Le coup d’envoi du Startup Weekend est prévu pour aujourd’hui à l’Ecole Supérieure d’Informatique (ESI) de Oued Smar. Cet événement de trois jours s’inspire du « succès qu’a connue la première édition qui s’était déroulée lors de la Semaine du Web du 21 au 23 avril 2011 ».



Organisé par le Club Scientifique de l'ESI "CSE", le Startup Weekend est une compétition qui a pour objectif de permettre aux jeunes porteurs d’idées de créer leurs entreprises en 54 heures. Il s’agit durant ce week-end de  « fédérer les différentes compétences autour d’un projet. Les participants se constituent en équipe et à la fin du week-end, une startup doit être prête à être lancée. Un jury donne alors son avis sur chaque projet réalisé et récompense les meilleurs », indiquent encore les organisateurs. Ils attirent l’attention sur le fait que « plus de 36% des startups lancées durant les Startup Weekends survivent 3 mois après leur lancement. Enorme quand on sait que beaucoup de ces projets n’étaient que de simples idées 54 heures auparavant. En outre, 80% des participants affectés à une équipe continuent de travailler ensemble après les Startup Weekends alors que 54 heures avant, ils ne se connaissaient pas ».

Ahmed Gasmia

Evoquant le programme E-Algérie, M. Ali Kahlane, président de l’Association Algérienne des Fournisseurs des Services Internet (AAFSI) n’a pas hésité à parler d’un « échec », dans un entretien qui paraîtra dans la prochaine édition de N’TIC Magazine.



« Le programme E-Algérie avait toutes les chances de réussir et, les cinq années qui lui étaient prévues pour sa réalisation étaient supposées rattraper notre retard. Malheureusement, trois années se sont écoulées après sa première mise en ligne sur le site web du MPTIC, rien de tout cela n’est arrivé », dira-t-il.  

D’après lui, cet « échec » est dû à deux raisons majeures. « La première est le manque flagrant de gouvernance de ce programme. Entendant par là, une gestion administrative du projet nourrie par une bureaucratie excessive sans aucune prise avec le terrain et la réalité. Le suivi et l’application de ce plan auraient du être donnés à une structure indépendante, supra-ministérielle, relevant de la plus haute autorité de l’Etat ». La deuxième raison est, selon le président de l’AAFSI, « le déficit en communication et en concertation entre ceux qui en avaient la charge. Largement sollicitée lors de sa rédaction mais largement ignorée lorsqu’il fallait passer à l’action », assure-t-il.

M. Kahlane fera remarquer, en outre, que certaines actions ont été bien menées et « sont autant de signes d’un sursaut et vont dans le bon sens. Mais elles ne sont pas suffisantes vu la déliquescence qui a prévalu dans ce secteur depuis si longtemps ».

Ahmed Gasmia

Dans un lieu inconnu de la Silicon Valley, quelques salariés triés sur le volet planchent sur les projets futuristes de Google. L’un d’eux pourrait être dévoilé d’ici la fin de l’année.



Le dernier papier publié par le New York Times agite la Toile. Les journalistes Claire Cain Miller et Nick Bilton y révèlent l’existence de Google X, un laboratoire secret où des experts en robotique et en informatique concevraient des projets futuristes, bien éloignés de l’algorithme du moteur de recherche.

Au sein de l’entreprise, peu de salariés connaissent l’existence de ce programme, pour lequel la firme de Serguey Brin et Larry Page aurait recruté des pointures. Le quotidien évoque le nom de Sebastian Thrun, un expert en robotique et en intelligence artificielle, qui a aidé Google à mettre au point sa voiture sans conducteur. Ou encore Johnny Chung Lee, « un spécialiste de l’interaction humain-ordinateur », fraîchement arrivé de Microsoft pour lequel il travaillait au développement de Kinect. « Rapid evaluator », son titre dans l'organigramme de Google X, digne d’une série SF, laisse planer un mystère sur ses véritables fonctions.

Aussi secret que la zone 51

La classique domotique et ses objets connectés feraient partie des champs d’expérimentation de Google… mais pas seulement. Dans un lieu tenu secret, en dehors du Campus, certains collaborateurs mettraient au point des robots capables d’effectuer des tâches banales ou à distance. Le New York Times laisse entendre qu'un des projets futuristes du moteur de recherche serait dévoilé au public d'ici la fin de l'année.

Jill Hazelbaker, une porte-parole de Google, a refusé de confirmer l’existence du laboratoire, non sans minimiser les ressources allouées « au développement de ces projets spéculatifs ». Les analystes, et les marchés, goûtent peu les investissements si éloignés du « core business » de Google. D'aucuns laissent entendre que la révélation de ce laboratoire secret profiterait à Google, dont l'image tient plus aujourd'hui de la multinationale hégémonique que de la start-up innovante.

