ALGER- Des parlementaires ont appelé, lundi à Alger, à une concurrence "plus agressive" dans le marché des technologies de l'information et de la communication (TIC) de façon à poursuivre le développement "record" que connaît le secteur. "C'est bien la concurrence qui a permis un développement record du marché national des TIC et la baisse des prix de ses prestations à l'image de la téléphonie et de l'Internet à haut débit", ont affirmé des parlementaires à l'occasion d'une journée d'étude sur le thème de "la poste et les télécommunications : état des lieux, développement et perspectives" tenue au siège de l'Assemblée populaire nationale (APN).

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    <b>Source: aps.dz</b>

BISKRA (Algérie)- La baisse de moitié du tarif d'abonnement à Internet à haut débit décidée depuis quelques semaines "continuera jusqu'à la gratuité", a affirmé, samedi à Biskra, le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Boudjemaâ Haïchour. Cette réduction a permis de "revaloriser le téléphone fixe et d’augmenter le chiffre d’affaires" d'Algérie Télécom, a précisé le ministre en soulignant que les efforts de modernisation de la téléphonie se poursuivront par le lancement, dans moins d’un mois, d’un appel d’offre international ouvrant le marché national à la troisième génération de téléphonie mobile.

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    <b>Source: aps.dz</b>

ALGER - La maîtrise de la technologie numérique et son intégration dans la formation au sein de l'Armée nationale populaire (ANP) sont les principaux thèmes développés, lundi à Alger, lors du séminaire sur les systèmes numériques embarqués (SEM). Organisé conjointement par l'Ecole militaire polytechnique et le Bureau recherche-développement, relevant du ministère de la Défense nationale, le séminaire qui s'étalera sur deux jours, connaît la participation d'experts et chercheurs algériens, civils et militaires, ainsi que des Algériens exerçant à l'étranger.

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    <b>Source: aps.dz</b>

Demain aura lieu la signature d’un important contrat entre Algérie-Télécom et la firme américaine Cisco en présence du ministre de la Poste et des Technologies nouvelles, M.Boudjemâa Haïchour.

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    Un contrat dit «intégrateur de solutions» qui consiste à fournir principalement aux institutions et accessoirement au secteur privé des réseaux Intranet sécurisés, des réseaux de transmissions optiques, une administration de réseaux adaptée, une téléphonie IP spécifique, et beaucoup d’autres solutions.
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    Pour mieux comprendre toutes ces options de technologies nouvelles, il y a lieu d’évoquer les projets déjà arrêtés dans le cadre de ce contrat. Des projets qui seront réalisés par Algérie Télécom en partenariat avec le groupe Cisco. Il s’agit par exemple de l’interconnexion de 2500 communes et daïras au profit du ministère de l’Intérieur, de l’interconnexion sécurisée des établissements hospitaliers, des projets au profit de la Dgsn, de la Gendarmerie nationale, de l’interconnexion des agences de la Casnos, de la Caisse de compensation interbancaire, des agences bancaires comme celles de la Badr et des assurances comme la SAA. Il est même question de la mise en place de téléphonie au profit d’Algérie Poste.
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    Et bien d’autres projets sur des secteurs sensibles. Tous ces projets permettront à Algérie Télécom de bénéficier du transfert du savoir-faire de Cisco, de la formation continue au profit de ses équipes techniques, d’une ligne de crédit renouvelable de 20 millions de dollars, de se doter d’un pôle d’excellence dans la mise en place de solutions professionnelles, de développer un réseau de nouvelle génération basé sur la convergence IP-NGN, etc. C‘est tout cet apport qui permettra à l’Algérie d’aller vers ce qui est appelé en jargon d’internaute le e-gouvernement, e-santé, e-éducation, etc.
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    Pour situer l’importance de ce contrat, il suffit de savoir que le même a déjà été conclu entre Cisco et British Télécom, France Télécom, Téléfonica, Deutsche Télécom, etc. Il faut savoir aussi que Cisco est le premier fournisseur mondial de réseaux pour Internet.
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    Que le groupe est présent dans 120 pays et emploie plus de 60.000 personnes. Son chiffre d’affaires était en 2007 de 35 milliards de dollars. L’utilisation de la Toile par certains secteurs sensibles comme les banques, les services de police et de gendarmerie pour ne citer que ceux-là, exige la plus haute sécurité qui ne peut être assurée qu’avec une compétence pointue et incontestable. C’est ce à quoi sont appelées, à partir de ce contrat, à posséder et assumer les équipes techniques d’Algérie Télécom. Un exemple: on a souvent évoqué la carte nationale d’identité biométrique. Celle-ci sera possible une fois l’interconnexion des 2500 communes et daïras que nous avons citée plus haut sera mise en place. C’est ainsi, aussi que seront possibles les multiples services à l’usage des citoyens comme retirer un extrait de naissance via Internet ou procéder aux achats avec paiements en ligne. Toute chose déjà très courante dans les pays développés et que l’Algérie pourra atteindre grâce au transfert de compétence au profit d’Algérie Télécom que prévoit le contrat qui sera signé demain. Ce que France Télécom, British Télécom et Deutsh Télécom sont en mesure de faire aujourd’hui dans ce domaine, Algérie Télécom le pourra aussi.
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    <b>Source : L'Expression</b>

