D Vision qui peinait à trouver consommateurs. D'ici 2015, les cabinets d'études estiment que le nombre de PC compatibles 3D sera de l'ordre de 40 millions. Impossible donc de ne pas miser sur ce marché.

YouTube en 3D marchera, ne marchera pas ? Le site Tom's Hardware a trouvé bon nombre de bémols dans l'analyse des vidéos. A votre avis ?

Qui n'a jamais entendu parler de Liberty Land, le site qui revendiquait être le premier site de téléchargement en France ? Il ne le sera plus puisque le site a été fermé et ses trois administrateurs arrêtés. Ils encourent une peine de 5 ans de prison et une amende de 500 000 euros...

Microsoft fera désormais l’intermédiaire entre les jeunes porteurs de projets algériens et les entreprises susceptibles de financer leurs projets. C’est en substance ce qu’a déclaré M. Jean-Philippe Courtois, Senior vice-président de la firme américaine lors de sa visite en Algérie.



C’est en fait du programme Bizspark qu’il s’agit. Une initiative lancée par Microsoft pour aider les jeunes talents à concrétiser leurs projets en créant des entreprises. Outre la recherche de bailleurs fonds, Microsoft est supposée garantir aux jeunes promoteurs un soutien technique gratuit pendant la période de lancement de leurs entreprises.

En ce qui concerne l’Algérie, Microsoft devra travailler de concert avec des entreprises mais aussi avec les autorités algériennes. « Nous sommes très motivés pour travailler avec les autorités algériennes afin de réaliser ce projet », a déclaré le représentant de Microsoft lors d’une conférence de presse tenue au siège de la filiale algérienne. Les bénéficiaires de cette initiative, dont la date de lancement n’a pas été encore précisée, pourraient être hébergés au niveau de l’incubateur du Cyberparc de Sidi Abdallah.

GASMIA Ahmed


« J’espère que nous jouerons bientôt à des jeux 100% algériens »



Comment vous est venue l’idée d’organiser un tel évènement ?

L’idée remonte à une année de cela, plus précisément à la semaine de l’anniversaire de l’Université Houari Boumediene d’Alger où nous avions exposé au village universitaire le jeu créé par notre club « Micro-Club », un jeu qui a connu un très grand succès au sein des étudiants. En outre, nous avions constaté l’intérêt apporté au monde du développement des jeux vidéo par les étudiants et leur esprit de créativité, ainsi qu’un grand potentiel caché. D’où l’idée d’organiser un concours de développement de jeux vidéo afin de découvrir et de braquer les projecteurs sur ces jeunes talents, et ainsi créer une communauté de créateurs algériens de jeux vidéo.

Combien de candidatures avez-vous reçu au total ?

Nous avons sélectionné 15 équipes sur un total de 50 participants inscrits au concours. Mais à la fin, seules 4 équipes se sont affrontées en finale.

Que pouvez-vous nous dire sur les projets reçus ?

La plupart des projets reçus étaient inspirés de jeux existants avec un code source ouvert, ce qui est venu à l’encontre du principe initial du concours qui était la créativité et surtout l’innovation. Ceci explique donc le peu de jeux qui ont été qualifiés pour la finale. Quant aux projets qui se sont affrontés en finale, ils répondaient aux critères de sélection (niveau de divertissement, qualité du produit sur les plans, exécution de la thématique, fonctionnalités, raffinement de la conception, scénario ainsi que la qualité artistique).

Pourrions-nous connaître l’identité des membres du jury ?

Le jury était présidé par Mr. Ahmed BERBAR, enseignant à l’USTHB. Il était composé de Mr Abdelmalek Chetta, de l’entreprise IT Algeria, et de Hadjari Anis, étudiant en poste Doctorat à l’USTHB.

Un mot sur l’industrie du jeu vidéo dans notre pays ?

L’Algérie est un pays vierge en termes d’industrie des jeux vidéo alors que d’autres pays très proches, tels que le Maroc ou la Tunisie, connaissent une croissance fulgurante du nombre d’entreprises spécialisées. Même le géant «Ubisoft » est installé dans ces pays. Ce que nous avons constaté, c’est que notre pays dispose d’un énorme potentiel en termes de compétences et de créativité dans le monde de la création de jeux vidéo. Personnellement, je suis persuadé que l’industrie du jeu vidéo a un brillant avenir en Algérie (avenir très proche).

Comptez-vous renouveler l’expérience ? Si oui, quand ?

Et bien le but de cette première édition était que ce concours devienne une tradition au sein de l’université algérienne. L’expérience sera donc renouvelée chaque année.

Un dernier mot ?

