Le franc succès que rencontre le pack N’ternet de Nedjma a poussé l’opérateur à aller encore plus loin. En effet, cette offre qui permet aux abonnés de Nedjma de se connecter sur le net sans modem ni ligne téléphonique sur tout le territoire national, connaît une réduction tarifaire, et ce pour attirer encore plus de clients.
Le tarif d’acquisition passerait de 12 500 DA à 4 900 DA/TTC avec le paiement d’un forfait mensuel de 2 500 DA/mois et un engagement de 12 mois. Autant en profiter !

Source : N'TIC N22

Moussa Benhammadi, PDG d’Algérie Télécom, a déclaré hier à Alger, en marge de l’assemblée générale de l’AAFSI, que l’entreprise qu’il dirige « adhère à toute action allant dans le sens de la généralisation des TIC », reconnaissant toutefois que « beaucoup d’efforts restent à déployer pour aller vers cette étape intermédiaire qui mène vers la société de l’information ».

L’opération Ousratic prévoyant un PC pour chaque foyer lancée en 2005 n’a pas atteint ses objectifs puisque le taux d’équipement des ménages ne dépasse pas 5,5%. C’est ce qui ressort de l’étude réalisée par les chercheurs du Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread). Ce rapport a été remis, selon des sources proches du ministère des TIC, la semaine dernière à Hamid Bessalah, ministre de la Poste et des nouvelles Technologies de l’information et de la communication. L’opération Ousratic dont l’objectif initial est d’équiper, selon l’ex-ministre Haïchour, 6 millions de foyers algériens de PC d’ici fin 2008 a connu un échec cuisant. Un échec lié essentiellement, selon les spécialistes, à la gestion politicienne et populiste de cette opération au détriment de la logique économique.
Pour cause, il y a eu seulement 50 000 PC vendus – contrairement au chiffre de 700 000 PC annoncé en juillet 2007 par Haïchour – depuis le lancement de cette opération.
D’ailleurs, les experts ont proposé une nouvelle approche basée principalement sur la segmentation des offres en tenant compte des spécificités de chaque catégorie socioprofessionnelle et la réduction des taux d’intérêts bancaires. Cette nouvelle version Ousratic sera opérationnelle, selon nos sources, en 2009.

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    Source: Liberté

Le marché marocain est considéré, selon ce cabinet, comme le marché le plus dynamique avec une majorité de sociétés chiffré à l’ordre de 39%, suivi de la Tunisie 32% et de l'Algérie 29%.
Selon une étude effectuée par le cabinet maghrébin CompuBase, les nouvelles technologies de l’information et de la communication (TIC) joue un rôle primordial dans le développement économique des trois pays que compte le Maghreb, à savoir l’Algérie, le Maroc et la Tunisie.
Ce cabinet d’études a indiqué que “les prototypes économiques dans les pays maghrébins sont différents mais les pays en question ont réussi à pencher la balance en leur intérêt. Puisque comme l’Algérie, le secteur des TIC participe activement dans la croissance du Maroc et la Tunisie”.
Cette étude est basée notamment sur un échantillon de 5 000 PME et les a recensées dans le secteur des TIC. Il en ressort que 3 500 d’entres elles sont de véritables spécialistes en informatique. On remarque, également, que c’est le Maroc qui chapeaute les trois pays maghrébins dans le classement en matière d’utilisation des TIC.
Le marché marocain est considéré, selon ce cabinet, comme le marché le plus dynamique avec une majorité de sociétés chiffré à l’ordre de 39%, suivi de la Tunisie 32% et de l'Algérie 29%.
Selon cette étude, l’activité la plus répondue dans les pays maghrébins est celle des services qui reste liée au potentiel élevé du marché des télécoms, à savoir la téléphonie mobile et l’accès à Internet.
En plein développement dans les trois pays, à titre d’exemple, il a atteint presque 7% du PIB au Maroc, ce marché a permis de créer des milliers d'emplois directs et indirects, notamment au Maroc puisque cette activité a créé quelque 100 000 emplois.

