Le nom de domaine .dz fait-il fuir les algériens ? La question aussi pertinente soit-elle mérite d’être posée car, après presque deux ans de la décision du Cerist de la promouvoir, il semble que le .dz n’ait pas rencontré le succès escompté.

Tablette de 7 pouces et 380 grammes sous Android 2.2, la Galaxy Tab supporte Flash, dispose d’un accès à l’Android Market, et est compatible Wi-Fi et 3G (HSDPA 7,2 Mbps). Samsung tente de faire de ses différences, comme la possibilité de passer des appels audio et vidéo, des atouts face à l’iPad.


Une tablette subventionnée par les opérateurs

Pour concurrencer l’iPhone, Samsung a lancé le Galaxy S, un smartphone sous Android. Pour contrer l’iPad, le constructeur sort la Galaxy Tab, sa tablette tactile sous Android 2.2. Et le produit a fait forte impression à l’occasion de ses présentations à l’IFA de Berlin puis à New York la semaine dernière. Contrairement à l’iPad, qui n’est pas vendu par les opérateurs de téléphonie et ne bénéficie pas par conséquent de subventions, la Galaxy Tab pourra profiter elle de ce réseau de distribution. Elle permet en effet de passer des appels vocaux (et vidéo), comme la Streak de Dell.  Aux Etats-Unis, la tablette de Samsung est ainsi disponible auprès des 4 grands opérateurs (Verizon, AT&T, Sprint and T-Mobile). L’iPad est lui exclusivement associé au réseau AT&T.

En France (à partir de fin octobre), Orange devrait commercialiser la Galaxy Tab. L’avantage de ce modèle de distribution est le subventionnement et donc la baisse du prix de vente du produit. Hors packs opérateurs, son prix est tout de même de 699 euros (16 Go de capacité de stokage). C’est l’équivalent des modèles iPad 64 Go en version Wi-Fi et 32 Go en version Wi-Fi + 3G.

Spécifications techniques : Android et support de Flash

La Galaxy Tab est une tablette dotée d’un écran TFT de 7 pouces d’une résolution de 1024 x 600 pixels. Ses dimensions 190 x 120 x 12 mm pour un poids de 380 g. Samsung propose donc un produit plus compact que celui d’Apple (9,7 pouces et 680 grammes). La Galaxy Tab est livrée avec Android 2.2, la dernière version finalisée de l’OS, combinée à une surcouche Samsung. La tablette propose, grâce à Android, un accès à la boutique d’applications Android Market et le support de Flash (version 10.1 d’Adobe Flash). Le support de Flash est un des points qui distinguent la Galaxy Tab de l’iPad. Sous la coque, le terminal abrite un processeur ARM Cortex-A8 de 1 GHz, 512 Mo de RAM et un chipset graphique PowerVR SGX540 permettant d’exécuter des jeux 3D ou de lire des vidéos en HD.

Wi-Fi et 3G par défaut

Contrairement à Apple, Samsung ne propose pas des modèles 3G et Wi-Fi distincts (même si une version uniquement Wi-Fi est prévue). Au niveau de la connectique, le constructeur a équipé la Galaxy Tab d’un module 3G (HSDPA 7,2 Mbps), du Wi-Fi 802.11n, du Bluetooth 3.0 et d’un GPS. Un regret : la Galaxy Tab ne dispose pas d’une prise standard micro USB. Samsung lui a en effet préféré un port PDMI (comme Dell pour sa Streak). La connectique PDMI est exploitée pour la sortie vidéo (via un dock HDMI) et la synchronisation/charge (grâce un adaptateur USB).

Deux capteurs pour la visioconférence et la photo

La Galaxy Tab a un avantage sur l’iPad. Grâce à ses deux capteurs (et aux forfaits associés), elle permet de passer des appels en visioconférence, de discuter en Webcam, d’enregistrer des vidéos et de prendre des photos. Sur la face avant, la tablette est en effet équipée d’un capteur de 1,3 megapixel (pour les fonctions de vidéoconférence et de chat). Le dos intègre lui un capteur de 3 mégapixels avec un flash LED.