J’espère que ce concours va avoir un impact sur l’industrie des jeux vidéo, et surtout qu’il aboutira à ses objectifs. J’espère que nous jouerons bientôt à des jeux purement algériens. Je souhaite aussi remercier tous ceux qui ont cru en notre rêve, et qui nous ont soutenu et encouragé depuis le début, en particulier le service des activités culturelles et scientifiques de l’USTHB, la faculté d’électronique et d’informatique (en particulier le secrétaire générale de la Faculté), Mr Haddi Mourad, et bien sûr tous les initiateurs du concours : ABAOUB Amine, GHERMOUL Oussama, BEBOUCIF Meriem, CHEGGA Brahim, KHODJA Manel et tous les sponsors, partenaires et le jury.

N'TIC 55/ Mai 2011

« Un très bel évènement qui a réussi à transformer Alger, le temps d’une semaine, en véritable capitale mondiale du Web ! »



Pour commencer, parlez-nous de vous mais surtout de MinuteBuzz.

Je suis une jeune étudiante de 23 ans en fin d’étude de journalisme. J’ai la chance de travailler avec deux amis/associés (Maxime Barbier et Laure Lefevre) sur un projet qui nous appartient et que nous avons nous-mêmes lancé, un site internet de vulgarisation de l’information qui s’appelle MINUTEBUZZ et dont je suis la Rédactrice en Chef.

Comment est née l’aventure MinuteBuzz ?

La naissance de MinuteBuzz est très originale puisque le projet est né sur le Web. Ce que je veux dire par là, c’est que deux d’entre nous ne se sont rencontrés IRL (In Real Life) que plusieurs mois après le début du projet. C’est donc un projet 100% web !

MinuteBuzz en chiffres ?

En chiffres, ça donne 400 000 visiteurs uniques, 850 000 visites mensuelles, 2.5 millions de pages vues mensuellement et ce, en un an d’existence !

Comment expliquer un tel succès ?

Je pense que MinuteBuzz sait proposer aux internautes un condensé de ce qui plait sur le Web. De l’actualité politique de la Tunisie à la dernière vidéo de bébé qui buzz sur le Web, les internautes peuvent retrouver toutes les informations qui animent la Toile ! En un coup d’oeil, vous visualisez, lisez et partagez, l’essentiel de l’information 2.0. Enfin, je pense que MinuteBuzz puise sa force dans les réseaux sociaux, grâce à l’implication de ses lecteurs qui n’hésitent pas à partager l’information et à la diffuser sur Facebook et/ou Twitter.

MinuteBuzz est déjà à la version 3 ! Pouvez-vous nous parler des projets d’évolution pour le site ?

Chez MinuteBuzz, les idées fusent ! Les changements ne sont pas tous planifiés pour l’année 2011. Nous écoutons beaucoup nos internautes, la version 3 est à cet égard significative puisque nous l’avons modifiée selon la volonté des internautes.

Y’a-t-il d’autres projets en perspective ?

Il y a bien quelques projets...Mais c’est encore un peu secret ...! Il va vous falloir patienter !

Quelle est votre vision des réseaux sociaux ? Et quelle évolution pour demain ?

Je pense naturellement que l’avenir des communications passe par les réseaux sociaux, et que ceux qui ne s’adaptent pas risquent rapidement d’y perdre au change. Pour ce qui est de l’évolution, jepense évidemment à l’internet mobile qui est à mon sens le futur du Web. Prenons le site Facebook. Ses utilisateurs mobiles (250 millions) sont plus de deux fois plus actifs que les utilisateurs classiques.

Comment a démarré pour vous la Semaine du Web ?

J’ai été contactée par l’un des deux organisateurs de la Semaine du Web en Algérie, Farid Arab, qui me proposait de venir parler de mon expérience professionnelle dans ce pays qui est aussi le mien. J’ai sauté dans le premier avion disponible !

Votre feedback sur la Semaine du Web ?

Je trouve que pour une première, on peut aisément parler d’un succès ! La Semaine du Web a su rassembler les afficionados du Web. Professionnels
ou passionnés, tous étaient là pour partager leurs expériences. Il y a bien sûr toujours quelques imprévus de planning et quelques couacs d’organisation, mais lorsqu’ils sont bien gérés, ils ne suffisent pas à gâcher la fête ! Un très bel évènement qui a réussi à transformer Alger, le temps d’une semaine, en véritable capitale mondiale du Web !

Pour finir, quel conseil donneriez-vous à ceux qui veulent se lancer ?

Amusez-vous, suivez votre instinct. Ne laissez personne vous dire que ce à quoi vous pensez ne marchera pas. Foncez !

N'TIC 55 / MAI 2011

« Heureuse d’avoir rencontré autant de talents : une jeunesse algérienne qui donne envie de continuer et d’aller plus haut »



Parlez nous un peu de vous, mais surtout de votre parcours atypique.