Source: Liberté

Le nouvel ouvrage "Cybercriminalité et enfance en Algérie", écrit par le Pr. Mostéfa Khiati, met en exergue l'urgence de la mise en oeuvre de textes législatifs assurant un encadrement éthique à l'usage de l'Internet en constante progression dans le pays. Edité par l'Observatoire des droits de l'enfant (ODE), ce livre, qui met en avant plusieurs études et enquêtes réalisées par la presse et les institutions nationales et internationales sur la cybercriminalité en relation avec l'enfant, s'est penché longuement sur la nécessité de protéger cette frange de la société contre les dangers véhiculés par l'Internet. "Statistiquement, il existe une chance sur trois d'être confronté à des images choquantes sur le Net. Les enfants peuvent ainsi être victimes d'images pornographiques, d'images violentes ou exposés à des réseaux terroristes", relève-t-on dans la partie de l'ouvrage traitant de la pédocriminalité.
Dans ce nouveau type de délit, qu'est la cybercriminalité ou crime informatique, "aucune violence physique ou matérielle n'est exercée au moment de l'exécution du délit. C'est un acte intentionnel qui cible des victimes le plus souvent inconnues, lesquelles subissent des préjudices plus ou moins graves, matériels, moraux, professionnels", lit-on.

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    "Ces actes prennent chez l'enfant une tournure particulièrement grave car ils s'adressent à des mineurs et s'inscrivent dans un registre de fausses informations visant la subordination de ces enfants aux fins de les manipuler, d'atteinte aux bonnes moeurs, avec l'intention préméditée de les faire basculer dans l'enfer de la traite et d'abuser d'eux".
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    L'ouvrage de 128 pages présente, dans ce sens, quatre enquêtes sur le phénomène de la cybercriminalité lié aux enfants en Algérie réalisées par l'ODE et la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (FOREM). Il s'agit d'enquêtes ayant ciblé des cybercafés ainsi que des écoles primaires, collèges et lycées et dont les résultats démontrent que les familles algériennes "accordent une très grande confiance aux nouvelles technologies de l'information et de la communication (TIC) en général et à l'Internet en particulier".
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    "Ceci se traduit par une plus grande permissivité laissée aux enfants sans protection pour accéder seuls à Internet, soit au domicile familial même, soit chez un ami de leur enfant, soit dans un cybercafé", selon ces enquêtes.
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    L'auteur fait remarquer, par ailleurs, que l'accès de l'enfant aux TIC est un droit souligné par la Convention internationale des droits de l'enfant, néanmoins, ajoute-t-il, il est du "devoir des Etats et des sociétés d'informer et de sensibiliser les enfants afin de les protéger contre les mauvais traitements et l'exploitation".
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    Dans sa partie traitant de la lutte contre la cybercriminalité dans le monde et en Algérie, plusieurs conventions internationales pour faire face à ce phénomène et différentes règles édictées par les pays développées pour protéger leurs concitoyens et leurs enfants sont mis en exergue.
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    En Algérie, relève l'ouvrage, la cybercriminalité est considérée, globalement, comme un nouveau fléau contre lequel des mécanismes de lutte sont "progressivement" mis en place et qu'à l'heure actuelle "il n'existe pas de texte de loi protégeant les enfants contre les cybercriminels".
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    L'ouvrage du Pr. Khiati, président de la FOREM, consacre, en outre, un chapitre donnant des conseils aux parents afin de protéger leurs enfants en leur proposant divers logiciels de contrôle parental à installer dans les PC connectés à Internet. 
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    Source: APS

M. Hamid Bessalah, Ministre de la PTIC, a accordé à l’hebdomadaire « Le Point Economique » un entretien où il a abordé le devenir du fournisseur internet Djaweb. Selon lui, ce fournisseur devrait réintégrer le groupe Algérie Télécom.