Se servir du même mot de passe pour de multiples pages Web est l’équivalent en ligne d’avoir une clé unique pour la maison, la voiture et le coffret de sûreté à la banque.

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    Même si le concept d’un mot de passe universel vaut de l’or pour les cybercriminels parce qu’ils peuvent l’utiliser pour subtiliser d’un seul coup toutes les données personnelles d’un internaute. Près de la moitié des répondants d’un sondage récent ont admis faire ainsi pour tous leurs comptes en ligne. Selon Robert Dyson, cadre supérieur à la sécurité globale chez Accenture, le problème avec l’usage répandu d’un mot de passe unique est qu’un pirate qui réussit à s’introduire dans un compte peut ensuite facilement deviner comment ouvrir une session dans les autres comptes de l’utilisateur. Plusieurs internautes répètent le même mot de passe pour ne pas l’oublier. Le sondage indique que chez les répondants du Royaume-Uni, 70% d’entre eux ne consignent pas par écrit leur mot de passe, alors que 49% des Américains agissent ainsi. Seuls 7% des répondants ont indiqué qu’ils changent souvent leur mot de passe, se servent d’un logiciel de gestion des mots de passe ou emploient un lecteur d’empreintes digitales pour accéder à leurs machines et à leurs comptes.
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    <b>Par: Samir Ben - El Watan</b>

Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication (PTic), Boudjemâa Haïchour, a annoncé hier, que l'ADSL haut débit sera moins cher de 50% . Cette décision de réduire de moitié le prix de la connexion à l'Internet est motivée, par le souci de permettre l'introduction du haut débit dans un maximum de foyers.

Intervenant, hier, à l'université des sciences et des technologies Houari Boumédiène de Bab Ezzouar (USTHB), à l'occasion de la journée nationale de l'Internet, Boudjemâa Haïchour fera, également, savoir que son département planche actuellement sur une étude qui permettra prochainement aux citoyens d'acquérir un micro portable pour la modique somme de 10.000 DA (1 million de centimes).

Il faut savoir que la décision de revoir à la baisse le prix de l'ADSL est entrée en vigueur à partir d'hier dimanche. Avec cette baisse substantielle, affirme le ministre, les prix de l'ADSL, en Algérie, sont les plus bas au Maghreb et parmi les plus abordables au monde.

Ainsi le 128 kbs 60h passe à 400 DA par mois alors qu'il était à 800 DA. Tout comme le 1 MB illimité est passé à 1.850 DA et 1 MB illimité Ousrtaic est ramené à 1.300 DA par mois alors qu'auparavant, ils faisaient le double de ce prix.

«L'Algérie a réalisé des progrès remarquables en matière de télécommunication», s'est félicité Haïchour, en rappelant qu'il existe, aujourd'hui, à travers le territoire national plus de 1.500 communes qui sont branchées à l'ADSL. Cela, note le ministre des PTic, n'aurait pu avoir lieu sans les réformes qui ont été engagées dans le secteur. Il fera savoir, à cet effet, que toutes les conditions sont, aujourd'hui, réunies pour l'introduction massive du haut débit. Mais ce que ne dit pas, cependant, le ministre c'est que les politiques engagées jusqu'ici pour amener le citoyen à s'intéresser davantage à l'Internet n'ont pas apporté leurs fruits puisqu'il existe seulement, d'après des statistiques officielles, un peu plus de 5% de la population qui sont abonnés à l'ADSL.

A ce sujet, le ministre a annoncé, hier, qu'un «observatoire de l'information» sera prochainement installé pour évaluer annuellement le développement des technologies de l'information et de la communication dans notre pays.

