Dans son 7e rapport sur les technologies de l’information (TIC), le forum économique mondial donne les classements des pays selon leurs usages des technologies d’information en se basant sur 68 critères différents, dont l’accès à Internet dans les écoles et l’importance qu’ accorde le gouvernement à long terme aux TIC.

Younès Grar, ancien chercheur et PDG de Gecos, a été nommé en tant que conseiller de Hamid Bessalah, le récent ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication. Il est ainsi l’un des cadres chargés de réfléchir sur les besoins de l’Algérie et les actions à entreprendre dans le cadre du développement de la société de l’information dans notre pays.

En marge de l'ouverture du congrès international sur la stratégie des technologies de l'information et de la communication (TIC) se tenant à Alger depuis hier, Hamid Bessalah, le nouveau ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, a indiqué hier à la presse qu'un « observatoire des technologies de l'information et de la communication sera lancé dans quelques semaines ».


Le ministre a précisé que l'objectif assigné à cet observatoire est de « contribuer à l'édification de la société de l'information. Il aura un site Web permettant à toute personne s'intéressant aux TIC et à l'édification de la société de l'information, d'accéder à toutes les informations fiables et en temps réel ». Pour cela, M. Bessalah a indiqué qu'un réseau national des TIC sera mis en place et englobera les centres de recherche ainsi que les PME-PMI. Selon le représentant du gouvernement, « cette fenêtre impliquera les opérateurs publics et privés et les associations, ainsi que les centres de recherche et les universités où sont concentrées les compétences dont le rôle demeure important et déterminant. A une question relative aux compétences, le ministre a estimé qu'en plus de la collaboration des 35.000 enseignants et chercheurs en place dans le pays, celle de ceux se trouvant à l'étranger est souhaitée dans le domaine des technologies et de l'économie. Dans ce contexte, le ministre a déclaré: « Nous sommes en contact avec eux, dans la perspective d'édifier une société de l'information ».

Lors de son intervention d'ouverture du congrès, le ministre des PTIC a passé en revue les axes majeurs autour desquels doit s'articuler la stratégie de développement de la société de l'information en Algérie, inscrite dans le cadre du « plan stratégique e-Algérie 2013 ». Ce dernier, a encore précisé le ministre, est appelé à être élaboré incessamment et devra porter notamment sur l'accélération de l'usage des TIC. Dans les détails, M. Bessalah a estimé que « cette perspective doit se faire à travers le développement des applications gouvernementales horizontales et celles sectorielles ». Il s'agit d'introduire les TIC notamment dans les secteurs de la justice, la santé, l'éducation et l'enseignement supérieur, l'emploi, l'impôt, l'état civil, le foncier et le transport, a expliqué le ministre, en précisant que d'autres activités seront également concernées comme les banques, le commerce, les affaires, l'agriculture, le tourisme et l'industrie. Toujours et concernant les moyens à mettre en place, le ministre a souligné « la nécessité d'accélérer la couverture du territoire en accès haut et très haut débit fixes et mobiles, indiquant que les réseaux à haut débit fixes et sans fil jouent un rôle important dans l'aménagement du territoire ». Le ministre considère que « pour développer ces réseaux, il y a lieu d'accélérer le processus d'attribution des licences mobiles de 3ème génération (3G), d'insuffler une nouvelle dynamique pour la densification de l'infrastructure haut débit fixe en ayant recours aux technologies les plus avancées , eep...) ». Dans ce sens, M. Bessalah s'est montré favorable à « la mise en place d'une politique incitative de tarification des accès haut débit afin de promouvoir leur utilisation qui contribuera au développement de ces réseaux ». Cependant et en urgence, le ministre a souligné la nécessité de mettre en place le réseau national des TIC composé essentiellement de centres et laboratoires de recherches et d'entreprises économiques. Aussi, le ministre a abordé les aspects réglementaires de cette stratégie en considérant qu'il est « nécessaire de mettre à niveau du cadre juridique national (législatif et réglementaire) en matière notamment de lutte contre la cybercriminalité et le traitement des données à caractère personnel ».

Source : Quotidien d'Oran.

Actuellement les puces inconnues sont estimées à environ 5 millions de puces.
Le conseil de l’autorité de régulation de la poste a décidé de créer une nouvelle instance qui pourra prendre la forme d’une nouvelle commission.
Elle sera constituée du ministère de l’intérieur, du commerce et des trois opérateurs en plus de l’autorité de régulation.


Cette formation sera chargée de trouver solution pour les puces téléphoniques inconnues après avoir échoué dans la limitation de délais pour régler la situation pour assainir le marché national.

Des sources bien informées ont révélé à notre journal que la nouvelle directrice du conseil de la RPT M. Zohra Derdouri s’est personnellement déplacé aux sièges des trois opérateurs pour voir les choses de près, puisqu’il s’est avéré que les tentatives de régler les puces inconnues que le problème est plus complexe et concerne des milliers de puces téléphoniques.

Actuellement les puces inconnues sont estimées à environ 5 millions de puces dont les opérateurs n’ont réglé qu’une partie.

Il est donc impératif que les trois opérateurs l’autorité de régulation ainsi que le ministère du commerce et la sécurité devront se partager la responsabilité.