Source: 01net

Le rachat de la start-up Katango met à la portée de Google Plus une technologie d’analytique communautaire qui devrait trouver sa place dans le réseau social.

Les résultats réalisés par la première édition de la semaine du Web tenue en avril dernier a manifestement encouragé ses organisateurs qui prévoient de tenir trois événements similaires à partir de décembre prochain.



DZWEBDAYS est l’intitulé choisi pour cette série d’événements. Les premiers DZWEBDAYS se tiendront à Tlemcen durant les trois premiers jours du mois de décembre prochain. Elles seront ensuite organisées à Constantine du 12 au 14 janvier 2012. La wilaya de Bordj Bou Arreridj aura, elle aussi, ses DZWEBDAYS qui sont prévus pour la fin de l’année 2012.

Connext et PurePlayer, organisateurs de l’événement de la semaine du Web, rappellent que cette première édition avait regroupé  « 14 sponsors, 17 partenaires, 5 600 personnes inscrites, 4 900 participants ». La semaine du Web, c’était aussi « 120 conférences, 100 giga de photos et de vidéos, 54h de SWA (Start-upWeek End), 5 certifies CESEO, 200 officiels,1 Examen,1 barcamp,1 speedrecruting, 1 joomladay, 1 seocamp day, 1 battle graphique, 1 mobile monday, 12 thématiques, 50 ateliers, 30 intervenants, 6 sites internet, 3 000 tweets, des visites de deux ministres, des couvertures assurées par quatre chaînes de télévision et trois chaînes de radios, 100 bénévoles étudiants de l’ ESI, 2 webtv, 1 wiimax, 7 chefs de projet, 1 web tv, 12 bus, 12 pays, 254 articles de presse, 5 pages fans, et 4 twitter », expliquent encore les organisateurs.

Ahmed Gasmia

Depuis quelques jours, une véritable guerre est livrée sur Internet entre hackers algériens et marocains. Plusieurs sites appartenant à des institutions des deux côtés ont été piratés voire même « détruits ».



Ce sont les hackers marocains qui ont ouvert les hostilités dimanche dernier ayant manifestement décidé de célébrer l’anniversaire de l’occupation du Sahara occidental en s’attaquant à des sites d’institutions algériennes. « Les forces de dissuasion marocaines défendent les intérêts suprêmes du royaume » est la signature de ces pirates laissée sur les sites attaqués.

Deux jours plus tard, les Algériens ont riposté à cette attaque en lançant une offensive générale sur les sites marocains. Les dégâts étaient considérables. « algerian hacker » était la signature laissée sur les « ruines » des sites dévastés par « les troupes » algériennes.

Cette guerre vient plusieurs mois après celle livrée aux hackers égyptiens lors des événements ayant entouré les éliminatoires du dernier mondial.

Notons que dans les deux cas, les Algériens n’ont fait que riposter.

Ahmed Gasmia

S’il est choisi, ce serait la première fois que cette distinction est accordée à titre posthume.



Steve Jobs succèdera-t-il à Mark Zuckerberg au titre d’homme de l’année 2011 de Time Magazine ? Il fait en tout cas partie des nominés et serait, s’il est élu, la première personne distinguée à titre posthume.

Un panel de 6 personnalités était réuni hier à New-York pour présenter la liste des nominés parmi lesquels figurent Mohamed Bouazizi, le vendeur de fruits tunisien dont le suicide par le feu est à l’origine de la révolution qui a renversé la dictature Ben Ali.

Évoquant Steve Jobs,  Brian Williams, le présentateur du journal télévisé NBC Nightly News à l’origine de la nomination du cofondateur d’Apple a estimé qu’ « il n’a pas seulement changé le monde, mais il nous a réinsufflé cet esprit que tout est possible, que vous pouviez regarder un morceau de plastique ou de verre et y déplacer vos doigts, c’est étrange… Puisse-t-il reposer en paix ».

Source : ZDnet

Les opérateurs de téléphonie mobile devront payer une nouvelle taxe, en vertu d’un article contenu dans le projet de loi de finances pour l’année 2012. Une taxe pour la lutte contre le cancer.



Ce projet de loi comprend de nouvelles taxes touchant d’autres métiers à côté des opérateurs de téléphonie mobile. En ce qui concerne ces derniers, les législateurs ont décidé d’introduire l’article 53 bis modifiant l’article 85 de la LFC 2009 qui prévoit l’augmentation de la taxe sur le chiffre d’affaires des opérateurs de téléphonie mobile à 1%. A en croire, l’agence de presse algérienne, APS, la  moitié de cette taxe sera versée au Fonds de lutte contre le cancer (FLC).

Rappelons, en outre, que la loi de finances complémentaire de l’exercice 2009 imposait aux opérateurs de téléphonie mobile, dans son article 85, le versement de l’équivalent de 0,5 % de leur chiffre d’affaires au Fonds national pour la promotion et le développement des arts et des lettres.

Ahmed Gasmia