Les antivirus font plus que jamais parler d’eux en Algérie. L’orientation d’un certain nombre d’entreprises vers la voie de la mise à niveau et du respect des standards internationaux conjuguée aux efforts fournis par certains développeurs d’antivirus pour se faire une place sur le marché algérien ont été des facteurs déterminants.
Les fondateurs de ce réseau social décentralisé, dont les utilisateurs contrôleront leurs données, indiquent qu'il est presque prêt. Il a récolté 200 000 dollars pour son lancement.
Internet s’est imposé dans la vie quotidienne ces dernières années. A l’espace de libre échange et d’accès direct à l’information s’est récemment ajoutée la potentialité du web à susciter la formation de nouveaux réseaux sociaux. En témoignent le succès rencontré par les sites MySpace, Twitter et surtout Facebook.
En Algérie, comme à l’étranger, la concurrence entre les navigateurs Internet est de plus en plus rude. La vitesse, la sécurité et l’innovation sont les principaux arguments mis en avant par les créateurs de ces outils.
Respectivement destinés aux serveurs et PC portables et de bureau, les futures architectures Bulldozer et Bobcat d'AMD promettent puissance et faible consommation. Mais pas avant 2011.
Une étude menée par LinuxTrends confirme ce que la plupart des utilisateurs Linux avaient déjà deviné : la plus populaire des distributions Linux est – de loin – l’Ubuntu.
Pour les spécialistes en télécommunications, pour combler rapidement son important retard dans l’internet haut débit, l’Algérie ne peut parier que sur la téléphonie mobile de troisième et quatrième générations (3G et 4G). Avec un réseau 3G, un opérateur mobile peut offrir via un boitier installé chez le client une connexion internet supérieure à 1 Méga à un prix de vente estimé à 4000 DA/ mois. Les investissements pour une couverture nationale seront moins coûteux que le déploiement d’un réseau de fibre optique ou l’amélioration du réseau fixe actuel d’Algérie Télécom.