L’e-reader de Samsung

Sur le plan des usages, le Galaxy Tab se veut également un lecteur de livres électroniques, comme c’est le cas du Kindle d’Amazon et de l’iPad d’Apple. Pour cela, Samsung fournit la tablette avec son application de lecture d’ebooks (mais d’autres peuvent lui être préférées sur l’Android Market). Samsung propose également ses propres applications pour le chat vidéo, la messagerie électronique ou encore la lecture de musique et de vidéos. Pour la vidéo, Galaxy Tab supporte différents formats, dont DivX, XviD, MPEG4, H.263 et H.264 .

Une tablette vraiment transportable

Si lors de sa conférence de presse New-Yorkaise, Samsung n’a jamais nommé l’iPad (préférant la désigner sous l’expression allusive de tablette de 10 pouces), le constructeur n’a pas manqué de faire des comparaisons. Des parodies illustraient l’impossibilité de transporter aisément l’iPad. Avec ses 9,7 pouces, difficile en effet de la ranger dans sa poche. La Galaxy Tab peut elle être ainsi transportée sur soi et les porte-paroles du fabricant l’ont bien illustré.

Des sites en Flash sans passer par une application

Nouveau point d’opposition avec Apple : le support de Flash via Android. Steve Jobs défend l’éviction de la plate-forme d’Adobe et son modèle basé sur les applications. Samsung avec Android propose à la fois un accès à des applications et une navigation sur des sites proposant des contenus en Flash. Le possesseur d’une Galaxy Tab pourra visionner ces contenus et même interagir avec eux lorsqu’il s’agit de jeux en Flash. Samsung a insisté sur cette capacité de son produit le démarquant de l’iPad.

Source: ZDnet

De nombreux grands projets initiés par le département de Benhamadi traînent toujours en longueur.


Des projets, à coups de milliards, sont régulièrement annoncés dans le secteur des technologies de l’information et de la communication. Sur le terrain, les résultats se font toujours attendre. S’exprimant hier sur les ondes de la Chaîne III de la Radio nationale, le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Moussa Benhamadi, s’est montré plutôt rassurant. Il a évoqué la création d’un observatoire d’information pour suivre la mise en oeuvre des nouvelles technologies introduites dans le marché algérien. «Nous avons décidé de mettre en place un observatoire de la poste et des technologies de l’information et de la communication. Ça ne sera pas une institution administrative, mais beaucoup plus un système d’information qui va permettre de collecter des informations sur le mauvais fonctionnement, les incidents ou sur la qualité de services.», a-t-il indiqué. Cet organisme aura pour mission de veiller sur la mise en application des mesures prises par le ministère dans l’objectif d’améliorer et de faciliter l’accès aux nouvelles technologies. «A chaque fois qu’un incident est signalé, on crée ce qu’on appelle un ticket qui sera dans la base de données et accessible pour tout le monde. Il y aura une partie qui prendra en charge cet incident. C’est de cette manière que nous allons mesurer la qualité de services proposés», a-t-il ajouté.

Abordant le manque de liquidités au niveau des bureaux de poste et les pannes récurrentes d’un système informatique «défectueux» qui continuent à susciter l’ire des usagers, le ministre a précisé que «ce problème de liquidités qui s’est posé au milieu du mois de Ramadhan dernier a été suivi par le Premier ministre qui a donné des directives au gouverneur de la Banque d’Algérie pour mettre un terme à ce problème.». Pour remédier à cette situation, M.Benhamadi a fait savoir que son département procédera à l’installation des points de poste de proximité sur l’ensemble du territoire national. «Dans les nouvelles cités, il y aura des points de poste de proximité, des petits bureaux qui seront équipés de moyens monétiques, de distributeurs de billets et des moyens d’accès...», a-t-il fait noter.

Toutefois, le premier responsable du département de la Poste et des TIC a précisé que le problème du manque de liquidités ne sera pas solutionné pour autant. «Tant que nous ne mettrons pas en place un nouveau système de paiement, d’échange et de transactions financières, ce problème continuera à exister et à se compliquer...», a-t-il indiqué. «La Banque d’Algérie ne va pas continuer à produire des billets. Il faudrait qu’on aille vers la dématérialisation des transactions financières...Il faut aller aussi vers une nouvelle culture du citoyen...», a-t-il dit. Aussi, Moussa Benhamadi a mis l’accent sur la nécessité d’utiliser les distributeurs automatiques.

