Plus besoin de disposer d`un téléphone fixe pour pouvoir naviguer à haut débit avec une connexion ADSL.
Mobilis, 1er opérateur de téléphonie mobile en Algérie, a lancé depuis le 24 Janvier 2008 un concept des plus intéressants : une clé USB «magique» utilisable sur un PC fixe ou un ordinateur portable que pourront utiliser tous les abonnés Mobilis pour surfer sur le net en toute mobilité, la «clé MobiConnect».

L’internet présente de manière générale des risques sérieux pour les générations futures parce qu’il s’agit d’une « lecture » d’informations pas de connaissances, ni de savoir, estime Alain Giffard, ancien délégué du 1er ministre français des Nouvelles Technologies, qui est intervenu le 20 janvier dernier dans une conférence ayant pour thème « Quelle Culture vis-à-vis des NTIC ? », qui s’est tenue à l’auditorium du complexe Hadi Flici (Théâtre de verdure).

L’information économique locale a été jusque là le parent panne du système d’information malgré l’indéniable fait qu’elle représente un facteur primordiale dans tout investissement. En effet, si les grands indicateurs macro-économiques sont maîtrisés par les économistes, les études micro-économiques sont plutôt rares en raison d’un déficit patent dans la production d’informations socio-économiques locales.

FTTH est l’acronyme du terme anglais Fiber To The Home, signifiant littéralement en français « fibre jusqu’au foyer ».
Il s’agit du nom d’une technologie qui offre des débits très supérieurs à ceux de la paire de cuivre et qui embarque un type d’infrastructure de communication permettant l’accès à Internet et aux services associés (télévision, téléphonie) à des débits atteignant jusqu’à 100 Mbit/s symétriques.

Cette technologie a été lancée en Algérie en expérimental depuis septembre 2006 par l’opérateur historique Algérie Télécom.
Pour l’instant, le service compte à peine une centaine d’abonnés dont la plupart sont des entreprises et des banques, chose qui ne semble pas désespérer les dirigeants d’AT qui restent tout de même optimistes et s’attendent à une forte généralisation de la fibre optique, ce qui permettra de voir le nombre d’utilisateurs s’élever dans les prochaines années.

La concrétisation de ce service, si elle n’apporte que peu pour l’ADSL deuxième génération qui permet d’atteindre des débits de 25 Mbit/s., la télévision reste pour sa part une innovation.

Ainsi, l’accès au réseau câblé sera possible de même que l’on peut recevoir toutes les chaînes souhaitées, y compris les chaînes étrangères captées en Algérie.
Ce qui rendra à nos villes leur beauté et les débarrassera des millions d’antennes paraboliques qui ne cessent de se multiplier sur nos balcons et toits.

Source : N'TIC N16

Le lancement du Centre africain des technologies de l’information et de la communication et des technologies avancées (Caticta) est prévu en 2008.
C’est ce qui a été annoncé lors de la tenue de la 2è réunion du comité de pilotage algéro-coréen qui s’est tenue sous la présidence de Cherif Rahmani, ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et du Tourisme, et Suk-Woo Hong, vice-ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Energie de la République de Corée.
La décision de réalisation de ce projet a été prise en janvier 2007 par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et le président de la République coréenne, Roh Moo-Hyun.
Le but de cette deuxième réunion était la présentation du Master plan du centre et sa validation.
Dans une deuxième étape, il sera procédé à la préparation du dossier de construction et d’architecture dont le ministre algérien a exprimé son souhait de voir le cahier des charges défini d’ici à février 2008.
Le projet réunit des experts algériens et coréens pour un seul objectif qui est la promotion de la recherche et le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication et d’autres technologies avancées non seulement en Algérie mais au niveau du continent africain aussi.
Le Caticta, ce projet d’envergure africaine, permettra les échanges de post-graduant et de chercheurs, la formation des experts dans le domaine et de surcroît l’invitation des étudiants africains et des stagiaires des pays africains.
En effet, le centre assurera l’enseignement en matière de recherche spécialisée, la formation de près de 300 étudiants dès 2010 avant de passer à une moyenne de 1800 étudiants en 2020».
À cela, s’ajoute l’organisation des structures de recherche répondant aux besoins de l’Algérie et des pays africains.

Rappelons que ce centre sera implanté sur une superficie de 9 hectares au cœur de la nouvelle ville de Sidi-Abdellah dont le gouvernement veut en faire un pôle technologique de dimension mondiale avec aussi l’implantation du cyber parc technologique de près de 100 hectares.

Source : N'TIC N16