Boudjemâa Haïchour a exhorté, par ailleurs, les participants à la «journée nationale de l'Internet» à ne pas regarder les points noirs et à prendre un peu en considération ce qui a été réalisé dans le secteur. «Algérie Telecom (AT) a misé objectivement sur une politique de développement qui s'appuie sur l'innovation et les partenariats stratégiques basés sur le principe «gagnant-gagnant» avec des opérateurs étrangers et/ou nationaux et des équipements ayant capitalisé des compétences et des expériences dans des domaines clés», a indiqué, pour sa part, lors de son intervention, M. Mouloud Djaziri P-DG du groupe AT. Ce dernier soulignera que les potentialités du groupe Algérie Télécom, la position géostratégique de l'Algérie ainsi que l'essor de développement économique et social que connaît le pays, aujourd'hui, constituent «des atouts majeurs pour l'investissement durable».

Enfin il y a lieu de souligner, sur un autre chapitre, que les délais accordés par les opérateurs de téléphone mobile pour l'identification des détenteurs de lignes vont être prorogés. C'est du moins ce qu'a suggéré, hier, Boudjemâa Haïchour. Il a estimé, à cet effet, nécessaire de proroger l'échéance fixée au 1er mai prochain pour l'identification des puces anonymes.

Toutefois le ministre des TIC a tenu à préciser que la décision relève du ressort de l'Autorité de régulation de la poste et télécommunication qui détient seule cette prérogative.

Source : Le Quotidien d'Oran

<img src="images/stories/ntic/925055-1145121.jpg" border="0" align=" />Un colloque international a été organisé hier, à l'hôtel El-Aurassi, et a été consacré à « l'école numérique », qui a connu un développement formidable dans certains pays d'outre mer. Chez nous, un projet existe et est initié depuis quelque mois, par l'EEPAD, une entreprise spécialisée dans les Telecom et l'Internet Services Provider, qui a introduit ce nouveau « concept pédagogique » dans une dizaine d'écoles à travers le pays qui ont adhéré à cette démarche novatrice.

Selon les responsables de l'EEPAD, ce projet d'école numérique est une solution complète et évolutive qui permet à l'école de mieux intégrer et développer les usages des technologies de l'information et de la communication (TIC).

Cette solution, note-t-on également, est construite autour d'une plateforme pédagogique qui met en réseau les différents acteurs de l'école que sont l'administration scolaire, les enseignants, les élèves ainsi que leurs parents.

Cette plateforme est structurée, selon les explications fournies hier en cinq « bureaux virtuels », à savoir un bureau de l'académie, un bureau de l'administration de l'école, un autre pour l'enseignant, un bureau de l'élève et enfin, un autre bureau réservé aux parents d'élèves qui pourront suivre la scolarité de leurs enfants en utilisant son micro-ordinateur de n'importe quel endroit.

Selon le PDG de l'EEPAD, M. Nouar Harzallah, qui a présenté hier des démonstrations de cours dispensés via le Net, une centaine d'écoles ont été sélectionnées dans le cadre de ce projet expérimental baptisé « TARBIATIC ». Ce dernier renferme aujourd'hui, explique-t-on également, près de 600 cours et 4.000 exercices avec corrigés couvrant les classes d'examens de 4ème année moyenne et de 3ème année secondaire.

Ainsi, grâce à cette mobilité de la technologie proposée dans ce projet, qui utilise l'Internet haut débit sans fil (WIFI), les enseignants ont la possibilité d'animer des activités collectives au profit des élèves et utiliser l'Internet en tout lieu de l'école pour, souligne-t-on à l'EEPAD, « parfaire et compléter ses enseignements », sans avoir à rechercher des salles équipées libres ou des prises Internet et électriques pour se connecter.

« Cette technologie est une ouverture vers de nouvelles orientations pédagogiques », a déclaré le représentant du ministère de l'Education nationale en rappelant que la stratégie du département de Aboubekeur Benbouzid, depuis 2002, était d'introduire graduellement l'informatique dans tous les paliers.

Il soulignera, à cet effet, que plus de 16 milliards de DA ont été consacrés par le gouvernement au développement et l'intégration des technologies de l'information et de la communication dans les collèges. L'objectif, note le représentant du ministère qui a lu un message au nom du ministre de l'Education, c'est de doter d'ici l'année 2009 toutes les écoles de laboratoires qui disposeront tous d'un équipement informatique complet et cela, dira-t-il, entre dans le cadre des réformes engagées dans le secteur de l'Education.

Source : Le Quotidien d'Oran