Il a fait signaler dans ce sens, que «chaque bureau de poste sera doté d’un distributeur. Nous allons installer des distributeurs de billets au niveau des université, des grandes entreprises, mais aussi au niveau des ministères». L’objectif souligné par son département est d’arriver à installer quelque 20.000 distributeurs automatiques à l’horizon 2014. «Une enveloppe de 30 milliards est prévue pour soutenir la poste afin d’améliorer son réseau et ses équipements» a-t-il indiqué.

Source: L'Expression

Patron de Best Buy, Brian Dunn a publié un communiqué pour dire que ses propos sur la cannibalisation du marché des PC portables par l’iPad avaient été exagérés. Pour autant, les dernières analyses du marché alimentent le débat.


L'effet de l'iPad sur les ventes de PC portables fait actuellement débat. Les analystes sont partagés quant à savoir si la tablette Apple est bien responsable du ralentissement effectivement constaté. La semaine dernière, Brian Dunn, le patron de la chaîne de magasins Best Buy a jeté de l'huile sur le feu. Selon le Wall Street Journal, il aurait déclaré que les chiffres internes de l'enseigne indiquaient que l'iPad avait « cannibalisé » les ventes de PC portables et en particulier de netbooks à hauteur de 50%. Des propos qui ont bien vite fait polémique. Quelques jours plus tard, Brian Dunn visiblement embarrassé, se fendait d'un communiqué pour expliquer que le commentaire qui lui été avait attribué par le WSJ ne reflétait pas vraiment la réalité. « Nous constatons des changements dans les habitudes de consommation, avec des ventes de tablettes qui représentent une occasion supplémentaire (...). Nous pensons que les ordinateurs resteront un cadeau très populaire pour la fin d'année en raison des avantages distincts et appréciables qu'ils offrent aux consommateurs ».

Croissance négative des ventes de PC portables

Pour autant, les derniers chiffres NPD cités par une analyste de Morgan Stanley continuent d'alimenter le débat. Ils montrent une baisse régulière de la croissance des ventes de PC portables sur le marché américain depuis ces 6 derniers mois. Au moment du lancement de l'iPad en avril, cette croissance en volume était de 11%. Elle a graduellement baissé pour devenir négative en août (- 4%). Les premiers chiffres du mois de septembre confirmeraient cette tendance négative. Certains analystes estiment que ce ralentissement n'est pas le fait de l'iPad mais plutôt des excellents chiffres de l'année passée qui sont difficiles à améliorer, notamment à cause de la fin de l'effet Windows 7 et des ventes de rentrée moins bonnes qu'il y a un an.

L'iPad sera distribué dans les quelque 1 093 magasins du réseau Best Buy aux États-Unis à compter du 26 septembre. Nul doute que les chiffres des ventes de fin d'année seront riches d'enseignement...

Source: ZDnet

LG Global Challenger, le premier et le plus ancien programme d’expédition à l'étranger pour les étudiants, est ouvert cette année aux Algériens. Plusieurs domaines d’expédition sont concernés : sciences naturelles, technologie de l'information, ingénierie, économie, gestion, humanitaire, sciences sociales et culture, art et gymnastique.

Microsoft a présenté la version bêta d'IE9. Au menu, une interface minimaliste, l'accélération matérielle complète et la possibilité d’épingler ses sites web favoris à la barre des tâches de Windows7.


« Le navigateur est la scène et les sites internet sont les vedettes du spectacle ». C'est ainsi que Dean Hachamovitch, le patron de la division Internet Explorer a introduit la présentation de la version bêta d'Internet Explorer 9. Disponible en téléchargement sur le site web dédié beautyoftheweb.com, IE9 Beta met l'accent sur le support des dernières technologies web (HTML5, CSS3, SVG...) avec un credo : l'accélération matérielle complète. Un atout technique dont Microsoft a déjà largement vanté les mérites et qui devrait lui donner une certaine avance sur ses concurrents.