Exploratrice serait probablement le terme le plus significatif pour résumer mon parcours. Hyperactive, dormant peu et toujours assoiffée par l’apprentissage, mon parcours est complexe, diversifié et mouvant. Je n’ai jamais quitté les bancs de l’école, j’ai travaillé dès l’âge de 17 ans et occupé des fonctions au sein d’associations dès l’âge de 12 ans. Résultat : je suis diplômée en géopolitique & stratégie militaire et en sciences humaines. Pour financer mes études, j’ai à la fois travaillé en tant qu’intermittente du spectacle et en tant qu’instructrice en compagnie aérienne. L’un correspondait à ma passion et l’autre au titre officiel qui rassurait les banquiers qui finançaient mes études. Après 15 ans d’expérience en tant que salariée, j’ai décidé en 2005 de créer l’entreprise FB-Associés. Pour ce faire, je suis allée à la quête d’une certification en coaching par ICF (International Coach Federation) et d’un Master RH. Parallèlement, j’ai créé un blog, participé à des Barcamp et autres événements issus de l’univers du Web Social. Très vite, je me suis intéressée aux nouveaux usages et nouveaux concepts comme le Personal Branding et le Community Management. En 2010, j’ai même été nommée finaliste des LinkedIN Awards comme Leader of the World en Europe.

Qu’est-ce qui vous a poussé à changer de vocation ? Et quelles ont été les étapes de votre conversion ?

En 2003, lors de la liquidation de la Compagnie Air Lib, j’occupais le poste de responsable de la formation à la Direction des Ressources Humaines. Le groupe BPI m’a alors recrutée comme consultant expert afin d’accompagner le reclassement des salariés du groupe Air Liberté-Aom. Cette fonction temporaire m’a confortée dans l’idée que je pouvais exercer mes compétences dans un autre secteur. A cette époque, Air France et la DGAC (Direction de l’aviation civile) me proposaient un poste mais tous les deux exigeaient de ma part de recommencer ma carrière. A la suite de mon expérience d’un an chez BPI, le numéro 2 m’annonça « Fadhila, nous sommes ravis de ton travail mais si nous te recrutons au sein de BPI, nous ferions une erreur pour toi comme pour nous. Je suis persuadé que dans 3 mois, nous te croiserons dans les couloirs à la recherche d’un nouveau projet. Alors, nous allons faire mieux, nous allons t’accompagner pour que tu trouves une activité qui te correspond ». Tout semblait me pousser à trouver une autre voix : je n’avais ni envie de travailler par défaut ni d’accepter de recommencer ma carrière dans un secteur que je connaissais. J’ai donc décidé de recommencer ailleurs. D’autant qu’à 30 ans, je ressentais le besoin de « me retrouver » en combinant toutes mes expériences. J’avais envie de créer mon métier, mon activité en prenant en compte l’ensemble de ce que j’étais devenue.

Nous sommes en 2004, le début des soirées Networking, l’arrivée de Viaduc (Viadeo) et l’émergence des blogs en France. Je décide intuitivement de suivre cette voie, persuadée que ma place était dans l’innovation. Je me suis lancée en ouvrant un blog, en animant des ateliers networks, en reprenant le chemin de l’école et en créant mon entreprise. J’ai travaillé longuement pour apprendre un nouveau langage, un nouvel écosystème. Je me suis appuyée sur mon expérience des techniques de communication aérienne internationale et de mon approche des sciences humaines pour aborder le Web 2.0. différenciation.

Qu’est-ce que le Web Social selon vous ?

Le Web est devenu interaction, conversation et communautaire. Au-delà de son aspect technique qui tend à se vulgariser, le Web est à présent le média le plus utilisé. Les blogs, les réseaux sociaux sont avant tout des espaces de socialisation qui ne reposent pas seulement sur le partage de liens ou de documents médias mais sur la recommandation sociale et la gestion de son identité numérique. Tout cela nous ramène à des questions existentielles et sur l’art de communiquer avec son prochain. Le Web fait ressortir des pratiques anciennes tribales : le besoin de se connecter à l’autre, le besoin d’interagir et de converser. Dans ce contexte, toutes les entités (entreprises, organisations, individus) expriment leur existence et leur présence en mettant en exergue leur part d’humain.

Comment voyez-vous l’avenir du Web Social ?

Les URLS vont disparaître petit à petit. Nous naviguerons via des univers de communauté et des applications thématiques. Nous regarderons la télévision, nous achèterons, nous lirons,… en fonction des appréciations des communautés que nous estimerons crédibles et pertinentes.

Que pensez-vous de la polémique autour de Facebook et de son éventuel déclin voire disparition ?