Pour mettre fin au problème les experts des secteurs cités préalablement ont décidé de mettre en place une solution pour assainir le marché puisque cinq million de lignes non identifiées représentent un chiffre important du point de vue économique, et d’autre part une anarchie que les autorités visent à ordonner avant que les choses de deviennent non maîtrisables.

Source : Journal Echorouk.

Afin de relier les instituts de formation professionnelle entre eux en réseau d’intranet, une convention sera signée entre Algérie Télécoms et le ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnels. C’est ce qu’a déclaré, hier à Alger, le ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels, El Hadi Khaldi, lors de la réunion des directeurs de wilayas.

    <br />
    D’un montant de 290 millions de dinars, cette convention devra permettre au différentes infrastructures du secteur de partager leurs allocutions. D’autre part, le ministre a annoncé que la rentrée 2008/2009 sera marquée par une nouvelle architecture du secteur. Celle-ci consiste à ouvrir la porte de la formation à toutes les tranches de la société, spécialement aux personnes analphabètes.
    <br />

    <br />
    A ces dernières, il sera consacré des cours d’alphabétisation d’une courte durée pour les préparer à la formation. Dans ce sens, El Hadi Khaldi a indiqué que «les directeurs des wilayas devront désormais faciliter aux jeunes l’accès aux centres de formation.» Avant d’ajouter «de nouveaux centres de formation seront bientôt créés».
    <br />

    <br />
    Face à une incompatibilité entre le nombre des demandeurs d’emploi et les offres proposées par les entreprises, au même titre que les formations données par les centres de formation et les postes disponibles dans ces entreprises, le ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnels a annoncé la création d’un observatoire de la formation et de l’enseignement professionnels. Cet observatoire aura pour mission la régulation et le contrôle de la qualité et des méthodes d’enseignement. Il sera créé dans le but de répondre aux besoins spécifiques du marché de travail que le secteur de la formation doit coiffer.
    <br />

    <br />
    El Hadi Khaldi a indiqué que «des spécialités doivent être définies par les autorités de la wilaya et les opérateurs socioéconomiques, ce qui permettra d’éliminer l’idée d’une formation pour rester au chômage, sans intérêt pour l’économie nationale.»
    <br />

    <br />
    Le ministre a souligné qu’un conseil national du partenariat, organe consultatif, a été récemment introduit dans la loi d’orientation. Ce conseil est composé d’experts de la formation professionnelle et de l’économie afin de définir les spécialités et les programmes de formation.
    <br />

    <br />
    A ce titre, El Hadi Khaldi a mis l’accent sur la nécessité de revoir la qualité et les méthodes d’enseignement, de même que la planification de la main-d’oeuvre, à travers l’ouverture de spécialités conformes aux besoins du marché national de l’emploi.
    <br />

    <br />
    Le ministre a signalé la relance d’une formation productive à travers la création d’espaces au niveau des structures pédagogiques du secteur. Ils seront consacrés à l’exposition des produits fabriqués par les élèves.
    <br />

    <br />
    Source : Journal L'Expression.

Alger, (AAI)- Le responsable de Cisco Algérie, Lahouari Belbari, a déclaré lors d’un point de presse tenu en marge de la «Cisco Expo2008» qui se tient à Alger, que dans le cadre de ses nouveaux plans d’expansion, Cisco cherche à doubler son effectif actuel en Algérie.
Selon lui le nombre de salariés de Cisco Algérie a augmenté de manière significative ces deux dernières années, passant de deux à une quinzaine d’employés techniques travaillant sur des projets locaux et régionaux à l’intérieur à l’extérieur du pays. «Le marché algérien est identifié comme une grande opportunité» a-t-il ajouté.
«L’Algérie a tous les ingrédients pour créer une excellente industrie des Tic au niveau local avec une main-d’œuvre qualifiée et une croissance de l’infrastructure technologique rapide. L’Algérie est une zone de croissance importante pour Cisco en Afrique du nord», a estimé Belbari.
Pour sa part le Vice-président de Cisco, Phil Sherburne, qui été présent cette manifestation a souligné que l’Afrique du Nord est considérer comme région de croissance clé pour Cisco.

Source: aai-online.com

Le piratage des logiciels informatiques dans le monde a entraîné des pertes de 48,2 milliards de dollars américains en 2007, indique une étude publiée par une association internationale de défense des droits des fabricants de logiciels.

    <br />
    Les pertes sont en hausse de 8,5 milliards de dollars par rapport à l'année précédente, selon cette étude réalisée depuis cinq ans par la firme mondiale d'études de marché IDC et publiée par l'association Business Software Alliance.
    <br />

    <br />
    Selon cette étude, le taux de logiciels informatiques piratés a atteint 38% de tous les logiciels utilisés dans le monde en 2007, contre 35% l'année précédente.
    <br />

    <br />
    Réalisée dans 108 pays, l'étude démontre que la moitié d'entre eux ont enregistré une diminution de leur taux de piratage, tandis que 11 autres ont vu le leur augmenter.
    <br />

    <br />
    <b>Source: Le Figaro</b>