Des sites épinglés

Mais IE9, déjà proposé en français, réserve une surprise que la firme de Redmond a soigneusement gardée. Il s'agit de la possibilité d'épingler les sites web directement sur la barre des tâches de Windows 7 par simple glisser/déposer. Une intégration qui permet de bénéficier des options d'affichage Jump lists pour accéder directement à certaines pages du site ou des options particulières (boite de réception, nouveau message pour un webmail par exemple). Les éditeurs de sites web peuvent personnaliser cette expérience. 70 partenaires dont Facebook, Twitter, LinkedIn, CNN, Associated Press, Flickr, Amazon ou encore eBay supportent déjà cette fonction. Grâce à cette trouvaille, Microsoft est parvenu à recréer le lien exclusif entre Windows et Internet Explorer mais en apportant cette fois un véritable bénéfice à l'utilisateur.

Une interface plus discrète

Ce qui frappe de prime abord, c'est l'aspect épuré d'Internet Explorer 9. Microsoft s'est dans ce domaine largement inspiré de ce que propose Google Chrome en y mettant toutefois sa touche personnelle. Le bouton de navigation « précédent » est plus gros que le bouton « suivant » parce qu'il est plus utilisé. Par ailleurs, la couleur de ces boutons s'adapte à la teinte dominante du site en cours d'affichage afin d'augmenter le sentiment d'immersion. Le cadre du navigateur est aussi plus fin de manière à se rendre plus discret et laisser plus de place pour l'affichage des pages

Google absent des moteurs de recherche par défaut

La barre d'adresse et la barre de recherche sont fusionnées dans une « One box », exactement comme ce que propose Chrome avec son Omnibox. Par défaut, les suggestions de recherche basées sur les mots tapés dans la barre sont désactivées afin de « respecter la confidentialité de l'internaute ». L'utilisateur pourra ainsi choisir d'activer ou non cette fonction. À noter que Google ne figure pas parmi les moteurs de recherche proposés par défaut (Bing, AOL, Yahoo, Kelkoo) et qu'il faut aller installer son extension officielle pour en disposer. Dans le même registre, l'importation automatique des favoris depuis un autre navigateur n'est possible qu'avec Firefox et Safari. Pour Chrome ou Opera, il faut bidouiller en créant d'abord un fichier au format html, pour ensuite l'importer manuellement. Gageons que cela sera peut-être rectifié avec la version finale d'IE9.

Un air de Chrome

Comme son concurrent Chrome, IE9 rassemble les options et les réglages sous un seul menu déroulant. Les onglets s'affichent dans le prolongement de la barre d'adresse. Ils sont détachables et isolés les uns des autres. Le seul possible défaut d'ergonomie que nous avons relevé de prime abord est la lisibilité lorsqu'un grand nombre d'onglets sont ouverts. En effet, l'affichage se fait sur environ la moitié de la largeur du navigateur, le reste étant occupé par la One box. Plus on ouvre d'onglets, plus l'impression d'entassement augmente. À voir à l'usage...

IE9 se montre aussi plus discret avec les notifications (téléchargements, avertissements de sécurité...) qui apparaissent toutes dans le bas de la page. Microsoft dit avoir également fait un effort sur la clarté de ces messages courts et la facilité des actions à exécuter. Internet Explorer 9 dégage effectivement une impression de sobriété et d'efficacité agréables. Les efforts de Microsoft sont bien réels. Reste maintenant à mettre IE9 Beta à l'épreuve.

Source: ZDnet

Technique dans la forme mais très politique dans le fond, le dossier “Radiocommunications” fait et défait le poids politique de chaque état soumis à des batailles de lobbying des plus féroces concernant les télécoms et particulièrement la radiocommunication. C’est dire que le développement des télécommunications est synonyme de prospérité économique et par-delà le devenir de chaque nation. Force est de constater que l’Algérie enregistre un retard flagrant dans le domaine et le plus déplorable. Quoiqu’il en soit, le débat sur les télécommunications fait ressortir le manque à gagner sur le plan économique. L’amorce de la 3G ferait gagner un point de plus au PNB algérien.

Avec le rachat d'une start-up israélienne orientée navigation 3D, Google cherche à renforcer son savoir-faire dans la cartographie interactive.