Plus un service est polémique, plus il renforce son existence. Facebook cristallise les peurs mais aussi les envies. Facebook est en train de créer un nouveau Web à côté des moteurs de recherche. Il nous bouscule dans nos retranchements et met à la fois en exergue les points critiques du Web comme les besoins sociétaux. Je n’ai pas d’avis sur l’avenir de Facebook car j’ai adopté une posture de retrait vis-àvis des services. Je préfère m’attarder sur les usages et les comportements (recommandation, géolocalisation, régulation collective,etc). Rappelons qu’il y a moins de 5 ans, MySpace était l’un des plus gros réseaux, Twitter et Facebook étaient inconnus, Hotmail était le service de chat vidéo préféré.

Vous avez consacré le mois d’avril à l’Algérie, quelles sont vos impressions ?

Wow, Wow, Wow ! Je suis encore dans une bulle magique. Que dire pour exprimer mes impressions ? Heureuse d’avoir rencontré autant de talents : une jeunesse algérienne qui donne envie de continuer et d’aller plus haut. Dans un contexte international tendu, j’ai participé avec un immense bonheur à ce que nous pourrions appeler une révolution des idées via une révolution technologique. L’Algérie a un énorme potentiel : les compétences sont présentes, les idées fusent, l’envie est là, il n’y a plus qu’à… C’est ici et maintenant que ça se passe. Ils ont besoin d’y croire et que l’on croit en eux (chasser le pessimisme et sentiment d’infériorité) et d’avoir les moyens de faire (des espaces de co-working, de l’accompagnement en montage de Business plan, de la visibilité et l’accès à Internet pour tous).

Quel est votre feedback sur la Semaine du Web ?

Un premier pas prometteur. Un événement inédit d’envergure international. L’Algérie vient de prouver que lorsqu’elle agit, elle le fait en grand. J’ai participé à de nombreux événements en Europe. Je n’ai jamais vu ça : un concentré de talents venus de toutes les régions et de différents pays. La Semaine du Web est un succès parce qu’elle a eu lieu malgré toutes les difficultés que l’on peut attribuer à un événement d’une telle envergure ; elle a suscité des envies de poursuite, la curiosité de ceux qui ne connaissaient pas. Tout comme le TEDxAlger, je n’ai qu’une seule chose à dire : à quand la prochaine !

Des projets en Algérie ou pour l’Algérie ?

Contribuer à écrire la suite de l’histoire: poursuivre d’autres événements, participer à la visibilité des talents algériens,…. Et pour le reste, c’est encore un peu tôt. Vous avez probablement des idées ? :-)

Pour finir, quel conseil donneriez-vous à ceux qui veulent se lancer ?

Go, go, go ! Se lancer est une épreuve qui comporte des risques et des satisfactions. Il ne faut ni avoir peur de réussir ni avoir peur d’échouer… juste l’envie de participer à un élan.


N'TIC 55 / MAI 2011

Yahoo sort ses dernières armes pour redynamiser sa boîte mail. Finie donc la version bêta et adoption d'un tout nouveau style. Résultat: une messagerie beaucoup plus rapide incluant une intégration d'applications pratiques et sociales plus poussée.



Yahoo Mail se bat tant bien que mal contre Gmail de Google qui progresse de plus en plus dans le monde de la Toile. La preuve: depuis 2010, le service mail de Google a gagné 24 millions de nouveaux clients. Yahoo quant à lui en a perdu 3 millions! Bien qu'ils aient tous les deux à peu près le même nombre d'abonnés (277 millions pour Yahoo Mail et 220 millions pour Gmail), Yahoo tente le tout pour le tout afin de distancer encore plus Gmail et d'arrêter sa fulgurante ascension. Une nouvelle mouture vient pour cela d'être présentée, un service annoncé par Yahoo comme "deux fois plus rapide".

Beaucoup de nouvelles applications y sont intégrées dont "Mon Disque Dur" permettant l'envoi de fichiers volumineux (jusqu'à 100 Mo). Possibilité également de "joindre plusieurs fichiers en une seule opération en maintenant enfoncées les touches Majuscule ou Ctrl du clavier au moment de la sélection des fichiers à joindre". Notez aussi: un filtre anti-spam plus performant; une intégration des réseaux sociaux (avec possibilité de tchatter via Facebook, un onglet venant s'ajouter à ceux de Windows Live et Yahoo Messenger); une "boîte de réception prioritaire" affichant les contacts avec qui il existe le plus d'interaction; intégration d'un calendrier et d'un bloc note;...

Notez enfin la possibilité de choisir entre 12 couleurs différentes pour l'interface.


ADDAR Samia

Samsung et son distributeur officiel en Algérie, Sacomi, ont convié la presse dimanche dernier à l'hôtel Sheraton afin de présenter en avant-première les premiers netbooks et notebooks Samsung. Ils sont enfin disponibles sur le marché algérien à des prix plus qu'attractifs...